Maison d'Aizawa Kagushi et de Sohji Tenjô

[Les rues]

Sohji passa très rapidement chez son père prenant surtout son temps pour arriver jusqu'à la maison. Son père le questionna sur son retard et le jeune homme lâcha négligemment qu'il avait fait la rencontre d'un dieu et de son Seme. Il se dépêcha ensuite de filer à l'étage alors que son père atteignait un état d'excitation indescriptible.

Il prit aussi son temps sous la douche ignorant son père qui lui posait déjà des questions et le bombardaient de "conseils" de l'autre côté de la porte. Il se dépêcha donc de rejoindre sa chambre s'y enfermant en mettant la musique. Il soupira puis alla jusqu'à son armoire, il en tira un boxer et un jean serré qu'il enfila avant de passer un court tee-shirt. Il se sécha grossièrement les cheveux puis jetant un coup d'oeil à son réveil il décida d'y aller ignorant de nouveau son père qui lui rappela d'être "gentil" avec son Seme. Sohji grinça des dents et claqua la porte.

Il rejoignit Aizawa à l'heure au rendez-vous qu'ils avaient fixé et s'en suivit une folle journée de visite. Ils firent une courte pause pour manger à midi avant de reprendre les visites. Ils finirent par tomber d'accord sur une maison en fin de journée ... enfin Aizawa n'était pas spécialement difficile il s'agissait surtout de Sohji qui tenait vraiment à trouver une maison qui lui plaisait ... s'ils devaient y passer une bonne partie de leur vie....

C'était une maison assez simple avec un petit jardin. Au rez-de-chaussée se trouvait la cuisine, la salle/salon, un bureau/bibliothèque et une pièce qu'ils pouvaient facilement aménager en salle d'entraînement l'un des seuls désirs de son Seme. A l'étage, on trouvait une grande salle de bain ainsi que 2chambes et une pièce qu'ils pouvaient aménager à leur guise. Une partie de la maison était déjà aménagée et s'ils ajoutaient les affaires d'Aizawa et celles de Sohji ils auraient peu de choses à acheter.

Le jeune homme flâna un peu dans le salon son regard s'échappant par la grande porte fenêtre qui donnait sur le jardin alors qu'Aizawa terminait de signer quelques papiers avec le propriétaire qui finit par lui tendre deux clés. L'homme sortit de la maison les laissant seuls dans cette maison qui étaient à présent la leurre, une idée à laquelle Sohji se faisait progressivement.

(se tourne vers son Seme) "Je pense que je commencerais à emménager dès demain j'ai peu d'affaires juste les meubles et les effets qui sont dans ma chambre. Mon père m'aidera à tout emmener..."

Cela allait un peu rapidement mais il tenait à s'éloigner de son père assez rapidement avant qu'il commence à aborder certains sujets comme les enfants ou l'acte en lui-même avec lui.

Aizawa avait réussit à être à l'air au rendez vous. La séance chez la police avait était longue, mais la première maison le lieux où ils s'attendraient était à deux patés de maisons. Il s'y rendit tout de suite après. Une longue journée s'annoçait à eux.

Et c'est bien ce qu'il pensait, pour lui toutes les maisons était bien, mais Sohji avait un goût particulier. Il cherchait la maison idéale. Finalement il la trouva et aizawa n'avait toujours aucune opignion sur la question. Ai signa tout les papier adéquat, et lorsqu'il lui tendit les clé, il comprit qu'elle lui appartennait. Non, qu'elle leur appartenait. C'était encore difficile de pensé nous au lieu de je.
Il avança vers le jeune homme, et lui tendit ses clés.

"Tu fais comme tu le sents. Si tu veux demain, fait demain, si tu veux se soir fais ce soir. Tiens voici tes clés. Je vais peut être dormir ici ce soir, je suis un peu fatigué pour conduire. Demain matin, je passe chez moi pour me changer et commencer à apporter mes affaires."

