Appart de Kio et.....

Taïra ne dit plus rien. Profitant des premiers gestes tendres qu’on avait pour lui et laissant Kio dans ses pensées. Il fut étonné que celui qu’il considérait comme son maître demande à ce qu’il le tutoie. Taïra fronça un peu les sourcils. C’était dur ça. Il avait toujours vouvoyez son maître et les Dieux en général. Kio ne commençait par lui demander quelque chose de facile. En réalité Taïra avait toujours vouvoyer tout le monde. Cela être dur à obéir comme ordre. Mais Taïra hocha de la tête pour dire oui, même s’il n’était pas sûr d’y arriver. Il essaierait. Il feriat tout pour que Kio, son maître, soit content de lui.

Kio l’amena jusqu’au canapé sans vraiment le lâcher de ses bras réconfortant. Taïra s’y reblotti avec plaisir. Il releva la tête et regarda le visage de son maître. Il le trouvait beau. Il ne savait pas que les humains étaient aussi beaux. Quand son Dieux en parlait il disait toujours que c’étaient des . . . primitifs. C’tes le mot qu’utilisait son Dieu. Il ne voyait rien de primitif chez Kio même s’il n’était pas sur de ce que voulait dire ce mot.

Il regarda étonné Kio quand celui-ci demanda s’il voulait dormir avec lui. Déjà c’était une question, donc ce n’était pas un ordre. Il avait droit de choisir. Taïra n’avait jamais choisit. Il poussa un petit gémissement. Il ignorait comment choisir. Et puis quelque chose lui paraissait bizarre. Où est ce que ça dormait un humain ? Lui il était sensé dormir par terre devant la porte pour protéger son maître. Il avait toujours dormit par terre. Pour lui c’était quelque chose de normal. « Vous dormez devant la porte vous aussi ? » Taïra poussa un autre gémissement et se mordit la lèvre inférieur. Il venait déjà de désobéir. Il avait vouvoyez le maître.

Son maître lui sourit et dit qu’ils allaient dormir dans un lit. Taïra écarquilla les yeux. Lui dormir dans un lit ? Il avait déjà vu un lit. Son Dieu en avait un très beau et très grand. Taïra n’était jamais allé dessus. Il n’y avait que les Ukes au service rapproché du maître qui avait droit de temps en temps, même si Taïra ignorait pourquoi. Les Ukes loup-garou aussi avait droit à des lits, enfin dans ce cas précis il aurait plutôt fallu dire les paillasses pouilleuses.

Kio lui prit la main et le tira jusqu’à la chambre. La chambre de son nouveau maître. Il fit un petit ‘oui’ de la tête quand le maître lui désigna le lit. Oui, il savait ce que c’était mais lui n’y avait pas le droit. Il n’était pas un assez bon serviteur pour dormir avec le maître. Et il n’attendait pas un bébé donc il n’avait pas le droit à une paillasse. Taïra sans réfléchir obligea le maître à s’asseoir sur le lit. « Dormez bien, maître. Je vais veiller sur votre sommeil. »

Et par habitude Taïra prit la direction de la porte, il la ferma délicatement et s’allongea juste devant. Il se mit en position de fœtus et ferma les yeux. Personne ne passerait, il veillait sur son maître. Même dormir que d’un œil lui ferait du bien.

Taïra était déjà presque partit pour les songes quand la porte de la chambre s’ouvrit. Taïra se redressa légèrement alors que le maître s’accroupissait devant lui. Il se laissa caresser la tête. C’était un geste que faisaient beaucoup de maîtres. Il s’étonna malgré tout des paroles de Kio. Bah pourquoi il dormirait pas par terre ? C’était toujours comme ça. Et puis il n’attraperais pas froid. Il était habitué. On avait droit à une couverture toute rêche que si on était gentil . . . . Et . . . Taïra était rarement très gentil même s’il essayait.

Taïra se laissa entraîner par Kio même s’il était étonné d’avoir droit de dormir avec le maître. Il faisait partit de ceux qui n’avaient jamais eut se privilège même si Taïra ignorait que c’était une bénédiction pour lui. Il regarda sans vraiment calculer que le maître se déshabillait et il fit pareil se disant qu’il valait mieux faire comme lui pour montrer sa docilité.

