Appart de Kio et.....

Taïra sursauta quand Kio se jeta sur lui et l’étreignit. Il n’avait pas l’habitude qu’on le serre comme ça. Il avait plus l’habitude des coups que des câlins. « Pardon, c’est à moi de dire pardon. Je ferais attention d’être gentil. Je ne ferais plus de bruits le matin. »

Taïra lui avait à peine remarqué que la serviette était tombée par terre et que maintenant Kio était nu. Lui aussi c’était donc normal. Taïra se retrouvait souvent nu tout simplement parce que les vêtements se déchiraient ou s’enlevaient quand il se transformait.

Le câlin s’arrêta et Kio se mit à ouvrir tout les placards. Taïra le regarda faire les yeux grands ouvert. C’était un jeu ça aussi ? Il ne comprit que quand Kio trouva enfin ce qu’il cherchait. L’humain lui mit un bol devant lui et lui rempli de lait. Taïra jeta un regard reconnaissant à Kio et s’empresse de commencer à laper. Ce que c’était bon. Il en était si souvent privé que Taïra voyait comme une friandise alors que tout les loups avaient droit à leur ration de lait le matin. Mais comme disait souvent un de ses frères s’il faisait moins de bêtises il y aurait droit plus souvent. Mais Taïra ne faisait jamais exprès de faire des bêtises. Il essayait toujours d’être un bon loup pour son maître. Malheureusement il était une catastrophe ambulante.

Taïra était entrain de lécher les dernières gouttes quand Kio demanda s’il voulait aller faire des courses. Taïra en gentil loup acquiesça doucement même s’il ignorait ce que c’était ce jeu ou cette occupation. Taïra jeta un petit coup d’œil à son bol vide, un coup d’œil d’envie à la brique de lait puis un coup d’œil suppliant à Kio. Est ce que le maître allait accepter de lui donner une deuxième ration ? Mais Taïra n’oserait jamais demander. Quand il demandait quelque chose dans les cieux on le tapait alors.

D’accord il essaierait de demander. Taïra fit un petit mouvement de tête alors qu’il se remettait à laper. Il était beaucoup trop gourmand pour ne pas dévorer sa deuxième ration. Pour Kio cette histoire de ration était peut-être inhumaine mais il fallait bien comprendre une chose pour un Dieu ils n’étaient aucunement des humains. Au mieux ils étaient des esclaves à leur service au pire des chiens fidèles dociles qui ne devaient pas moufter. Et Taïra lui avait été élevé plutôt de la deuxième façon.

Taïra bu quand même sa deuxième ration plus lentement. Pour profiter du goût. Rien disait qu’il y aurait droit demain. Malgré ce qu’avait dit Kio. Entre temps il pouvait faire une grosse bêtise qui ferait changer d’avis le maître. L’humain d’ailleurs en profita pour aller s’habiller.

Taïra releva la tête de son bol quand le maître l’appela. Il lécha une dernière fois les dernières gouttes et s’empressa d’aller rejoindre Kio dans le salon. Là d’où venait la voix et l’odeur du maître. Il aperçut de suite les vêtements. Le maître voulait encore lui faire porter des vêtements. Mais Kio n’avait il donc pas comprit qu’il n’en avait vraiment pas l’habitude ? Taïra serra le coussin contre lui. « Pour aller . . . faire la course ? » essaya de se souvenir Taïra. « Il faut aller dehors ? Je serais mieux en loup alors. »

Ah oui c’est vrai. Il avait oublié que les loups ce n’était pas quelque chose de courant dans le monde des humains. On ne se trimballait pas avec son loup comme si de rien était. Taïra se laissa asseoir par contre il poussa un petit gémissement suppliant et essaya de garder l’oreiller. Pas par pudeur mais il aimait bien l’oreiller. Il était doux, chaud et dessus il y avait l’odeur de son maître.

Mais Taïra finit par accepter de lâcher l’oreiller pour faire plaisir et montrer à son maître u’il écoutait. Taïra n’était vraiment pas sûr qu’il arriverait à passer pour un humain mais il voulait faire l’effort pour Kio. Il ferait tout les efforts qu’il fallait pour son maître.

