Tour de Tabris

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[La fourrière]

La tour était vraiment luxueuse. Tabris y avait déjà mis les pieds avant juste pour jeter un coup d’œil. Les pièces étaient richement décorées, les meubles d’un bois brillant et le tout était spacieux. Le dieu entra dans sa tour avec Valentin. Il se demandait toujours qui était son ancien maître mais il se tût.

Avançant au centre du salon se trouvait une table, avec dessus un vase remplie de fleurs blanches, des orchidées. Le jeune albinos s’y approcha et les sentit, un léger sourire aux lèvres qui s’agrandit quand ses fins doigts touchèrent son étui à violon, posé sur cette même table.

"Est-ce que tu as faim ? Ou peut-être soif ? Demande-moi si tu as besoin de quoi que ce soit. Et appelle-moi Tabris s’il te plaît."

Il fit signe de la main au loup-garou de s’asseoir s’il le désirait. Un grand canapé aux tons noirs et rouges se trouvait un peu plus loin. La tour respirait de magnificence mais Tabris n’en était point émerveillé. Qu’est-ce que était l’émerveillement ? Un sentiment empli d’une grande admiration ? Le dieu soupira, mais qu’est-ce qu’était un soupir ? Il y en avait de contentement, et d’exaspération… Il connaissait toujours si peu de choses à propos des humains.

"Dis-moi Valentin, connais-tu les autres dieux ? Je n’en ai rencontré qu’un pour l’instant, le dieu de la destinée il me semble… Je me demande bien où sont les autre, je ne les ai pas vraiment cherché."

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" J'ai été entrainer et élevé par le dieu de la mort lui même. Ce n'est pas un dieu cruel. Il est plutot amicale et protecteur il ne se sert que rarement de ses pouvoir. Il sais les économisé mais sait rester aussi très puissant je te conseil de ne pas le contrarier. Il n'est pas violent loin de la. Il est plutot juste.

C'est le seul dieu que je connai j'ai entendu parler d'autre. Je sais que le dieu de la mort ne loge pas dans les cieux dans une tour comme toi mais dans un immense Manoir sur terre dans le cimetière. Il est responsable du cimetière. Les autres dieux vive dans des tours comme toi dans ce monde.

Si tu veux je pourrais te mener a mon ancien dieu. Bien qu'il m'est mis a la fourirère on a garder une certaine amitié on peut dire."

Il s'assit sur le canapé et caressa le tissu qui recouvrait le fauteuil.

Cela lui rappelait le confort humble du manoir sombre de Lund.

Il avait vécu tout au cours de l'année dans une cellule ou la couche était un sol de béton froid et morne dur comme le roc et moins confortable qu'une dalle.

On ne peut pas pas dire qu'il avait vécu et qu'il y avait survécu même a une prison c'est dire.

" Tu semble bien jeune pour un dieu Tabris... Mais dis moi pourquoi tu m'as pris a la fourrière et pas un autre?Je n'ai pas un passé qui joue en ma faveur et rien que le nom de mon ancien dieu aurait fait fuir un bon nombre de propriétaire..."

Il se leva et approcha le dieux qui était aussi grand que lui voir un peu plus petit.

" Pourquoi moi ? "

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Tabris sourit quand il entendit Valentin commençait à parler de son ancien maître. Il prit une carafe remplie d’eau et remplit un verre qu’il but à petites gorgées. Après avoir délicatement reposé son verre, il se tourna vers le loup-garou.

"J’ai l’impression que tu peux lire dans mes pensées. C’est merveilleux. Et oui, j’aimerais bien rencontrer ce dieu de la mort."

C’est alors que son nouveau compagnon le questionna à propos de sa jeune apparence. Il le vit se lever et s’approcher de lui. Toutes ces questions, cela ne fit que sourire Tabris. Etait-ce dans la nature humaine que la curiosité ? Lui aussi était curieux, il était vrai, mais à propos des humains surtout. Remplissant un autre verre d’eau, il le tendit à Valentin.

"J’ai l’air jeune, n’est-ce pas ? On pourrait dire que je ressemble à un adolescent. Mais je suis bien plus vieux que cela. C’est juste que je ne vieillis pas, et que je ne peux pas mourir. C’est peut-être pour cela que je ne suis pas vraiment effrayé par ton ancien propriétaire… "

Tabris prit un pétale de fleur dans sa main et la caressa. Elle était douce sous son toucher et était si fragile, aussi fragile que le cœur d’un homme.

"Si je t’ai choisi parmi tant d’autre, c’est une bonne question. Je ne sais pas vraiment. Je ne comptais pas acheter un loup-garou mais en te voyant dans cette prison, seul, patient et calme, j’ai eu envie de mieux te connaître. J’espère que cette réponse est satisfaisante, sinon il me faudra du temps pour réfléchir. J’ai un peu de mal avec les sentiments."

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" Les sentiments..."

Lund connaissait bien se mot. Lund lui avait interdit d'avoir des sentiment pour lui. Car Lund connaissait bien les Loup-Garou il savait qu'il pouvait s'accoupler avec les dieu et même plus. Mais le jeune Loup-Garou avait quand même aimer son maitre jusqu'a ce qu'il essai ses sortilège démoniaque sur lui. Beaucoup de chose avec cette ancien dieu finalement plus qu'il ne s'en rappelait surement.

Lund pris le verre d'eau et se tourna vers une fenêtre pour aller y contempler la vue. Elle était sublime. Perché sur un nuage une immense tour dans un désert de Nuage ou de temps a autre dans le ciel on apercevait des monstre comme des griffon ou des dragons. Lund était enfin libre mais il ne réalisait pas. Il s'attendait a tout moment a devoir se battre ou encore a devoir prendre place dans une prison tout aussi petite que dans la geôle.

" On m'a toujours interdit les sentiments. "

Puis se rendit compte que sa phrase était un peu stupide il tourna moitié la tète vers son nouveau maitre pour poursuivre d'un air un peu songeur presque mélancolique ou nostalgique quelque chose. Il voulait parler mais il ne savais pas trop mais finalement si il fallait qu'il le dise s'il le pensait autant le faire.

" De toute manière a la fourrière on nous interdit tout."

Il se retourna et rendi son verre au dieu pour qu'il en fasse de suite pour le laver etc. Lund regardait le dieu. Il lui trouvait un certain charme a ce petit albinos qui devait pourtant avoir bien plus de pouvoir que de couleur sur son corps. Il était assez beau a regarder il ne fallait pas dire le contraire. Lund ne le connaissait que depuis quelques heure mais déja il savait que ce dieu était un homme de bonté et un homme assez puissant pour pouvoir le protégé de ses cauchemars du passé.