Aizawa venait seulement de comprendre que le père de Sohji. Un boulle commençait à se former dans son estomac. Qui aurait pu savoir que ce ceinture noir de karaté, pouvais avoir si peur de parler? C'était le monde à l'envers! Lui qui tout à l'heure voulais rassurer le père, maintenant il avait le syndrôme de la belle-mère.

"Dit moi... Ton père il va vouloir me parler demain?"

Il alla déposer ses clé sur la table et regarda en coin le jeune homme. Il ne s'avait pas comment il allait réagir.

"Non, prend le lit à l'étage. Je te réveillerai pas en partant demain matin."

Aizawa avait visé juste. Son père allait allait lui tomber dessus et l'assallir de questions. Le le voyant déjà le poursuivant sans relâche, de pièce en pièce. En plus il pourait se montrer indiscret. Il ticqua lorsqu'il lui parla de dressage. Il se retourna vers lui en fronçant légèrement les surcils. On ne dresse pas les hommes, mais les animaux!

"C'est lui qu'il t'a dit que je devais de "dresser"? Ce n'ai pas à moi de t'éduquer. Tu es assez grand pour savoir ce que tu as faire."

Ca l'avait profondémend choqué. Comment pouvait on traiter une personne comme un animal?! A il toutchait un point sensible, la famille. Aizawa s'appuya sur la table face à Sohji. les main sur le bord de celle-ci, il aimait bien le contacte du bois. Baissant la tête, il se disait que ça faisait déjà un moment qu'il n'avait pas été les voir.

" Tu n'auras pas cette chance. Mon père uke est mort en nous donnant la vie, et l'autre a mit du temps pour le rejoindre, mais il a tout de même réussit à se faire détester. En parlant de ça, demain, j'irait peut être l'annoncer à mon frère. Il aurait été heureux de l'apprendre (sourir d'une tristesse mélancolique) Demain, oui demain, je serais un peu en retard..."

Il ne se laisserai plus avoir une fois de plus dans son objectif. Il protégerai coûte que coûte qui le voudra pour moins cupabilisé après de son frère. Il n'avait pas su le protéger lui, il protégerai quelqu'un d'autre.
Il releva la tête, se forçant à ne laisser paraitre aucun sentiment que se soit cupabilité, tristesse ou remord.

"Peut être qu'un jour je t'emmenerai les voir. Bon! Il est trop tard pour faire quelque course, je vais commender un repas. Tu as une préférence?"

Se décollant de la table, il alla chercher son cellulaire. Heureusement pour lui qu'il avait mémoriser différent traiteur et restaurent qui faisait des livraison à domicil. Ce n'est pas qu'il ne savait pas cuisiner, mais pour lui, cuisiner est une perte de temps qu'il pourait utiliser autrement.

Dormir avec?! Lui il pensait faire chambre à part pendant un pett moment. Enfin jusqu'à ce qu'il se dise que c'était le bon moment. Un moment qu'il ne pensait pas pouvoir voir arriver. Il fallait vraiment qu'il se documente. Lui qui bouge souvent. Il se reiveillait toujours dans des positions loufoques.
Mais il n'eu pas le temps de répondre. Le père de Sohji avait vraiment un manière de pensait qu'il n'aimait pas. Il n'avait pas à le faire obéir. Enfin, c'est un partisant du laisser faire, laisser aller qui disait ça.

Sohji vint passer sa main sur son bras, ce qui le perturba un peu. Un frisson le parcouru de l'échine jusqu'à la nuque. C'était quoi? De la pitié ou de la tendresse? Se détachant de lui, les joue un peu rosies, il prit son cellulaire.

"Va pour un chinois!"

Il composa le numéro et attendi que le tonalité ce coupe pour parler. Il commanda ce que lui soufflait le jeune homme, pour lui c'était toujours les même choses, des raviolis vapeur, des rouleaus de printemps et du nougats aux sésames, son pêché mignon. Un fois fait, il raccrocha et se retourna vers le jeune homme. Sa jolie teinte rose était parti.