Alors qu’il lui parlait d’ailleurs Kio commença à lui passer un drôle de tissu. Taïra secoua un peu les pieds. Il ne savait pas à quoi servait ce ‘vêtement’ si s’en était bien un mais il n’aimait pas du tout. Cela avait une forme trop bizarre pour qu’il se sente à l’aise avec un truc pareil, lui qui avait toujours eut que des guenilles amples. Ils bataillèrent un petit moment mais Taïra ne le faisait pas avec beaucoup de conviction car il voulait faire plaisir au maître. Kio le força même à se relever et remonta le tissu jusqu’en haut. Taïra poussa un nouveau gémissement et s’éloigna légèrement. En tournant un peu comme s’il était perdu il se mit à tirer un peu de tout les côté sur ce truc qui le serrait désagréablement.

Taïra n’était vraiment pas habitué à ce genre de vêtement. Il finirait peut-être par s’habituer mais pour le moment c’était un véritable objet de torture pour lui. Il se mit donc à tourner sur lui même tirant un peu de tout les côtés le tissu. Il n’essaya pas de l’enlever car il ne voulait pas désobéir au maître mais par contre s’il pouvait détendre le tissu ce ne serait pas plus mal. Le maître lui expliqua d’ailleurs gentiment qu’il allait s’y habituer.

Taïra en marchant bizarrement à cause du sous vêtement retourna près du maître et se laissa habiller. Les autres vêtements étaient beaucoup plus agréables à porter et d’ailleurs Taïra ne comprenait pas qu’on le force à porter ce bout de tissu qui le serrait alors qu’on ne le voyait même pas sous le pantalon. Taïra haussa les épaules quand le maître dit qu’il était tout beau. Il ne savait pas il ne se voyait pas et pour lui il était pareil que tout à l’heure alors. Il ne remit même pas ses mèches rebelles en place et alla récupérer l’oreiller. On voyait bien qu’il n’était pas habitué à porter des vêtements. Toutes les 30 secondes il tirait sur le bout de tissu qui le serrait.

Il se rassit sur le canapé et regarda Kio d’un air suppliant. « Je pourrais pas courir alors ? Il n’y a pas une forêt ou des champs pleins de fleurs ici ? » Oui parce que l’avantage dans les cieux c’est qu’il y avait d’immenses étendues comme ça ou Taïra pouvait s’y amuser. Et quand il était assez téméraire il allait même jouer dans les nuages. Enfin il avait un peu peur dans les nuages parce qu’une fois alors qu’il n’était qu’un louveteau il s’y était perdu.

[---> Centre commercial]

Kio avait essayait de rassurer le plus possible Taïra le long du trajet. Le chauffeur n'arrêtait pas de lancer des regards perplexes au jeun humain à chaque fois que le loup poussait un gémissement qui correspondait au démarrage de la voiture. Mais Kio n'y pouvait rien et garder le loup garou contre lui, lui parlant doucement et frottant doucement son dos pour le rassurer et lui prouver qu'il était en sécurité...

Finalement, le trajet ne fut pas bien long et le taxi se stoppa en bas de l'immeuble de Kio. Le jeune homme soupira et ouvrit la portière en tirant toujours Taïra contre lui. Le petit corps tremblait encore et les larmes coulaient toujours. 9a n'était pas facile dans cette position, Taïra collé contre lui, le visage caché contre son torse et Kio un bras dans son dos, de prendre les courses mais Kio fit avec et paya rapidement le chauffeur avant de tout mettre dans l'ascenceur et de monter avec Taïra....

Une fois devant l'apartement, Kio sortit les courses à l'aide de son pied et ferma la porte avant de soupirer et d'aller se laisser tomber, Taïra toujours contre lui. Il le fit assoir sur ses genoux doucement et cala la tête du loup dans le creux de son cou. Il voulait absolument le rassurer.

"Petit loup, calme toi...C'est finit.... Aller....Calme toi...."

Fit-il d'une voix douce en continuant de caresser le cou et la nuque de Taïra le berçant légèrement. Il nota que le taxi, plus jamais il ne le prendrait avec le jeune homme.

C’était traumatisant pour Taïra cette expérience. C’est comme lorsqu’on mettait un chat ou un chien dans une voiture. Cela pouvait jusqu’à rendre l’animal complètement fou. Mais heureusement Taïra avait quelque chose à se raccrocher. Il se raccrochait à Kio, cela ne lui enlevait pas sa peur mais cela lui permettait de ne pas sombrer. Kio avait été gentil jusqu’à maintenant donc ce n’était pas une punition et Kio n’avait jamais rien fait qu’i pourrait lui faire du mal. Taïra en avait parfaitement conscience mais il ne pouvait malgré tout faire partir cette peur.

