Tour de kiyoshi

Kiyoshi dormait, la tête enfouit sous son oreiller, le drap de satin noir lui couvrant le corps. C’est miaulement plaintif qui lui répondit. Sortant alors sa frimousse, il jeta un regard embrumé de sommeil au petit chaton blanc et eut un sourire.
Lui caressant alors la tête, il se redressa sur ce matelas fin, posé pratiquement à même le sol, il balança quelques coussins dans la pièce et se redressa, nu. Kiyoshi si dirigea vers la salle de bain et regarda pendant un long moment le bain avant de sourire et de s’y poser.

Il dut s’endormit sous la douche chaleur de l’eau car lorsqu’il ouvrit un œil un calme inquiétant régnait dans la tour. Il était déjà l’heure ? Se redressant, il attrapa une serviette qu’il noua autour de la taille tout en se dirigeant vers sa chambre. Il opta pour des affaires simples ! Un jean délavé avec un polo noir à col roulé. Restant quand même pied nus, il s’avança vers le grand salon qui donnait, par une immense bais vitré sur le jardin. C’est à ce moment là qu’il le vit arriver.

Souriant, il ouvrit la vitre et s’appuya dessus, tout en examinant longuement le jeune homme. Il n’avait pas put s’empêcher de le prendre avec lui. Pour est ce un bien pour un mal ? Toujours est-il qu’il s’étonna de sa venue ici et ce fut sa toute première demande. Kiyoshi ou un petit sourire et se sentit obliger de le rassurer. Il se poser trop de question et c’est ce qui avait fait craquer Shi.

Se redressant, il sentit une boule de poile glisser entre ces jambes, lui faisant détourner le regard. Il l’attrapa le chaton blanc et s’avança vers le jeune homme, avant de s’arrêter à sa hauteur. Kiyoshi ne put alors s’empêcher de l’embrasser sur la joue pour enfin se pencher vers son oreille.

_ Bonjour Hitai … ‘il se redresse et dépose le chat dans ces bras’ Tiens ! C’est pour toi ^^.

Congédiant les quatre ‘pseudo gardes’, il attrapa le jeune homme par le bras et le força à le suivre, pour le faire entrer dans la demeure. Le délaissant enfin, il alla dans la cuisine, façon américaine et lui proposa quelques chose à boire ou à manger. Entre temps, il se servit une tasse de chocolat chaud et s’assit sur une chaise haute, lui indiquant de venir le rejoindre. Ils avaient à parler tout deux. Se lécha alors la lèvre supérieur, histoire qu’il n’est pas de moustache, il soupira.

_ Tu as quelque chose à me demander Hitai ? Ta venue ici te trouble n’est ce pas ^^ ? Mais dis moi, quel genre de Seme aimerais-tu avoir ?

Hitai ouvrit grand les yeux quand il recut un baiser sur la joue , Pourquoi avait il droit à cette marque 'd'affection' ? Hitai baissa les yeux vers le chaton , celui ci lui rappellait vaguement quelque chose , hmmm .. ha oui , c'est celui que Kiyoshi avait trouver au cimetière , Hitai sourit doucement caressant le chaton qui s'était blotti dans le creux de ses bras . Il leva quelque peu les yeux regardant Kiyoshi inquiet , il ne comprenait pas . Hitai ouvrit la bouche pour dire quelque chose , mais Kiyoshi lui attrapa le bras pour qu'il le suive . Hitai en profita pour regarder les lieux , T_T ces dieux ils avaient des gout de luxe . Le jeune garcon arrivait dans la cuisine regarda Kiyoshi s'agiter sans rien dire , d'ailleur que pouvait il dire ? il avait poser une question au dieu et celui ci ne lui avait pas répondu . Le garcon secoua la tête de droite à gauche quand Kiyoshi lui proposa quelque chose à boire , non , il n'avait pas soif , du moins , pas pour le moment .

Hitai alla deux chaise après Kiyoshi pour ne pas être trop près de celui ci , bas quoi ? on ne sait jamais , il posa le chaton sur la chaise qui les séparaient puis leva les yeux vers Kiyoshi écoutant les questions que lui posait celui ci . Quel genre de seme il aimerait avoir ? et bien .. Hitai n'y avait jamais vraiment penser , mais la seul réponse qui lui venait pour le moment c'était 'et bien pour être franc je n'en voudrai aucun' , mais .. il ne pouvait pas dire sa à Kiyoshi , alors il posa les yeux sur le chaton blanc , cherchant une réponse convenable .