Il ne réalisa pas malgré tout que Kio lui était en boxer alors que Taïra était entièrement nu. Habitué à sa propre nudité, Taïra resta là sans gêne à suivre les mouvements du maître. Celui-ci se glissa dans le lit et lui dit de venir avec lui dans le lit. Ajoutant même qu’il n’allait pas le manger. Taïra écarquilla un peu les yeux. Ah bon ? Dans le monde des humains, c’était les humains qui mangeaient les loups ?

Kio tapota la place libre et Taïra s’y glissa. N’y voyant rien de tendancieux. Il se glissa le plus possible contre le maître. C’était bizarre mais il avait l’impression que c’était Kio qui allait le protéger et non l’inverse. La peau du maître était douce. Les draps frais et sentaient bons. S’il était un gentil loup, il y aurait droit tout les soirs. Il ferait encore plus d’effort pour être un gentil loup.

Taïra vit bien les joues du maître rosirent mais lui ne connaissant pas ce genre de gêne il crut seulement que le maître avait chaud. Enfin cela ne l’empêcherait pas de se coller contre son maître. Il était câlin et on lui en avait donné tellement peu des câlins. Le maître était gentil et semblait bien vouloir lui offrir cette attention dont il avait besoin.

Taïra sourit et releva un peu la tête pour voir le visage de son maître. « J’aime bien quand vous m’appelez petit loup . . . Bonne nuit maître. » Taïra ne dit plus rien et se reblotti confortablement. Taïra était beaucoup plus fatigué que Kio et donc à peine les yeux fermés il s’endormit sa respiration devenant profonde. Demain matin il serait sans doute en pleine forme et pourrait faire pleins de bêtises, sans faire exprès bien entendu. Ce monde semblait si différent, si attrayants. Il y avait tellement de choses à découvrir ici.

Mais pour l’instant Taïra dormait profondément comme il n’avait jamais dormit aussi profondément. Le début de la nuit fit paisible mais tard dans la nuit un bruit se fit entendre. Taïra même endormit profondément l’entendit. Il redressa la tête et ses yeux c’étaient déjà transformé. Taïra sans un bruit glissa du lit tout en se transformant et sortit de la chambre, déjà complètement métamorphosé. Il devait protéger son maître. Il ne connaissait pas ce bruit. Toujours très silencieux et sur ses gardes il alla jusqu’au salon. Il renifla légèrement, il ne connaissait pas cette odeur. Un truc dans la pénombre passa devant lui et Taïra sans réfléchir sauta dessus. Il coursa le truc dans tout le salon renversant et faisant un bruit à réveiller les morts. Il réussit enfin à attraper l’animal dans sa gueule et serra légèrement pour pas que l’animal lui échappe.

Il venait juste d’attraper la souris que la lumière s’alluma. Taïra se figea quelques secondes mais quand il vit que le maître n’était pas en colère il s’approcha doucement. Kio posa un genoux à terre et le força à lâcher l’animal. Taïra fut un déçu surtout vu le mal qu’il avait eut pour attraper ce truc mais il laissa Kio récupérer l’animal de sa gueule.

La souris paniquée mordit Kio et s’enfuit vers un meuble. Par instinct Taïra courut après mais étant plus gros il se cogna contre le meuble et tomba sur son derrière un peu sonné. Il secoua la tête, il était un peu groggy du coup sur la tête, et retourna doucement vers le maître qui se suçait le doigt. Kio dit qu’il pourrait manger l’animal la prochaine fois. Ah bon ? Cela se mangeait ces trucs. C’était tout petit et puis les poils cela doit pas être très bon. Mais Taïra voulait être un gentil loup pour son maître. Il fit donc oui de la tête et sortit la langue et lécha la main à sa portée.

Kio encore accroupit TaPira posa ses pattes avant sur la cuisse de l’humain et lécha la main qui avait été mordu. Les humains ne le savait pas mais la salive des loups-garous avait un pouvoir de guérison très efficace. En deux trois coups de langues la plaie arrêta de saigner et commença déjà à cicatriser. Taïra content d’avoir aidé remua la queue et frotta sa tête contre la joue du maître.

Taïra secoua doucement la tête de droite à gauche quand son maître lui demanda s’il n’était pas sorcier. Dans sa forme loup il ne pouvait pas parler. C’était assez dur à imaginer mais la transformation était autant intérieur qu’extérieur. Ce qui laissait Taïra dans l’incapacité de parler dans sa forme animale.