Mais finalement c’était peut-être un bonne chose qu’il ait eut si peur. Parce que si cela n’avait pas été le cas, il aurait été malade et aurait vomi par tout la glace qu’il venait à peine de manger. Mais là il avait vraiment trop peur pour avoir mal au cœur. La voiture s’arrêta pour de bon cette fois. Du moins il n’y aurait plus de démarrage avec eux dedans. Taïra sans réaliser qu’il compliquait durement la tache de Kio, resta collé à l’humain pendant qu’ils sortaient du véhicule et remontaient chez Kio, son visage toujours enfui.

Ta¨ra commença à se calmer un peu lorsqu’il se retrouva dans l’appartement. C’était devenu un endroit de sécurité pour lui ici. Rien de mal ne lui été arrivé ici, donc c’était un endroit sûr. Il se laissa glisser sur les genoux de Kio et continua à pleurer encore un peu pour faire évacuer la peur, mais il allait mieux.

Il releva le visage vers Kio qui faisait tout pour le rassurer avec des paroles douces et des gestes tendres. « J’aime . . . pas le . . . Tassi. » murmura Taïra. Kio s’en été rendu compte mais Taïra préférait le dire pour être sûr qu’ils ne le prendraient plus jamais. « Plus prendre le Tassi, s’il te plait. » Dans le monde des cieux les loups avaient leur façons bien à eux de se montrer leur affections. Taïra ne connaissant pas les coutumes humaines se mit à lécher le visage de Kio. Un peu partout d’abord les joues puis les lèvres. Il remonta au front puis redescendit au menton. « Plus. »

Non Taïra n’avait pas conscience de grand chose. Ce qu’il voyait lui c’était qu’il avait eut très peur et qu’il avait besoin de câlins, de réconfort. Et Kio était la seule personne qui pouvait lui offrir ce réconfort. Pas parce qu’il était la seule personne qu’il connaissait ici. Non parce que Kio était devenu sa protection. Kio le protégeait des gens méchants, des choses dangereuses. Kio prenait soin de lui, jouait même avec lui. Jamais personne avait fait ça pour lui. Taïra avait toujours été rejeté par tout le monde Alors bien sûr il tombait amoureux. Comment ne pas tomber amoureux de la seule personne qui tient un tant soit peu à vous ?

Mais pour l’instant le jeune loup n’en avait pas encore vraiment conscience. Ses léchouilles n’avaient, de sa part, rien de tendancieux. Il voulait montrer son affection à Kio. Il ne connaissait que ce moyen. Il prit la tête de Kio entre ses mains et lécha un peu n’importe où au début. Il aimait le goût de la peau de Kio et se rendit compte rapidement qu’il avait une préférence pour les lèvres de l’humain. Il s’y attarda donc plus. Elles étaient si douces et Taïra avait l’impression d’y retrouver le goût des glaces de tout à l’heure.

L’humain murmura son nom. « Hum . . . Kio. » répondit Taïra croyant qu’il devait y répondre. Mais il ne voulait pas abandonner les lèvres de Kio. Il reprit donc allant même lécher les tempes de Kio ou son cou mais il revenait toujours aux lèvres qui avait ce goût si particulier. La main de Kio vint se glisser sous son tee-shirt pour le caresser. Un léger soupir échappa à Taïra pas habitué à ce qu’on le touche si gentiment. Lui n’avait eut droit qu’aux coups jusqu’à maintenant.

Il ignorait que ses léchouilles troublaient autant Kio. Lui aussi cela le troublait mais comme il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait il pensait que c’était encore un peu de l’émotion qu’il avait eut dans le véhicule. Il avait eut tellement peur, peut-être qu’il allait lui falloir quelques heures pour s’en remettre. Il ne pensait pas que toutes ses émotions tellement fortes, tellement nouvelles venaient de Kio, qu’il les ressentait pour lui.