Se genre de seme était impossible à trouver , Hitai posa de nouveau son regard sur Kiyoshi , regardant la réaction de celui ci , il allait surement rire de sa réponse . Hitai soupira doucement observant silencieusement la pièce . Maintenant quand il avait répondu à sa question , est ce que l'on pouvait répondre aux siennes ? Hitai leva les yeux vers le plafond avant de dire doucement .



Hitai posait il trop de question ? se n'était pas de sa faute , il avait toujours été de nature curieuse . Le garcon passa sa main dans ses cheveux pour remettre ceux ci correctement , il caressa un instant le chaton en attendant patiemment les réponses de Kiyoshi .


[C'est pas très très long désolé ]

Apres avoir fait une longue sieste assez mouvementé en très bonne compagnie, Iro se réveilla en fin d’après midi alors qu’un corps reposait prêt du sien. S’étirant tel un félin, il cacha un bâillement et se redressa nu, ignorant son compagnon d’une journée. Passant directement dans la douche, il mit une bonne heure avant d’en ressortir, la peau parfumée à la vanille. L’esprit complètement empêtré dans le sommeil, il s’habilla avec des gestes lents. Enfilant alors un pantalon de lin sombre, moulant à la perfection son postérieur, il finit par mettre une chemise noire toute aussi moulante, laissant les boutons ouverts.

Se dirigeant vers la cuisine, il prit une large sucette plate à la cerise et sortie de sa demeure en claquant la porte de chez lui, laissant alors seul sa conquête. Il espérait juste qu’elle serait partie avant ce soir. Poussant alors un long soupire, il descendit les quelques marches de sa tour et s’avança dans les allées brumeuses des cieux. Se mettant alors à suçoter sa sucette, il tourna son beau visage vers sa droite et repéra la maison du Dieu de la Paresse. Ne faisant rien comme les autres, ce Dieu là avait préférer faire une maison plein pied au lieu d’une tour. Haussant un sourcil, un lent sourire étira ses jolies lèvres ourlées et d’un pas léger et sensuel, il se dirigea vers la demeure de Kiyoshi.

Au début, il avait eut envie de faire, comme tout bons amis, sonner à la porte, mais vu que celle-ci était grande ouverte … Ne faisant alors pas attention à se qui l’entourait, il monta les quelques marches du perron et passa sa frimousse à l’intérieur de la maison. Des voix résonnaient au fond de la salle. Son sourire s’élargit encore plus. Se redressant, il avança d’un pas assuré dans la maison et s’arrêta dans le large salon avant de pousser un long soupire. Ouvrant les larges bais vitrées d’un geste de la main, il se laissa tombé dans le large canapé blanc du salon et coincé un coussin sous sa tête. Tout à sa contemplation du plafond, il attrapa un magasine et l’ouvrit et s’installa confortablement.

Le silence s’installa brusquement dans la pièce. Dérangé, il redressa le visage vers Kiyoshi et lui fit un large sourire.

- Nan, mais vous arrêtez pas pour moi.

Leur indiquant de continuer sur leur lancée, il reprit sa lecture.

Attentionné et gentil ? Kiyoshi ne pu s’empêcher de sourire doucement au jeune homme. Il était vraiment trop chou. Déposant alors sa tasse sur le comptoir, il ramena ses jambes contre lui et plissa légèrement les yeux. Pour le moment, il ne connaissait qu’un seul seme qui remplissait ses deux catégorie là et malheureusement pour lui, il avait déjà un uke. Caressant le chaton, il le prit dans les bras et l’embrassa sur le museau avant de soupirer.

_ Pour le moment, je ne connais qu’un seul seme qui remplisse tes deux critères, mais ont lui a déjà donné un uke. Mais pourquoi tu ne me réponds pas franchement. Si tu n’en veux aucun, tu n’en auras aucun. Seulement, faut me le dire, tu ne crois pas ?

Lui souriant, il se redressa de son siège et attrapa son bol, tout en faisant le tour du comptoir pour le déposer dans l’évier. Bizarrement, ce matin, il avait faim. Prenant alors une banane, il l’éplucha et retourna s’asseoir, mais cette fois-ci, juste à coté de lui.
Alors qu’il s’apprêtait à lui répondre sa dernière question, des bruits de pas, le fit froncer les sourcils et tourner le visage vers l’entrée de la demeure. Se demandant bien qui cela pouvait être, il vit un jeune homme à la chevelure blonde. Au début, il pensa qu’il s’agissait de Mazoku mais le maintient du jeune homme le fit sourire.