Mais Taïra était également plus joueur comme un jeune louveteau. Il se mit sur ses pattes arrières et renversa le maître par terre. Sa queue remuant de plus en plus, Taïra se mit à lécher le visage et le cou de Kio. Taïra s’emballait vite et de voir heureux son maître riant lui faisait tellement plaisir. Alors il l’étouffait presque sous ses chatouilles de loup.

Puis Taïra fit un bon en arrière et aurait bien tiré Kio par la manche s’il avait eut un vêtement. Mais Kio était pratiquement nu alors Taïra se mit à sautiller tout en aboyant montrant son désir de vouloir jouer. Ici il n’y avait pas beaucoup de place mais si Kio avait une balle ils pourraient jouer un peu. Taïra n’avait même pas calculé qu’on était en plein milieu de la nuit, dans un appartement ou les voisins pourraient entendre le bruit.

Apparemment Kio était joueur lui aussi. Il rigolait sous ses chatouilles sans s’énerver et sembla amuser en le voyant sautiller et japper. Quand le maître dit attends, Taïra s’assit sur son postérieur et attendit disons le plus patiemment possible qu’il put. Mais il Taïra n’étiat pas quelqu’un qui tenait beaucoup en place. Heureusement Kio arriva vite et Taïra avant même d’avoir aperçut la balle se remit à sautiller et aboyer gaiement autour de son maître.

Kio montra une balle fait d’une matière qu’il ne connaissait pas mais il s’en moquait. Ses yeux brillèrent d’envie, il allait pourvoir jouer. Kio jeta la balle et Taïra allait se jeter dessus mais il fut surpris de voir le maître se jeter également sur la balle. Cela donna quelques secondes d’avantages pour Kio. Taïra se reprit vite et fut encore plus content d’avoir trouvé un maître aussi joueur que lui. Ils coururent après la balle un bon moment faisant un foin d’enfer et mettant un souk pas possible dans le salon.

Mais prit par la fièvre du jeu Taïra réussit à un moment à attraper la balle et la déchiqueta entre ses dents en secouant violemment la tête de tout les côtés. Puis il ressauta sur un Kio essoufflé et lui lécha à nouveau le visage.

Ils c’étaient amusés comme des petits fous. Taïra ne c’était jamais autant amusé avec un humain, ni avec un Dieu. En réalité il ne c’était jamais amusé avec personne comme ça. Ils c’étaient laissés entraînés par la fièvre du jeu. Bien sur Taïra avait fait attention de ne pas mordre ou griffer son maître. Il espérait qu’ils s’amuseraient souvent ainsi. En pleine air dans un champ ce serait encore mieux la prochaine fois.

Taïra se mit à nouveau sur Kio et lui lécha le visage. Cela faisait rire le maître alors il n’allait pas s’en priver. Kio tenta de se relever et Taïra comprit à son souffle court que son maître avait besoin d’une petite pause. Taïra resta donc entre les jambes de son maître heureux que celui-ci le caresse gentiment. C’était la première fois qu’il se faisait caresser. Taïra fit deux petits aboiement gaie quand Kio dit qu’il avait de l’endurance. Il était un loup-garou, Kio ne pouvait pas encore imaginer la force qu’il avait dans sa forme de chien. Il pouvait porter quatre fois son poids. Il pouvait broyer un bras ou une jambe avec sa mâchoire, même s’il ne l’avait jamais fait grâce à sa gentillesse.

Taïra aboya deux fois à nouveau gaiement quand Kio demanda à ce qu’il reprenne sa forme humaine pour aller finir la nuit dans le lit. Taïra comment ça à se transformer, son visage redevenant doucement humain, son pelage disparaissant. Mais d’un coup TaPira se retourna et se mit à grogner. Il reprit de suite sa forme de loup. Il avait entendu un bruit et une nouvelle odeur. Taïra avança lentement et sur ses gardes vers la porte d’entrée.

Et là un bruit strident retentit. Taïra sursauta et couina. Il n’aimait pas ce bruit. D’ailleurs il se reproduit et Taïra couina à nouveau. Il alla se mettre entre les jambes de Kio, les oreilles basses et la queue entre les jambes. Taïra ne se doutait pas que c’était un des voisins qui venait se plaindre du bruit.