L’humain dit qu’il allait l’embrasser mais Taïra ne savait pas vraiment ce que cela voulait dire. Enfin si mais pas forcément ce que cela impliquait alors il murmura juste « Oui. »

Kio le bascula légèrement sur le dos et Taïra eut un petit moment de panique. C’était une position où il était totalement sans défense, une position où on pourrait lui faire du mal facilement. Un loup ne se mettait jamais ainsi de son plein gré ou alors il fallait qu’il soit entièrement en confiance. Taïra avait entièrement confiance en Kio, presque depuis le début. Il était son maître non ? Et un maître bon en plus.

Alors Taïra se laissa faire. La main caressait doucement sa hanche et la langue de Kio venait caresser la sienne. Taïra se laissa embrasser avec plaisir. C’était la première fois mais il aimait faire jouer leur deux langues l’une contre l’autre. Quand le souffle vint à manquer Kio se détacha légèrement et Taïra fit un petit sourire avec un regard très tendre. Il ne savait pas ce que impliquait tout ça mais il aimait. Kio frotta leur deux nez et Taïra sortit encore une fois encore un peu la langue pour faire une petite léchouille sur le dessus du nez de Kio.

Et là Kio parla ou disons plutôt s’excusa en disant qu’il n’aurait pas du. « Pourquoi ? » demanda Taïra tout penaud. Pourquoi il fallait pas ? C’était pas bien ? Un loup devait pas faire des léchouilles à son maître ?

Il y avait aussi une chose qu’il aimait beaucoup chez Kio. C’ets que quand il posait une question il essayait toujours de lui expliquer avec des mots simple même si cela ne marchait pas toujours. Taïra ne comprenait pas à chaque fois mais Kio faisait l’effort et pour taïra c’était très important. Aux cieux quand il posait une question on le traitait d’idiot ou on haussait les épaules sans répondre.

Et encore une fois Kio fit tout pour lui répondre simplement. Taïra sourit. Faire des bisous partout cela ne le dérangeait pas. Cela devait même être rigolo. S’ils essayaient de s’embrasser partout. En plus cela voulait dire que Taïra aussi pourrait le léchouiller partout à cette idée lui plaisait bien.

Par contre pour faire l’amour Taïra était un peu inquiet. Il ne savait pas ce que c’était. En réalité, il avait déjà aperçut ça. Il avait vu son père Seme saillir ses pères adoptifs Uke, mais ils n’appelaient pas ça faire l’amour. Surtout que la plupart du temps son père Seme était obligé de forcé le Uke qu’il prenait. Cela ne ressemblait pas du tout à un acte d’amour. D’ailleurs son père avait finit par se lasser et avait essayer de s’enfuir en emportant les Ukes les plus fragile avec lui . . . mais cela n’avait pas marché. Le Dieu, leur maître, les avaient tous recapturé et tué pour leur désobéissance.

Mais Taïra n’était pas idiot. On ne l’avait pas beaucoup instruit et il ne connaissait que très peu le monde des hommes mais il n’était pas idiot. En réfléchissant un peu il comprit ce que voulait à peu près dire Kio par faire l’amour. Pendant ses réflexions les mains de Kio avaient parcourus plus longuement son corps. Il aimait bien ce que faisait Kio et il ne voulait pas le repousser mais . . . « C’est dangereux. » dit il soudain. Enfin peut-être que cela ne l’était pas entre un loup et un humain. « C’est dangereux les saillies chez les humains aussi non ? »

Taïra fit un léger hochement de tête quand à nouveau Kio lui fit des explications. Il n’avait pas comprit grand chose. En réalité il n’avait rien comprit. Joui ? Se retirer ? Et puis de toute façon il était trop concentré sur les caresses et les baisers de Kio pour chercher à comprendre. D’ailleurs Taïra ne put retenir un petit gémissement quand Kio commença à titiller un de ses tétons.

Taïra hocha de nouveau de la tête quand Kio lui dit qu’il pouvait l’arrêter. Mais il n’avait aucune envie d’arrêter ça. Il aimait tout ce que Kio lui faisait. Les baisers . . . sur ses lèvres et son cou, les mains qui glissaient sur sa peau et qui avaient trouvé si rapidement ses points sensibles. Mais Kio avait dit qu’il voulait l’embrasser partout et Taïra attendait ça avec impatience.