"C'est bon, il ne devrait plus tarder"

Il revint à coté de lui, l'air un peu géné. Il avait une question qui lui brûlait les lévres. Ce demandait comment lui dire.

"Tu.... tu n'as pas un peu peur de vivre avec moi? Je veux dire on se connait que depuis aujourd'hui et je suis pas vraiment quelqu'un de très sociable..."

Il se passa un lourde main, dans les cheveux, visiblement mal à l'aise. Il ne voyait pas vraiment où il voulais en venir lui même.

"Nan, enfin c'est pas ça... Je voulais savoir si.... tu avais peur de moi?"

Non ce n'était pas ça non plus, mais il n'allait pas lui dire ce qu'il avait sur le coeur aussi. Il n'allait pas lui demander s'il avait déjà rencontré "l'homme de sa vie" et s'il voulais resté avec lui. Il n'allait pas lui dire non plus, que s'il ne l'aimait pas il ne le forcerai pas à être avec lui, ni que s'il ne l'aimait pas et que c'était réciproque, il pouvait le tromper avec "l'homme de sa vie" il ne dirai rien. C'est pas un dieu qui allait lui dicter sa conduite!

Aizwa reprit le cours de son repas, alors que Sohji lui parlais de ses doutes. Mignon le petit... Il en avait sourit à cette pensée. Il avait pensé quoi?! Il se disait que mieux valait de ne pas y réfléchir, surment une idée comme ça. Il allai lui montrer ce qu'il attendait par un petit test. l se leva et prit un peu de nougat aux sésames laisant en dépasser de s bouche et s'approcha de Sohji. Tendant le visage vers lui pour li faire prend le reste de pate sucrée qui dépassait. Le jeune homme recula instinctivement. Aizawa avait vu juste, il avala le morceau de nougat et s'assit à coté de lui.

"Tu vois, tu as repoussé une agression parce que ton cerveau te l'a dit, tu n'as pas utilisé la violence. Dans un combat c'et pareille. L'esprit, prime sur la force. Si tu t'en crois capable alors tu y arrivera, à l'inverse, ne pas croire en toi entraine ta perte. Avec du temps et de l'entrainement, tu comprendra que l'esprit est plus important, il te dictera ta conduite, tu seras capable de prévoir les coup de ton adversaire."

Aizawa souriait doucement, c'était une petite expérience qui montrait bien qu'il avait du potentiel le petit. Mais étrangement il était déçu de s'être fait repousser. Il attrapa la boite ou se tenait les sucreries et les donna à Sohji. Le petit cube qu'il avait pris lui avait suffit, et puis surtout, s'il en reprenait un, il était sur qu'il les mangerais tous. L'argenté se leva et prit se qu'il y avait à débarasser et commena à nettoyer.

"Si tu as finit, va te coucher. Tu dois être fatigué de ta journée.Je terminerai de ranger."

Il s'assit sur canapé, attendant sagement que son uke est terminé son repas alors qu'il déplaçait ses affaires. C'était assez calme et le sommeil s'annonçait rapidement avec cette atmosphère propice. Il songeait au premiers jours où il avait emménagé avec son frère. Ca ressemblait un peu à l'atmosphère qui régnait maintenant.

[désolée j'ai pas l'inspiration T__T]

Aizawa fut tiré de sa rêverie par le jeune homme qui lui parlait à nouveau, et venait s'asseoir juste à côté de lui à présent. Deux doigts devant lui, comtenant une petite boule. On pouvait pas vraiment dire que c'était un accro du sucre, mais, lui en faire manger... C'était un peu comme une drogue, il en voulait toujours plus. Il pensait à ce qu'il venait de dire. C'était pas génant de dormir avec quelqu'un qu'on connait depuis peu? Et cette pâtisserie qui lui faisait les yeux doux... Comment lui ressister à son air d'influance?