" Tu ne peux pas imaginer l'enfer que c'est."

Il ferma ses yeux et des flash lui revinrent, des cris, des hurlement, des tortures, des souffrance et des orgue pour caché les cris. Lund se rappelait les nuit de torture ou les geôlier torturai les Loup-Garou pour comprendre leur puissance ou pour les punir d'une erreur.

" Ils nous torturaient avec des fer brulant, des fouet, des masse, des lame, des huiles bouillante, il nous donnait la souffrance sur la plateau. Il ne le montre pas quand un dieu est là. Mais c'est inhumain."

Il avait toujours les yeux fermer et la sueur perlait sur son front a mesure qu'il parlait comme perdu dans son cauchemar.

" Il nous haïsse, je dois me libéré, je dois m'évader je dois me battre je me dois la liberté j'ai survécu a tout je survivrai a sa"

Lund dans son cauchemard donna un grand coup dans le vide et sa main dévoila une patte de loup avec de longue griffe soudain Lund ouvrit les yeux et sa main redevint normale. Il regarda le dieu et se mi a genoux.

" Pardon je n'aurait pas du dieu, excusez moi pardonner moi mais par pitié ne me punissez pas trop durement je n'était que prisonnier de mes cauchemars en l'absence d'exercice physique mes pensées s'embalent."

Il était a genous les yeux clot face au dieu près a subir.

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Tabris observa les réactions de Valentin sans un mot. Celui-ci semblait avoir été bien tourmenté par son ancien maître. Comment pouvait-on demander à quelqu’un de ne pas ressentir? Lui commençait petit à petit à découvrir les joies et les peines. Après la mort de Takashi, il avait vagabondait dans plusieurs villes, cachant son identité, et jouant de temps en temps de la musique dans les magasins ou dans les rues pour gagner de l’argent s’il en avait besoin. Le loup-garou semblait bien nostalgique à l’idée de son ancien maître. Il regardait à travers la fenêtre. Il était vrai que la vue était magnifique. Vivre au-dessus des nuages, n’était-ce pas le nirvana?

Le dieu reprit le verre que Valentin lui tendait. Il le posa à côté du sien sur la table, sans faire de bruit. Il écoutait avec une extrême attention tout ce qu’il lui racontait. Tant de souffrances, de maux et de peine… L’albinos écoutait calmement, savant que son compagnon avait besoin de parler, mais qu’il ne savait pas trop par où commencer et finir. Le dieu s’avança vers lui, lui touchant le visage de ses deux mains avec douceur. Il essuya la sueur avec un tissu qu’il sortit de sa poche.

"Tu peux arrêter de courir maintenant… Tu n’as plus besoin de te battre, de pourchasser la lumière qui te mènera à la liberté, car je suis avec toi à présent… Je t’aiderais."

Le loup-garou ne semblait pas vraiment entendre Tabris. Celui-ci se demanda comment ces créatures avaient pu en arriver jusqu’à tomber dans une fourrière. Comment avait-on pu laisser faire ça? Le dieu eut un triste sourire à cette pensée. C’est alors que Valentin donna un coup dans le vide. L’adolescent vit une patte de loup qui retourna vite à une main d’humain. Le loup-garou se mit soudainement à genoux, s’excusant, effrayé.

Tabris eut un gentil sourire, légèrement peiné de voir son compagnon si souffrant dans son cœur. Il s’accroupit en face de Valentin qui tenait ses yeux fermés et glissa ses doigts dans la chevelure noire. Il y avait un tel contraste entre sa couleur de peau et les cheveux de son loup-garou qu’il ressentit ce qui semblait être une légère surprise. Le moment passé, il se remit à sourire et colla son front à celui de Valentin, ses mains touchant chaque côté de sa tête.

"En aucun cas ne vais-je te punir. Même si tu me trahis ou désobéis, je sais que tu auras toujours une bonne raison. Car tu es noble dans ton cœur. Je crois que je commence peut-être à comprendre pourquoi je t’ai choisi… Tu as tellement souffert, j’aimerais arrêter ta douleur et qu’un jour tu me sourisses. N’ai pas peur de moi, Valentin. Ne sois pas effrayé par moi…"

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Valentin ne bougeait pas. Il ne comprenait pas le choix et les mots de son dieu. Comment pouvait il réagir ainsi ? Pourquoi disait il des choses aussi gentille ? comment pouvait il être. Pour la première fois de sa vie Lund ne savait pas comment réagir. Il ne savais pas comment faire. Comment bouger ?

Comment répondre quelques chose. Il se retrouvait a être faible face a un dieu qui était presque aussi noble que lui et qu'il avait tout a fait le même sensation de l'honneur que lui.

Valentin était enfin sous le charme de quelqu'un autre que par pitié ou par amour de son tuteur qu'était Lund. Beaucoup de chose changeait avec ce dieu il ne savait pas comment s'y prendre d'un coup il se sentait tout a fait bien avec et ne savais pas comment s'y prendre.

D'un coup il perdit beaucoup de moyen il ne savais pas quoi dire d'un coup il était figée une idée lui traversa le cerveau.

Il passa sa main derrière la nuque du dieu et tira son visage détruisant les derniers centimètre qui séparait leurs visages et l'embrassa d'un coup.

Après tout c'était le dieu de la liberté il devait savoir ce qu'était de se laisser prendre a ses liberté et se laisser prendre ces force pour pouvoir se libéré de ce qui lui restait dans son coeur. Il s'éloigna de son partenaire et se mis a sourire et lui murmurer.

" Désolé je n'aurai pas du t'embrasser "

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Tabris ressentait de l’hésitation en Valentin. Il souriait toujours et ne bougeait pas. Il se sentait… apaisé? Et aussi autre chose… comme quand Takashi lui avait offert son stradivarius, un si beau violon qui avait du lui coûter tellement d’argent… A ce moment-là, l’albinos ne savait pas comment réagir non plus, alors il sourit pour la première fois. Il y a des années, le premier sentiment qu’il avait ressenti s’appelait la joie. Et il la ressentit de nouveau avec Valentin. Il était heureux de l’avoir rencontré.

C’est alors qu’il sentit une main derrière sa nuque et son visage fut poussé en avant par cette forte mais douce main. L’albinos vit ses yeux se rapprocher de ceux, océans du loup-garou. Ils étaient vraiment beaux, si profonds qu’on pouvait se noyer dedans. Puis il sentit quelque chose de chaud et d’humide sur ses propres lèvres. Là, il fut vraiment surpris. Le toucher était agréable et le réchauffait, bien qu’il ne comprenait pas ce que c'était.