Peut-être même trop d’impatience. Taïra avait envie d’arracher ses vêtements et les vêtements de Kio, mais il se douta que ce n’était pas bien. Ce serait une bêtise. Alors Taïra se redressa légèrement et commença à essayer de déshabiller Kio. Poussant des petits gémissements plaintif à chaque fois qu’il rencontrait une difficulté. Il voulait mettre Kio nu et il voulait être nu contre Kio. Ils pourraient ainsi se lécher partout comme l’avait proposé Kio. Mais Taïra avait un mal fou à déshabiller Kio sans arracher les vêtements. Il poussait donc à intervalle régulière ces petits gémissements qui étaient autant d’inquiétude que de frustration. C’était trop long, il voulait maintenant être nu contre Kio.

Heureusement que Kio vint l’aider à les déshabiller car Taïra apparemment ne s’en serait pas sortit tout seul. Il était trop impatient, trop inexpérimenté, trop sauvage pour cela. C’était une sorte d’instinct qui le guidait. Un instinct qui voulait les mains de Kio sur sa peau et ressentir encore ses baisers.

Lorsque Kio constata à voix haute qu’il était du genre impatient. Taïra secoua fortement la tête. Il ne savait même pas pourquoi il était impatient, mais l’instinct de son corps lui disait qu’il voulait aller plus loin. Quand enfin au grand soulagement de Taïra ils se retrouvèrent nus l’un contre l’autre, le loup poussant à nouveau un gémissement, différents de ceux d’avant. Un gémissement de pur plaisir et peut-être même d’extase. « Je . . . J’ai des sensations . . . » Qu’il n’avait aucun moyen d’exprimer. Et cela devint encore plus intense car inlassablement Kio le caressait, le léchait, l’embrassait.

« Vous . . . Tu . . . Vous avez les même sensations ? » demanda avec un petit air penaud Taïra. C’était normal tout ça ? Cette sorte de douleur dans le creux du ventre ? Ces caresses qui étaient presque pire qu’une torture mais qu’on réclamait encore ? Taïra essaya de se redresser un peu et sentit la bosse sous le vêtement de Kio. Il baissa le regard et regarda perplexe le vêtement tendu. Ça aussi c’était normal ?

« Oooooooohhhh !!! » s’extasia Taïra comme s’il venait de voir un feu d’artifice dans le ciel. Kio venait de lui faire poser sa main sur la bosse tout en lui expliquant. Et Taïra en jeune loup inexpérimenté trouva ça quelque peu amusant mais surtout très intriguant.

Kio avait d’abord frôlé le sexe du jeune loup lui envoya de nouvelles sensations encore plus enivrantes puis le caressa presque sans pudeur. Taïra sentit son propre sexe se réveiller sous les attouchements. Ces sensations incroyables, qui brûlaient mais donnait encore plus envie, ils les ressentaient tout les deux alors ?

Kio lui fit écarter les jambes et docilement le jeune loup se laissa faire. Et encore une fois ce fut l’explosion de sensations dans sa tête. Taïra poussa un nouveau gémissement. Malheureusement et vous le pardonnerez bien à ce pauvre Taïra un peu curieux. « Pourquoi ça grossit ? » demanda t il avec encore plus d’innocence qu’un enfant de 6 ans.

Faire parler les curieux ? Taïra allait se mettre à bouder et dire d’une voix gamine qu’il n’était pas un curieux mais . . . Kio ne lui en laissa pas le temps. Taïra cette fois ne poussa pas un gémissement mais carrément un cri de surprise. Son corps se cambra instinctivement vers al bouche qui lui offrait tout ça. Mais son corps réclamait plus, sans même savoir ce qu’il voulait réellement.

Taïra rejeta la tête en arrière et oublia complètement son petit défaut de curiosité. Il se laissa envahir par les sensations si . . . . Il n’avait aucune mots pour le définir. Comment tout ça pouvait exister. Lui n’avait connu que le froid, les coups et la douleur et la il découvrait chaleur, caresses et plaisir.

Na sachant pas qu’il était en attente d’une explosion de sensations dans son bas ventre et son cerveau. Taïra tenta de repousser doucement Kio. « Oh, s’il vous plait . . . Laissez moi le faire . . . Vous le faire. » Il avait envie de faire pareil. Il ne savait pas qu’il avait une autre façon de satisfaire l’humain . . . en le laissant le prendre. Alors il voulait lui faire pareil. Lui donner les mêmes sensations avec sa bouche.