Il approcha sa bouche pour prendre ce qu'il voulait bien lui donner. Ses lévres se refermèrent délicatesment autour de ses doigts. Sa langue passa entre les phalanges, s'enroula autour de la perle et la ramena vers le fond. Il recula la tête, libérant les doigts un peu humide après ce contacte. L'argenté mâcha la boulette, qui avait un bon gout de sucre malheureusement. Dur d'oublier la saveur, le sensation de bien être, son envie d'en reprendre une.... Maintenant, même le peu de chose surcré allait le tenter. Il claca un peu la langue dans sa boucche, comme pour faire durer le plaisir.

"Tu es sur que dormir avec moi ne te pose pas de prob......."

Il avait relever le visage vers la fin de sa phrase. Sohji avait un regard un peu étrange, tout du moins, il ne connaissait pas se regard. Et puis il était tout rouge. Est ce de la géne, de la chaleur, un maladie qui se déclanchait? Il s'inquiétait pour lui, ça aussi c'est étrange. Il ne passait pas ça possible, enfin avec quelqu'un d'autre que son patron. C'était déstabilisant, et puis il n'avait pas vraiment fait attention, mais il était vraiment proche de lui là... Et pourquoi son corps réagissait comme ça? Il rougissait également, mais ne savant même pas pourquoi.

"J'ai fait quelques chose qu'il fallait pas?"

Il posa machinalement sa main sur sa cuisse, ce qui dut le déséquilibrer car il pencha dangereusement, jusqu'à tomber sur lui. Il ne savait pas s'il devait se dire "heureusement que j'étais là" ou bien "je suis trop con, c'est de ma faute!". Sa main sur sa cuisse.... plus vraiment sur la cuisse, avec sa chute, Sohji avait glissé et elle se retrouvait à un endroit où il na fallait. Et dans cette position, il ne pouvait pas l'enlever, bloqué par la posture indésiré de son uke. Ouai mais bon, sentir son membre, ça affolait le sien bizarrement...

"Excuse... Excuse -moi ... Mais je peux pas bouger..."

C'était vraiment une situation embarassante. Jamais il abait penser, en arriver là! Même! Jamais il aurait penser à quelque chose de ca genre tout cours. Il essayait de dégager sa main, mais n'arrivait qu'à la froler encore plus contre la virilité de son homme. Vraiment génant et embarassant...

Vu la proximité des deux hommes, Aizawa ne pouvait qu'entendre ça faible plainte, et denouveau son corp répondit pour lui. Un feu ardant, se propageant en bas. C'était troublant pour lui, il n'arrivait pas à mettre de nom sur ça, se mélange de sentiment diverses. Il y avait comme de l'envi, mais pas le même que losrque que l'on veut une objet, pourtan, c'était comparable. L'objet était Sohji, donc c'est de l'envie, avec se plus qui le rend bizarre. Ce truc qui rend heureux, qui brule mais appaise. Et ça avit augmenter avec le gémissement de Sohji. Il sentait s'empourpré de plus en plus, en songeant que le blond allait se relever et le voir dans cette état. Enfin si c'était perceptible pour le moment.

Lorsque le jeune homme commença à se relever, sans le vouloir, il appuyait sur son membre fort. C'était à lui d'étouffer un soupir, la douche légerement entre-ouverte. Il espéra ne pas être entendu, mais c'était dire à croire. Pourquoi ses sens s'affolaient comme ça. Et son regard accrocheur sur ses lévres. Pourquoi voulait il savoir quel goût avait les siennes?Mais à quoi pensait il !? Pourquoi ton son être répondait différament que la normal? Sa le rendait perplexe. Les jeune homme "s'enfuya" de sur lui, laissant son corp fébrile. De plus en plus troublé il ne comprennait pas. Il était.... déçu, non son corp l'était maisil y avait encore se petit plus que fait que ce n'est pas vraiment une déception. C'était... comme lorsqu'on veut quelque chose si fort, et que de justesse, on ne l'a pas... voilà c'était une frustration.