Puis Valentin s’éloigna de lui et le dieu s’étonna de ne plus avoir ce contact chaud sur sa bouche. Il avait vu des films avant et en conclut qu’il venait de recevoir son premier baiser. Il regarda son compagnon et le vit sourire, ce qui fit fondre son cœur de joie. S’embrasser, c’était donc le mot pour décrire ce qui venait de se passer. Il sourit et secoua la tête, car il avait grandement apprécié. Il se rapprocha plus de Valentin et posa ses doigts sur les lèvres de celui-ci, les touchant.

"C’est bien la première fois que quelqu’un m’embrasse sur les lèvres… Mon père m’a embrassé maintes fois, mais sur les joues. Tes lèvres… elles sont aussi douces que les pétales de fleurs… "

Tabris se pencha sur Valentin et les yeux à mi-clos, il reprit contact avec ces lèvres si tentantes.

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Cette fois c'est Valentin qui vut pris au dépourvu par son maitre. Il ne s'attendait pas a ce que celui la se mette a l'embrasser de la sorte encore moins réponde a son baiser. Lund fermait les yeux et se laissait bercer n'hésitant plus une seconde a lancé sa langue a l'assault de la bouche dieu. Il la glissa au dela de ses dent et ses lèvres pour aller caresser les lèvres de ce dieu si particulier et aller chatouiller sa voisine qui semblait tout autant surprise. Lund passa ses bras autour du dieu et d'un bon les projeta sur un canapé non loin.

Le bond avait été spectaculaire dans une parfait syncronisation le Loup-garou avait utilisé sa force physique pour pouvoir faire un tel bon. Une fois arriver sur place, alors qu'il était toujours entrain de l'embrasser il s'étonnait que le dieu ne connaisse rien de ce qu'était un baiser. S'il ne savais pas ce qu'était un baiser il devait bien être innocent sur la suite de la question s'amusa a penser Lund.

" On est un peu mieu allonger que accroupis non ?"

Le dieu se mis a crasser le dos du Dieu lentement de bas en haut comme pour le masser lentement avec ses grande et interminable main de Loup-Garou. Il allait faire découvrir au dieu ce qu'il avait découvert sur la terre avec un Uke il y a de ca plusieurs décénie. Il allait savoir ce qu'était vraiment la joie et le bonheur. Il allait le faire gémir de plaisir.

La langue du dieu quitta sa bouche pour aller ce mettre a caresser le coup du petit dieu qui était allonger sous Lund. Le géant lui tenait en s'appuyant juste sur ses coude et ses jambe. Drôle d'acrobate mais très talentueux. Surtout dans ce genre de situation Lund savait comment s'y prendre pour ne pas perdre la face et économiser le maximum de force pour la suite. Il n'était pas stupide et n'allait pas se laisser faire pour autant. Il était puissant il ne fallait pas le prendre a la légère.

Mais était il suffisament puissant pour pouvoir faire crier un dieu de jouissance ? La était un nouveau défi pour le dieu.

Surtout ne pas lui faire peur, Surtout ne pas lui faire peur, ne pas le suprendre ne pas briser. A chaque coup de sa langue chaude sur la peau pure et douce du dieu albinos Valentin s'abandonnait un peu plus au plaisir sans compté les risque qu'il prenait il ne le connaissait pas que depuis quelques instant après tout.

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Tabris avait les yeux fermés à présent, appréciant le doux contact. C’est alors qu’il sentit quelque chose de chaud et d’humide qui s’insinuait dans sa bouche. Ce n’était pas désagréable mais il ne savait réellement pas comment réagir. Le dieu décida d’arrêter de penser et de se laisser aller, et finit par répondre au baiser. C’est alors qu’il sentit des bras puissants se refermer sur lui et la seconde d’après, il fut sur le canapé qu’il avait précédemment remarqué.

Le loup-garou venait de les propulser dessus. L’albinos plaça ses bras autour de la nuque de Valentin pour le rapprocher encore plus de lui. Tout avait été si rapide, de la fourrière, jusqu’ici… Il était déjà sur un canapé en train d’embrasser son tout nouveau compagnon. Les relations humaines étaient-elles toujours si rapides à créer? Ou était-ce tout simplement car il était un dieu et Valentin un loup-garou ? Celui-ci venait de prononcer une parole mais Tabris ne fut pas sûr de l’avoir bien entendu, il ne répondit donc pas.

Juste après cela, le jeune dieu sentit une main le caresser le long du dos. Etrangement, il commençait à avoir un peu chaud. N’y avait-il pas de climatisation dans la tour ? Ou était-ce autre chose ? Il était toujours en train d’embrasser son loup-garou quand celui-ci se retira pour déposer des traces humides sur son cou. Il faisait réellement de plus en plus chaud dans la grande pièce. Sans même qu’il ne s’en rende compte, le rouge monta aux joues de Tabris. Il ne se sentait pas spécialement gêné mais c’était une simple réaction de son corps d’adolescent. Essayant de bouger un peu, il remarqua qu’il ne pouvait pas, étant plus petit que Valentin. Il ne savait pas vraiment où tout cela allait les mener. Fallaient-ils qu’ils s’en arrêtent là ? N’était-ce pas un peu trop précipité ? Le dieu regarda dans les yeux de son loup-garou, le rouge toujours au joues car Valentin n’avait cessé de passer sa langue sur sa peau pâle.

"Je ne suis pas vraiment sûr de ce qui arrive mais… si l’on continu ainsi, n’allons-nous pas finir par…"

Tabris ne savait pas comment finir sa phrase. Il avait oublié comment cela s’appeler. Les actions de Valentin le rendaient fiévreux.

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Le dieu n'achevait pas sa phrase ? Etait-ce le désir et le fait qu'il était un néophyte en matière de sexe ? Ou peut être que tout simplement il ne connaissait pas le mot pour désigner ce qu'ils allaient faire s'il continuait dans cette vois. Le loup-garou commençait a croire que le dieu allait le punir mais il se sentait si bien avec lui. Le puissant Loup descendit lentement son bassin au contact de celui du dieu comme pour accompagné le mouvement. D'un simple mouvement de frottement entre leur pentalon il sentit une bosse apparaitre au dela des vetement du jeune dieu. Se pourrait il que son corps se mette a parler plutot qu'autre chose ? Apparament au fond de lui le corps du dieu ne demandait que plus de contact plus de baiser plus de physique plus de...