Voilà que le Dieu de l’Envie se pointait chez lui et comme à ça sale habitude, il fit comme chez lui. Le sourire de Kiyoshi se fana. Croisant ses jambes, il regarda longuement l’Envie alors que celui ci se vautrait dans son canapé.
Lui et Hitai restèrent silencieux et lorsqu’il abaissa son magasine pour les regarder et le dire de continuer leurs affaires, Kiyoshi posa l’épluchure de son fruit sur le comptoir et descendit de sa chaise haute. Lui poussant les codasse de son canapé couleur nacre, il se pencha vers lui et il lui arracha la sucette de la bouche.

_ De un ; tes pieds avec tes chaussures sur mon canapé, t’oublis. De deux ; ici, c’est pas un moulin mon petit Iro. Et de trois ; cette sucette, elle est a moi !

La mettant dans sa bouche, il se détourna enfin de lui et alla refermer les bais vitrées, le vent soufflant durement cette après midi. Mettant ses mains sur ses hanches, il suçota un instant la sucette avant d’aller mettre son épluchure à la poubelle tout en dégageant son visage de quelques mèches rouges. Poussant alors un long soupire, il déposa le chat sur le sol et retourna auprès de Hitai et lui fit un large sourire.
Quel était sa question déjà ?

_ Tu veux savoir pourquoi tu es là ? Je pensais que c’était simple à deviner … Tu n’as toujours pas compris ?

Roh, nan, il était vraiment trop chou lui !

Le Dieu de l’envie replongea dans son magasine, puis il sentit son semblable se rapprocher de lui, il ne fit que abaisser légèrement son bouquin pour regarder ce que celui ci allait lui faire.
Le Dieu de la paresse attrapa ses chevilles et les laissa tomber dans le vide et se pencha vers ensuite vers lui, étant le dieu de l’envie il avait quelque pulsions que les autres dieu n’avaient pas ou alors le seul qui devait les posséder c’était Mazoku, le dieu de la luxure. Il se fit un sourire malicieux a lui même qui disparus vite quand Kiyoshi lui enleva la sucette de la bouche, sur le moment il avait l’impression d’avoir été confondu avec un gamin de trois ans.

_ De un ; tes pieds avec tes chaussures sur mon canapé, t’oublis. De deux ; ici, c’est pas un moulin mon petit Iro. Et de trois ; cette sucette, elle est a moi !

Iro lui fit un grand sourire et se redressa en position assise, il observa Kiyoshi qui alla fermer les fenêtres et ensuite s’avancer vers un jeune homme totalement désemparé qui semblait être a vu d’œil un Uke.
Le dieu de l’envie poussa un long soupire et s’étira comme un chat puis d’un simple geste de la main ré ouvrit les fenêtres que la paresse avait pris soin de fermé il y a de ça quelque minutes, Iro adorait taquinait son petit dieu de la paresse, parce qu’il marchait a chaque fois mais jamais il ne lui ferait de mal, il l’aimait trop pour ça.
L’envie se radossa contre le canapé et fixa avec intensité le petit inconnu, il se passa machinalement un doigt sur ses fines lèvres qui s’étira en un beau sourire face a la gêne du jeune homme, Iro voyait clairement que Kiyoshi l’avait pris en affection mais l’uke ne semblait pas s’en être rendu compte.
Le dieu de l’envie poussa un nouveau soupire et se leva, il s’approcha des deux hommes quand quelque chose vint buter a ses pieds, il baissa le regards et trouva un petit chatons adorable en train de se frotter contre ses chevilles, il poussa un cri de surprise et s’accroupit pour prendre le félin, puis il se redressa et acheva son parcours direction le dieu et l’uke.
D’un geste a la fois doux et sec il reprit sa sucette a son voleur et la remis dans sa bouche puis il tourna son visage vers le jeune inconnu et approcha son visage du siens pour le regarder, il l’approcha près, trop près et après 5 minutes qui devait paraître interminable au pauvre garçon et il recula son visage et lui fit un sourire chaleureux, puis il se retourna vers Kiyoshi.

_juste une question Kiyo…depuis quand tu amène des Uke chez toi pour leur désigner un seme ? (se tournant vers L’uke avec un clin d’œil)sans vouloir te vexer trésor !^^.

Attendant que le dieu de la paresse réponde ou non a sa question il caressa la boule de poil d’une main et suçota sa sucette de l’autre en jouant a faire tourner le bâton qui maintenait la pastille de sucre rouge.