Il s'assit sur son séant, alors que Sohji était écarté. Il s'excusait mais il n'avait rien fait. C'était de sa faute, à lui. Il l'avait déséquilibré et son corp réagissait étrangement. Il s'en voulait de l'avoir fait tomber, de ne pas réussir à maitriser son corp comme il le souhaitait, d'avoir des pensées qu'il n'avait jamais eu.... Mes sa fièvre ne partait pas. Il voulait vraiment savoir la saveur de ses lévres, et plus il y pensait plus il avait chaud et plus il y repensait.

"Tu n'as pas à t'excuser..... C'est de ma faute..."

Sucré, elles doivent être sucrées après avoir mangé ses petites perles. Il avait envie de vérifier, mais comment allait il le prendre... L'astmosphère était plus lourde, il fallait qu'il fasse quelques chose, lui prendre les lévres pas exemple. Ah mais! Pourquoi ça lui revenait toujours à l'esprit. Tout ce qu'il voulait c'était savoir quel goût... AH!!! Encore! C'est une véritable obséssion! Il ne savait pas s'il devait laisser faire se que lui dictait son corp, ses pensées et ses sentiments, ou bien suivre sa moral. L'argenté se rapproche doucement de lui... très près de lui, trop près de lui, presque SUR lui.

"Je tiens à m'excuser pour.... pour ce que je vais faire..."

Il coinça son visage entre son pouce et son index, rapprochant sa bouche de la sienne. Son coeur menaçait d'exploser sous ses émotions. Lentement sa langue passa sur les lévres rosées et fermés de son Uke. Elles étaient bien sucrées, il recommança à lapper soigneusement. Aizawa recommençait a se sentir transporter par ses sentiments sans nom. Il continua à caresser ses lèvres de la pointe de sa langue, rougissant à l'explication qu'il devra sans doute donner à Sohji.

Son corp réagissait trop vite et trop intensement pour une simple chose. Son calçon se resserait sur lui, si bien qu'il se demandait s'il ne ferait pas mieux de tout arrêter maintenant. Mais n'était il pas déjà trop tard lorsqu'il inflitra sa langue dans sa bouche pour vérifier que l'intérieur était sucré lui auss.

Aizawa essaya de se controler dans les premier temps, apprenant peu à peu la "technique". Mais plus son envie de lui augmentait, plus il se laissa guider par son instinct. Il relacha son visage, venant loger ses main dans au creux de son dos. Il commençait à jouer avec l'occupante des lieux avec plus d'aisance. La main dans ses cheuveux lacher, cette douceur, cette aura de bien... tout faisait qu'il voulait le cajoler, le sentir entièrement, l'embrasser, lui dire des mots qui le ferait rêver... C'était bien plus qu'une simple envie, il en avait vrai très envie, il le désirait plus que tout. C'était ça le mot qu'il cherchait depuis tout à l'heure, il le désirait.


Il retira ses mains, alors que son cadet l'entrainait dans sa chute. Délicatement, il se coucha sur lui, prenant soin de ne pas l'étouffer de son poid. La chaleur qui parcourait ses veines le rendait plus que fébril alors qu'il ne pouvait plus se détacher de cette bouche gourmande. Le sentir si proche, alors que ses doigts lui parcouraient sa peau... N'allait ce pas trop vite? C'est vrai, ils se connaissaient à peine et avaient la vie devant eux pour le faire. Pourtant son corp refusait tout raisonnement logique depuis un moment, il ne répondait qu'à des pulsions incontrolées. La séparation de leur deux bouches fut difficiles, mais inespéré. Il reprit son souffle écoutant ce que lui disait son cadet.