" Laisse toi faire et savoure"

Le Serviteur commença a faire un mouvement de vas et viens sur les hanche du dieu ne faisait que transpirer le dieu qui commençait a avoir de la sueur qui perlait sur son front. Surtout ne pas l'effrayer ne pas le surprendre plus que la juste mesure ne pas lui faire peur.

°Tout en douceur°

Valentin savait comment faire pour faire hurler de désir et de passion un uke comme semblait l'être le dieu. Mais se pourrait il qu'il ignore même ce qu'il soit lui même dans ce genre de rapport ? Lund allait lui montrer ce qu'était le pouvoir a l'état pur qui existait avant même les dieu avant même le premier enfant se pouvoir existait déja. Celui qui pouvait faire hurler un muet ou montrer un aveugle la vrai valeur. Le pouvoir au sens pur du terme le désir a son état le plus basique l'instinct le plus sauvage des créature de se monde. Il allait lui montrer.

Il sentait l'albinos perdu entre découverte et curiosité entre peur et désir de comprendre ou de connaitre. Le corps de Lund se réchauffait lentement son coeur battait lentement et s'accélerait doucement comme un tambour qui s'apprette a sonner la charge. Rien de trop juste ce qu'il faut pour faire peur et effrayer ou lui donner la main sans la lacher. Lui montrer la porte sans la lui faire franchir.

Il voulait lui faire crier de désir et le faire craquer comme on fait craquer un enfant devant une montagne de bon bon et que on lui de ne pas y toucher.

Là Vamentin allait lui faire pareil. Rien de plus rien de moins que de le faire crier de désir et l'impatienter au maximum. Il passa sa main sur le torse du dieu et tout doucement il descendit sa main sur son nombril et se mis a caresser la ceinture du dieu.

Allait il comprendre? Ou prendre peur ?

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Arrêter ou continuer ? Tabris n’était pas vraiment sûr de ce qu’il voulait. C’était ce que l’on appelait ‘l’hésitation’. Un bien étrange sentiment qui se confond et tente de se démêler entre deux actions contradictoires. Etait-ce pour cela que l’esprit humain était si compliqué, et leurs actions tellement illogiques ? Il faisait si chaud à présent que le jeune dieu commençait à transpirer. Il se sentait étrange. Valentin était en train de se mouvoir au-dessus de lui, frictionnant ses hanches. Son pantalon lui paraissait soudainement plus serré. Il entendit son loup-garou parler.

Se laisser faire et savourer ? Qu’y avait-il à savourer ? Ce flot d’émotions et de chaleur enivrante qui le prenait ? La proximité de leurs corps ? Tabris referma les yeux et étreignit Valentin. Ce qu’ils faisaient en ce moment même… il comprit. Ils étaient en train de ‘faire l’amour’, ou on pouvait aussi dire ‘avoir du sexe’. Mais était-ce vraiment moral quand il ne ressentait pas ‘d’amour’ pour l’homme au-dessus de lui ? Car l’albinos, depuis des dizaines d’années déjà, essayait de comprendre ce terme, sans grand succès.

Il allait prononcer une parole quand il sentit une main descendre sur son torse, pour se diriger vers son nombril, et enfin toucher sa ceinture. Le dieu ressentait tellement d’émotions et de sentiments différents que sa tête commença à lui faire mal. Il n’était pas habitué à tout cela, tout était bien trop rapide à son goût. Mais son corps lui criait le contraire. Son corps de jeune garçon ayant atteint la puberté, ce corps qui ne changerait jamais. Mais l’esprit était déjà âgé…

"Valentin… J’ai l’impression que tout cela est bien trop rapide entre nous… Il est vrai que je me sens bien avec toi mais, nous nous connaissons depuis quelques heures seulement. Mon corps le demande, mais ma conscience me dit d’arrêter." Il reprit une courte inspiration. "Je ne préfère pas commencer une relation comme cela si je ne peux même pas comprendre ce qu’Amour veut dire…"

Tabris n’était pas sûr que le loup-garou allait arrêter, même après ses paroles. Mais l’albinos étant un dieu, peut-être allait-il l’écouter.

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*Echec et mat*

Le Loup-garou se figea une seconde après avoir entendu les mots du dieu. Il ravala sa langue se souvela ses hanches de celle du dieu il sortait sa main qui était entrain de se glisser sous sa ceinture. Le Loup-garou souriait étrangement il souriait a son propre échec a sa propre erreur d'avoir été peut être trop vite avec ce dieu. Peut être que a un moment ou a un autre il aurait l'occasion d'aller un peu plus loin. Il espérait que le corps du dieu prenne le dessus sur sa raison mais non c'était trop tard sa conscience avait parler il devait areter la. Tel était le choix du dieu de la liberté.

*Tout ce qui a un début a une fin*

Il s'éloigna lentement du dieu et se mit debout a coté du canapé le visage vers le vide. Une larme perla sur son oeuil droit qu'il chassa rapidement. ses cheveux était toujours ordonnée ils barraient une partie de son visage apparament. Il respirait lentement laissant le dieu en sueur sur le canapé se calmer un instant de ce que lui avait fait subir son nouveau Loup-garou. Valentin se leva donc et se dirigea pour aller servir un verre d'eau il se retourna et le tendit au dieu encore allonger sur le lit. Il était encore tout rouge et on voyait distinctement son arc se dessiner sur son pentalon. Il ne devait pas avoir l'habitude d'avoir le gaulle le petit pensat Valentin un instant.

" Je ne te forcerai jamais la main, encore moins dans ce domaine. Je n'aime pas forcer la main au gens. Sauf quand ils sont mes ennemis bien sur."

Il s'assis sur le fauteuil en face du dieu et s'interrogeait la bosse sur le pentalon du dieu ne diminuait pas. Est-ce-qu'il allait encore supporter longtemps d'etre séparé de Valentin ? Il se le demandait il avait déja vu un uke areter les préliminaire puis lui sauter dessus juste après car il était en manque mais d'une certaine façon il ne pouvait pas faire de la sorte avec le dieu. Jamais celui-ci ne ferait une chose pareil. Il était bien mature dans sa tète et ne se laisserai pas manipuler de la sorte il n'était pas stupide quand même.

Valentin passa ses cheveux derrière ses oreilles et regardait le dieu boire. Il était beau avec ses cheveux couleur de nacre et ses yeux rouge sang. Il était vraiment beau pour un dieu il n'y avait pas a dire Valentin était heureux d'avoir été récupéré par un dieu aussi charmant et aussi gentil avec lui...

Bien qu'il lui ai demander d'aretter...

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Tabris sentit la chaleur du corps de Valentin s’éloigner. Il s’était arrêté et lui souriait d’une manière bien étrange. La main du loup-garou était déjà presque dans son pantalon quand elle se retira. Il le vit se lever et une perle glisse le long de sa joue. Le dieu regretta quelque peu d’avoir mit un terme à cela, mais il pensait réellement que c’était pour le mieux. L’albinos était toujours en sueur et respirait difficilement. Il remercia Valentin quand celui-ci lui présenta un verre d’eau qu’il bu à grandes gorgées, avant de poser le verre sur une petite table à côté du canapé.

"Je suis désolé de ne pas t’avoir laissé assouvir tes désirs, ton envie…"

Le loup-garou était assis en face de lui, sur un fauteuil aux mêmes teintes que le canapé. Il regardait le dieu, un peu en dessous du niveau de sa ceinture. Tabris baissa les yeux et remarqua une bosse. Le rouge lui remonta aux joues et il ferma les yeux, s’allongeant sur son épaule gauche de sorte à ce que Valentin ne le voit pas. Il essaye de se remémorer l’un des nombreux livres qu’il avait lu. Pour arrêter une érection, il fallait soit pratiquer une masturbation ou essayer de se calmer. Le dieu opta pour la deuxième option. Mais il était parfaitement calme, c’était juste son corps qui ne l’écoutait toujours pas.

L’adolescent sentait toujours le regard de Valentin sur lui. Il ne voulait pas se retourner, ni se lever. Pourquoi ? Etait-il gêné de la réaction de son corps ? Se prenant la tête dans la main, Tabris rouvrit ses paupières. La chaleur du loup-garou lui manquait. Il finit par se lever, sans jeter un regard à Valentin, et se dirigea vers la salle de bain. Il prit une douche froide et son corps se calma quelque peu. Sortant de la douche, il s’essuya et mit une serviette autour de sa taille. Dans sa précipitation, il avait oublié de prendre des vêtements propres.

C’est ainsi que notre petit dieu débarqua dans le salon où se trouvait toujours le loup-garou, les cheveux humides. Sa chambre était de l’autre côté de la pièce. Il sourit au loup-garou et commença à traverser la pièce.

"Je m’excuse pour ma tenue indécente et vais, de ce pas, me chercher des vêtements. "

Etrangement, Tabris rougissait tout de même.

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Valentin regardait le dieu changer de coté sur le canapé puis se lever pour quitter la salle direction la salle d'eau pour pouvoir se calmer. Sans doute voulait il calmer son erection ? Etait il honteux de l'avoir ? Après tout il était vraiment un novice dans ce domaine.

*Pauvre petit tu ne sais pas ce que tu a rater...*

Il regardait les tableau exposé dans la salle. Valentin aimait certain art très particulier comme la musique ou encore le chant ou la littérature mais pour l'art graphique tout art qui n'était pas réaliste le dépassait pour lui les délires d'un homme qui peint sa pensée sans forme et sans le moindre lien avec le réel ne le passionnait guère. Il c'était attarder sur un portrait du dieu. Il était décidément sublime a voir. Il baissait les yeux et en les refermant voyait le portait de Lund au dessus de la cheminée dans l'immense manoir.

Se visage blanc et beau, effrayant et désirable, si puissant et si faible a la fois, si dangereux et si regrettable, sans remors et pourtant emplie d'amour. Sublime était le corps des dieux. Lund retrouvait le corps de Lund dans les courbes de celle de Tabris. Bref les deux dieu se ressemblait beaucoup en somme. Il se demandait bien ce que pouvait donner leur face a face. Lund avait la même couleur de cheveux et semblait beaucoup plus mature que ce dieu la pourtant les deux n'était pas pareil il y avait quelques chose en Tabris qui le dérangeait presque qui le titillait il n'arrivait pas a dire quoi mais quelque chose l'interpellait.

Il tourna la tète et vis le dieu traverser la salle de séjour en serviette les cheveux gouttant et encore tout dégoulinant de partout. Il était très très désirable dans cette tenue. Valentin voulait s'amuser un peu avec son dieu encore une fois.

Il lui fit un croche patte très discret et le dieu tomba a la renverse sur le dos lachant sa serviette qui retomba hélas sur ses jambe. Le Loup garou s'allongea sur le dieu encore glacé par l'eau de sa douche

Il posa une main sur sa taille une main dans sa nuque et se mis a l'embrasser tout tendrement en douceur pour lui faire goutter a un vrai baiser d'amoureux. Etrangement le dieu s'arca a nouveau et se figea.

*Surprise*

Lund écarta ses lèvres des sienne.

" Il n'y a pas de mal tu es encore plus beau comme cela."

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Tabris était arrivé au niveau de la table avec les fleurs. Instinctivement, en passant devant, il toucha de nouveau son si cher violon, enfermé dans son étui. Il marchait d’un pas assez rapide quand soudainement, il retomba en arrière. Il n’avait plus sa serviette pour cacher sa nudité, celle-ci s’étant à présent posé sur ses jambes. Le dieu voulut la reprendre pour cacher ses parties intimes quand Valentin s’allongea sur lui. Surpris, il releva la tête pour tomber nez à nez avec son loup-garou.

Valentin était un très bel homme, avec ses longs cheveux noirs et ses yeux tel une tempête sans fin. Sa peau n’était pas aussi pâle que la sienne, mais elle était aussi douce que celle d’un bébé. Pendant sa contemplation, Tabris sentit de nouveau des lèvres familières l’embrasser. Il ferma les yeux et se perdit dans le baiser, avant que celui-ci ne se termine. Valentin lui fit alors un compliment.

"Je ne me trouve pas particulièrement beau, tu l’es bien plus que moi."

Le jeune dieu sourit et poussa l’homme. Il reprit sa serviette et la remit autour de sa taille avant d’aider Valentin à se relever. Son corps lui dictait toutes ses actions à présent, le dernier baiser lui faisant prendre le dessus sur l’esprit. Prenant la main du loup-garou, il l’entraîna dans la chambre principale. Un grand lit s’y trouvait. Les couleurs principales de la pièce étaient le bleu foncé et le noir. Le luxe était également présent ici et Tabris tira Valentin vers le lit double.

Il l’y allongea et se mit au-dessus de lui pour une fois. Il commença à l’embrasser langoureusement, des gouttes d’eau tombant de partout, les mains dans la chevelure noire. Le garçon demanda l’accès à la bouche de Valentin et y enfourna sa langue, titillant le palet et les lèvres du loup-garou. Etre le dominant donnait un certain sentiment de satisfaction, bien que ce moment soit certainement de courte durée.