Là ça commençait à lui faire peur. C'était trop d'un coup. Etait ce raisonnable de se lâcher totalement pour leur premier jour ensemble? Même si son corp répondait à son appel par un gonflement de son sexe, sa tête l'affolait. Et s'il venait à regretter de le faire avec Aizawa? Et s'il s'y prenait mal? Et s'y lui en voulait après? Même si c'est Sohji qui demandait indirectement plus, il pourait regretter, il pourait lui en vouloir, il pourait se lasser de son inexpérimentation...

"Tu es sur... de vouloir aller ... plus loin?"

Mais comment résister à ses lévres dévorantes dans son cou, à ses mains manipulatrices qui échauffaient chaques parcelles qu'elles touchaient, au sienne qui sentait le corp fin et finement musclé... On ne peux pas! Il bouga un peu pour pouvoir passer se mains sous la couche de vêtement de son Uke, frottant délicieusement sa bosse contre lui. Il n'y avait plus de retour possible, ses sens étaient trop éveillées et sa raison trop sourde et muette à présent.

"Sohji ... tu es si sucré..."

Il s'activa à remonter le haut de don cadet. Il souhait le voir, le toucher et le goûter entièrement. Il avait éveillé en lui bien trop de chose pour les apaiser d'un simple baiser. Son bas ventre le brulait d'impatience, mais il préfait y allé avec lenteur, faisait durer le plaisir.

Aidé par son partenaire, il dit rapidement au revoir à son débardeur blanc. Ca ne le gênait nullement. Il avait assez chaud de ces nouvelles sensation pour se passer de son vêtement. Surtout que grâce à ça, il pouvait sentir la peau du Sohji contre la sienne.
Ce laisser allé avait du bon. On se sentait étrangement bien, on oubliait ses tracas, ses soucis, le monde extérieur... sauf peut être le téléphone. Mais heureusement le sien était bien sur la table. Et s'il osait lui faire ça... Il ne répondrait pas tout simplement, que ce soit urgent, ce qui est peu probable, ou pas.

Leur deux corps enlacés, son désir de satisfaire ses envie ne faisait qu'accroitre, mais il avait encore un semblant de contrôle sur le sien. Juste assez pour caresser les flancs de son cadet et de garder sa bouche proche de la sienne. La main de son Uke déscendit taquiner l'un de ses grain de chair. Il ne pu empêcher le gémissement qui lui venait, de franchir ses lévres. C'était pas du jeu! Il ne pouvait pas faire ça! Il allait devoir se venger...

"Sohji... tu vas me pousser à bout..."

Pousser à bout oui, mais vas, non, c'était déjà fait. Il glissa sur lui, ses mains s'engouffrèrent sous le pontalong du jeune homme pour l'abaisser. Sa bouche chemina de la bouche jusqu'au nombril, c'arrêtant sur l'orifice. Il mordilla doucement la peau et s'amusa à rentrer la pointe de sa langue à l'intérieur alors qu'il se levait pour passer le bas de son cadet à ses pieds et le retirer entièrement.
C'est Sohji qui avait lancé le début des hostilités, et Aizawa comptait bien gagner la bataille. Et ça commençait maintenant, alors qu'il remontait parcourir la petit sphère qu'il avait linché. Sa pointe de langue zig-zagua sur le petit bout de chair alors que l'une de ses main remonta la cuisse de son amant, la carassant doucement.

Il s'approcha de ses lévres pulpeuses à force de les avoir sucotées et mordillées. Il passa un coup de langue sur elles alors que sa main se logea sous le boxer du blond. Il recommença se petit jeu avec sa langue, remontant le sous-vêtement de son amant d'un cran à chaque fois. Bientôt il dévoilerait son intimité, mais pour le moment, il continua à le torturer en se frottant délibérément à lui. Peu être n'aurait il pas du car ça à réussi à lui soustraire un soupir.