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Valentin ne compris pas la réaction du dieu de la liberté. Habituellement quand un uke s'éloignait de lui il ne revenait pas de la sorte. Après le baiser il l'aidait a le relever, puisi le conduisit directement dans sa chambre pour aller faire quelque chose sans doute. Il le poussa sur le lit et Valentin se laissait renverser s'étalant de toute sa hauteur sur le lit double de la chambre tout aussi belle que le salon question décoration. On ne pouvait pas dire que ce dieu n'avait pas de gout bien loin de la la question était plutot comment faisait il pour encore avoir toute cette beauté dans la décoration.

Valentin se fit surplomber par le gamin qui commença a l'embrasser tendrement n'hésitant pas du tout et même pas une seconde il l'embrassait tendrement. Le jeune dieu était a moitié nu ce qui risquait de facilité la tache au Loup-garou. Il passa ses main autour des hanches du gamin et les colla a les sienne pour recommencer ses ondulation du bassin. Lund sentit très vite la bosse du gamin revenir. Très vite il allait perdre le controle de son être se gamin s'il continuait. Il était sur que ce gamin ne se controlait pas plus il y allait avoir des dégats. Mais pour le moment il se demandait bien ce qu'il allait faire pour le moment.

Il souriait a voir le gamin qui commençait a prendr de l'assurance et de la force en lui même il ne doutait plus du tout comme si c'était directement son corps qui lui dictait sa conduite et qu'il outre passait sa raison et sa conscience.

" Ta douche ta fait changer d'avis ?"

Les gouttes froides de la douche du gamin perlait sur le gamin qui peinait a se réchauffé couvert de glace. Valentin le poussa sur un coté du Lit alla a l'entré dans la chambre ou se trouvait un porte manteau. Il le regardait puis il il posa son interminable manteau noir et son haut. Révélant un puissant torse couvert en partie par ses longs et interminable cheveux noir.

D'un bon prodigieu il réattéri sur le dieu et se mit a l'embrasser avec fougue et passion. Il passa ses main le long du corps du jeune garcon et alors que l'un commençait a descendre le long du ventre l'autre tenait la nuque du petit pour ne pas lui libéré les lèvres. Il faisait chaud dans cette pièce Valentin sentait son coeur battre dans ses tempes. De plus en plus vite comme un moteur de voiture de course dans la première ligne droite ou comme un milier de canon qui bombarde une citée.

Sa main passa sur la serviette et il la lançait sur le coté.

Sa main caressa l'arc du dieu qui déja semblait rouge et honteux.

Valentin l'embrassait toujours avec son interminable langue qui jouait avec sa voisine soudain il sépara leur lèvre pour laisser repiré le dieu qui n'arrivait pas a suivre le rythme. Valentin lui était bien habitué

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Tabris ne fit que sourire après la question de l’homme. Il le vit le pousser pour aller poser son manteau et son haut. Le dieu continuait à sourire encore plus quand il découvrit le torse mis à nu de Valentin. Il avait un corps musclé à l’air indomptable. C’est durant sa contemplation que le loup-garou sauta sur Tabris pour l’embrasser. L’albinos répondit avec ferveur, passant ses bras autour de la nuque de son compagnon. Lui-même ne comprenait pas ses actions, et ne cherchait plus à comprendre. L’esprit logique humain était bien trop complexe.

Le dieu sentit la main de Valentin se balader le long de son ventre et il frémit, le contact électrifiant son corps. Il avait de nouveau chaud, même si ses cheveux trempés laissaient un semblant de fraîcheur sur sa tête. Le baiser durait toujours et Tabris avait du mal à garder le rythme. Il posa une main sur le torse du loup-garou et sentit le cœur de celui-ci battre à son plein. Cela le fit sourire. Il sentit quelque chose de dur contre sa jambe. Valentin semblait aussi excité que lui apparemment.

La serviette s’envola et les douces lèvres quittèrent les siennes. Le dieu laissa ses bras tomber sur le lit, les joues brûlantes. Il était à nu à présent, s’offrant à Valentin, la bouche semi-ouverte, le souffle rauque. Quand il est né et que tout ces scientifiques le regardaient, l’examinaient, Tabris n’en avait ressenti aucune honte. A cette époque, il ne ressentait rien du tout. Mais à présent, sur ce lit, avec au-dessus de lui un homme qu’il n’avait rencontré que depuis quelques heures, il rougissait. Ses lèvres rougies par le dernier baiser, il regardait Valentin.

Le jeune adolescent tendit une main vers son visage, caressant la douce chevelure au passage. Il le toucha et eut un doux sourire. Tout irait bien. Il faisait confiance au loup-garou qui semblait savoir ce qu’il faisait. Puis il porta ses lèvres au cou de Valentin, dégustant la peau pâle, laissant des sillons argentés sur son passage. Il remonta jusqu’au lèvres de l’homme et l’embrassa avec passion. Cette chaleur était étouffante, enivrante. Il commençait à être impatient, de quoi il ne savait pas très bien. Mais ce que l’albinos savait, c’était que Valentin pouvait le lui donner.

"Je suis un dieu mais il semblerait bien que je sois l'uke dans cette relation. Mais cela ne me dérange pas vraiment."

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*heureusement que c'est toi le uke moi je me ferai jamais dominer encore moins par un plus petit moi moins musclé que moi*

IL se laissait embrasser sentant la chaleur émaner du dieu comme s'il avait en face de lui une fonderie entière qui tentait de fondre un métal. La chaleur qui émanait du dieu commençait a le sécher encore heureux ses cheveux était humide et semblait refroidir la bouilloire qu'était la tète de se dieu qui semblait bien puéril au yeux de Valentin. Mais il l'aimait bien. Cela faisait un an qu'il n'avait pas eue de rapport de cet ordre avec une autre entité alors il fallait bien qu'il se lache un jour ou l'autre.

valentin posa sa main sur l'arc et commencait un mouvement de vas et viens pour encore plus faire craquer le dieu de la liberté il voulait l'exiter un maximum avant de le prendre pour pouvoir voir s'il tiendrait sans craquer. Valentin s'amusait a le faire craquer et il y arriverai a n'importe quel prix.

Alors qu'il était entrain de masturber le dieu il le sentait s'arquer de tout son corps sous lui le mouvement du Loup-garou s'accélérait toujours plus vite il voulait pas le faire cracher non il voulait juste le mener a un point ou il serai a mi chemin entre cracher et noramle.

Ce point arriva il retira sa main. Il savait que c'était insupportable quand on était très exiter et que soudain on arretait la masturbation surtout arriver a un certain point ou on est sur le point de tout lacher. Lund passa sa main derrière le dieu et entra en lui avec deux doigt pour lui montrer le niveau supérieur.

News Game...

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Tabris se cambra sous les caresses du loup-garou. Il n’en pouvait presque plus, voulant se libérer. Les yeux fermés et la tête sur le côté, il mit une main au niveau de sa bouche, empêchant ses gémissements de sortir de sa gorge. Valentin avait l’air de bien s’amuser et prenait son temps à le faire languir. Les mouvements sur son membre étant de plus en plus rapide, le dieu se sentit arriver au point culminant quand soudain, la main la quitta. Il émit une sorte de grognement et rouvrit un œil pour voir le loup-garou qui semblait rire intérieurement. Il le maudit de l’avoir laissé ainsi.

C’est alors qu’il sentit la main de Valentin sur ses fesses et il ressentit une vive douleur. Il avait inséré deux doigts en lui. S’empêchant de crier, Tabris se mordit la lèvre inférieure. Il ne comprenait pas pourquoi l’homme avait fait cela et ses doigts se crispèrent. Tout son corps se tendit. L’intrusion était étrangère et désagréable, totalement en contraste avec le plaisir qu’il avait ressenti quelques moments auparavant.

"Ah... Qu'est-ce que... Qu'es-tu en train de faire?"

Les doigts commencèrent à se mouvoir dans son intimité et il gémit de douleur. Il gardait les yeux bien fermés, se demandant si avoir du sexe était toujours aussi douloureux. Tabris sentait toujours les doigts bouger lentement, le massant avec douceur. Il finit par s’y habituer petit à petit et respirait à courtes inspirations. Il voulu savoir quelle était l’expression du visage de son amant mais n’osa pas rouvrir les yeux. Il essaya de calmer sa respiration.

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Valentin souriait puis il se dit qu'il allait lui faire un cadeau. Après tout il lui devait sa liberté non ? Il pouvait bien lui faire un cadeau.

" Je vais te faire ce que je n'ai jamais fait a un seul de mes ukes "

*Il le mérite vraiment ?*

Valentin commençait a embrasser le dieu sur les lèvres, le menton, le coup, le torse, le nombril. Et enfin il arrive au niveau de l'arc du jeune homme. Il était presque dans le même état que celui qu'il avait laisser. Valentin se mis a donner un petit coup de langue et enfin il se mis a lécher littéralement le sexe du jeune homme avec de grands coups de langue tout le long de l'arc tout en douceur. Il léchait a de long mouvement. Enfin il fini par le prendre en bouche en le décalotant avec les dent il se mit a faire un mouvement de vas et viens sans cesse a de lourd mouvement de langue qui ne cessait pas et qui ne prenait a entourer sa langue autour de l'arc.

Le gamin semblait perdre ses repère. Valentin sentait l'exitation chez le jeune garçon. Il sentait l'extrimité de l'arc gonflé comem un ballon le petit ne semblait pas connaitre cette sensation. Les mouvement de langue du jeune Loup-garou ne cessais pas et s'intensifiait de plus de plus. Cette fois il allait le faire crier cette fois et le faire tout lacher.

Finalement Valentin sentit un contact salé dans sa bouche puis tout une volée de liquide lui attérir au fond de la gorge. Le gamin avait enfin rendu l'ame.

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Ce qu’il n’avait jamais fait à un seul de ses ukes ? Qu’est-ce qu’il voulait dire par là ? Le train de pensée de Tabris fut coupé, comme souvent ces temps-ci, par des lèvres qui l’embrassèrent sur la bouche, puis qui descendirent lentement jusqu’à ses parties intimes. Quelque chose d’humide toucha son sexe, qui fut bientôt enfermé dans un étau chaud et humide. Le dieu ne put empêcher un lourd gémissement de sortir d’entre ses dents. Sa main s’agrippa dans les cheveux de Valentin qui venait de commencer un mouvement de va et vient. Tabris était au bord de l’extase. Il se sentait à bout et finit par relâcher sa semence dans la bouche du loup-garou.

"Ahhhh ! Ha… ha…"

Le jeune dieu était encore plus rouge si cela était possible. Il haletait. Tout son corps brûlait. Epuisé, il releva légèrement la tête pour voir Valentin. Il venait de ressentir des sensations nouvelles et intenses. Et son corps en désirait encore plus. Tirant Valentin vers lui, il l’embrassa sans relâche, laissant ses mains se balader sur le corps musclé du loup-garou. Il suivit son instinct et commença à déboutonner son pantalon, les mains fébriles. Quelque part dans sa tête, il savait que Valentin lui aussi désirait atteindre les étoiles, le septième ciel. Les yeux voilés par le désir, il murmura dans l’oreille du loup-garou.

"Je pense que tu dois également vouloir ta délivrance." Le dieu avait la voix rauque. "Je ne connais rien au sexe mais je pense que la phrase la plus appropriée serait… prends-moi."

L’albinos finit par ouvrir le pantalon du loup-garou.

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" Vos désirs sont des Ordres maître..."

Lund s'écutat bien plus vite que l'on pu le penser. D'un mouvement de bras il pris le jeune dieu et le coucha sur le ventre, le Lou-garou quitta son pantalon en un temps recors. Il passa ses mains sur les flancs du dieu lentement et sentit une chaleur s'amaner du dieu. Il aurait pu être le dieu du feu que cela n'aurait pas étonner le jeune Loup-Garou. Il ne se faisait pas désirer plus longtemps cela faisait assez longtemps qu'il jouait avec le gamin il était temps de passer au niveau supérieur il fallait faire quelque chose qui le marque a vie et qu'il s'en souvienne.

La première fois d'un homme le marque a vie comme un fer rouge sur sa peau ou comme s'il se crevait un oeuil, cela restait ancré dans ses souvenir a jamais et il ne pouvait pas s'en défaire. Valentin n'avais jamais eue de fils mais cela aurait été une bien drole de surprise d'avoir un enfant avec un dieu cela lui aurait fait une sacré surprise mais après tout pourquoi pas il serai être un père bien qu'il ignore si l'enfant aurait été Loup-Garou ou de sang divin ?

Peut importe pour le moment Valentin réfléchissait beaucoup trop et n'agissait pas assez selon Lui. Il passa ses mains le longs des flanc du gamin et posa son dard a l'entré du corps du gamin... Il marqua une coute pause avant de l'empaler comme en transperce d'une lance une proie que l'on a pourchasser.

Le Loup-garou ressortait doucement pour que le gamin savoure chaque centimètre de l'interminable engin du jeune loup-garou. Il recommençait et se mis a faire tout un mouvement de va vien sans cesse qui se prolongeait et qui commencait a faire rougir le Loup-garou il prenait du plaisir a empaler et a transpercer le dieu il continuait son mouvement sans s'areter et en continuant son mouvement toujours aussi répétitif toujours aussi agréable toujours aussi puissant et violent.

Il fallait lui montrer.

Le Loup-garou y allait de plus en plus vite de plus en plus fort dans ce corps d'adolescent dont il avait toute les liberté. Valentin entendait des cris rauque se répendre dans la pièce alors que lui se mettait a grogner et sentait comme une liberté de mouvement.

Puis il transforma tout le bas de son corps en la forme de Loup-garou se qui eue pour effet direct d'accroitre les dimensions de toute les parties de son corps notament de son sexe. Mi homme Mi Loup Le souffle du jeune Loup-garou descendait sur la nuque du jeune dieu a moitié avachi sur le lit qui subissait directement les assault de son nouvel amant.

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Le dieu fut couché sur son ventre. Il ne pouvait voir ce qu’il se passait derrière lui et son cœur commença à battre plus rapidement. Il battait si vite qu’il crut un moment qu’il allait sortir de sa poitrine. Respirant avec difficulté, dû à son anxiété, Tabris enfonça son visage dans un des coussins, ses deux mains agrippant les deux côtés. Il n’était pas sûr de ce qui allait se produire par la suite, mais il pressentit que ce serait douloureux.

Soudain, venant de nulle part, une question le prit. Il n’allait tout de même pas tomber enceinte ? Les dieux n’avaient-ils pas le droit de choisir d’enfanter ou non ? L’adolescent ne voulait pas d’enfants pour le moment. Il ne serait pas capable de l’élever et ne connaissait pas encore assez bien Valentin pour cela. Il ferma les yeux et se laissa apprécier le contact des mains du loup-garou se promener sur ses flancs, le détendant. C’est alors qu’il ressentit une vive douleur, déchirante et poignante.

Son cri fut étouffé par la fabrique de tissu qui était plaqué contre son visage. Ses mains se crispèrent une nouvelle fois, menaçant de déchirer le coussin. Il ne pleura pas mais respira avec encore plus de difficultés. Il avait mal, terriblement mal. Son orifice était en feu. Le jeune dieu sentit Valentin se retirer avec douceur, seulement pour revenir à la charge. Pour le moment, Tabris ne ressentait rien qui puisse s’appeler du plaisir. Il commençait déjà à regretter de s’être embarquer dans cela quand le loup-garou toucha sa prostate.

Un lourd gémissement se fit entendre. Valentin n’arrêta pas d’enfoncer son membre plus loin encore, vers ce spot si sensible, ce qui fit gémir encore plus l’adolescent. Il ne comprenait rien à ce qui lui arriver, tout ce qu’il savait c’est qu’il en voulait plus, jusqu’à la délivrance. Il commença à se mouvoir sous son amant, synchronisant le moment où il rentrait en lui. Puis soudainement, Valentin se transforma en loup-garou, du moins le bas de son corps. Tabris sentit qu’il grossissait dans son intimité ce qui le fit gémir encore plus fort. Il était presque à bout.

Finalement, après quelques autres va et vient, le dieu finit par atteindre le paroxysme du plaisir et répandit sa semence sur le bas de son ventre, ainsi que sur les draps soyeux, dans un dernier cri enroué de plaisir.

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Sous les mouvements du Loup-garou Valentin sentait la douleur il la sentait comme toute les première fois avec un uke. C'était beaucoup de souffrance pour le Uke surtout la première fois mais Valentin avait préféré y aller franchement pour écourter la douleur.

Il continuait ses mouvements de plus en plus vite quand un bruit du jeune garçon lui fit sentir qu'il venait de se lacher une seconde fois. Le gamin avait de la réserve on ne pouvait pas dire le contraire. Le petit Dieu avait beaucoup de puissance et surtout ses cris était admirable Valentin aimait ces cris.

Valentin ne pourrait plus tenir plus longtemps et finalement il lacha tout dans le dieu. Finalement il se figea une seconde et s'éfondra a coté du dieu couvert de sueur il se sentait mal le tournis pendant une seconde il se sentait très mal. Pendant un moment il était perdu dans ses vertige et il se sentait de plus en plus mal son teint était pale et il commençait a perdre ses force.

Il se remis en forme humaine dans sa totalité. Il était nue et le dieu aussi il était avachi comme un montre laisser a bas ou tuer par un homme. Comme un titan assassiner, comme un colosse mis a mal.

" Excuse moi, je me sens pas bien, je, j'ai perdu l'habitude de faire ce genre de sport tu comprends ce n'est pas en prison que l'on peut avoir ce genre d'action."

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Tabris sentit son amant se déverser en lui, puis se retirer. Il était épuisé et Valentin le semblait également. Le souffle court, le dieu avait horriblement envie de prendre une douche. Il voulait se laver de la semence qu'ils avaient tous deux déversés. Il allait se lever quand le loup-garou parla, avec quelques difficultés, ce qui inquiéta le jeune dieu. Il se mit en position assise et regarda Valentin. Celui-ci semblait vidé de ses forces. Lentement et doucement, Tabris plaça le loup-garou sur son dos. Il lui fit un baiser papillon sur les lèvres et se leva.

"Je reviens, ne bouge pas."

Il prit quelques vêtements propres avec lui, notamment une chemise blanche et un pantalon noir, et retourna à la salle de bain pour prendre une rapide douche froide. Il se rhabilla en vitesse et alla dans la cuisine chercher un verre d'eau, ainsi qu'un morceau de tissu trempé. Le jeune dieu retourna dans sa chambre et s'assit sur le lit, épongea le visage trempé de sueur de son amant et lui offrit le verre d'eau.

Des tas de questions commencèrent à l'assaillir à présent. Tout d'abord, il ouvrit le petit tiroir de sa table de chevet et prit une pilulle. Il ne désirait vraiment pas tomber enceinte maintenant, même si le loup-garou, lui, le souhaitait peut-être. Finalement, faire l'amour était douloureux au début, mais c'est pour bien plus en savourer le plaisir plus tard. Tabris commença à se demander pourquoi il avait fait ça, lui qui avait tout d'abord décidé de ne pas aller plus loin. Visiblement, ce n'était que de l'attirance physique. Il ne comprenait toujours pas la 'passion', bien qu'il eut apprit beaucoup aujourd'hui.

"Ca va mieux? Tu as besoin de quelque chose?"

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