Taïra tout apeuré resta dans les jambes de Kio. C’était le bruit strident de la sonnette qui ne lui plaisait pas du tout. Mais quand Kio entrouvrit la porte et que Taïra aperçut l’homme à l’aspect assez misérable. Taïra se mit à grogner un peu. C’était ce type qui venait les déranger ? Il n’avait même pas de loup pour se défendre. Mais Kio passa encore une main tendre sur sa tête alors Taïra se calma. Mais il resta sur ses gardes prêt à sauter sur l’homme s’il tentait le moindre geste contre son maître.

Kio s’excusa devant un Taïra étonné. Son maître qui s’excusait devant cette loque. Puis Kio referma la porte et Taïra put se détendre un peu. Kio lui dit que le mieux c’est d’aller ce coucher et se faire oublier. Il ne comprenait pas trop comment ils allaient se faire oublier mais il était d’accord pour aller se coucher. Il suivit le maître jusqu’à la chambre redevenant à nouveau peu à peu humain.

Taïra attendit que le maître soit confortablement installé pour pouvoir à nouveau se blottir contre lui. Taïra était heureux pour la première fois depuis longtemps. « Bonne nuit, maître. Et merci beaucoup . . . pour tout. »

Taïra nota que le maître voulait qu’il l’appel par son prénom. Taïra promit de faire attention demain matin. Kio trouvait peut-être ça normal mais jamais personne n’avait était gentil comme ça avec lui, alors pour Taïra c’était exceptionnel. Et le Uke aussi était tellement bien avec Kio qu’il ferait tout pour lui faire plaisir, vraiment tout. Fatigué par leur petit jeu et pas encore bien remit de sa course de ce matin Taïra s’endormit aussi très rapidement. En plus il se sentait en sécurité et la chaleur du corps de Kio était très agréable.

Au petit matin, TaIra se réveilla doucement mais ne bougea pas. Il se rappelait de où il était et avec qui. Avec un maître extrêmement gentil qui grondait jamais et qui aimait jouer avec lui. Le maître idéal quoi. Taïra passa une grosse heure à regarder le maître dormir, mais il commençait à avoir faim et surtout il s’ennuyait. Alors Kio avec ses réflexes de loup mais en gardant son apparence humaine se mit à lécher le visage de Kio. D’abord de simple petit coups de langues et quand il vit un peu Kio remuer et donc des réveiller il fit des léchouilles plus importantes.

« Bonjour !! » fit gaiement Taïra. « A quel jeu vous voulez jouer ce matin ? » Taïra était beaucoup trop joueur, il ne pensait donc pratiquement qu’à ça, et il arrivait à transformer presque toutes choses en jeu.

Comme réponse il eut un semblant de bonjour et un oreiller balancé dans le visage. Taïra ne connaissant pas les coutumes chez les humains concernant le réveil crut que c’était normal. On balançait sans doute son oreiller à la personne avec qui on avait dormit.

Et bien sûr Taïra trouva ça de suite très rigolo. N’entendant pas Kio s’excuser, il attrapa son oreiller qui lui avait peu servit puisque lui avait dormit la tête sur le torse de Kio. Taïra jeta son oreiller à la tête de Kio et comme celui-ci avait récupéré le sien. Taïra fit de même et recommença. « Bonjour ! . . . Bonjour ! » C’était rigolo ce jeu. Taïra rit aux éclats et se mit à sautiller sur le lit comme un foufou. « Bonjour ! . . . Bonjour ! » recommença t il frappant un peu partout Kio avec son oreiller.

Taïra ne se rendait même pas compte qu’il risquait d’énervé Kio. Car les gens pas du matin étaient souvent caractériels s’ils n’avaient pas but leur café ou prit leur douche. Taïra toujours aussi nu q’hier sauta du lit et courut dans le salon en riant avec la coussin dans les bras. Il espérait que Kio avait pleins d’autres jeu aussi drôles.

Taïra avait couru nu dans la salon, croyant que Kio allait lui courir après. Mais . . . L’humain sortit bougon de son lit et alla s’enfermer dans la salle de bain. Taïra passa une tête étonnée dans le couloir quand il entendit claquer la porte. Alors c’était pas un jeu. Taïra se sentit un peu triste il avait du embêter son maître. Le loup s’assit par terre serrant l’oreiller contre lui.

Il ne bougea pas de la attendant le maître, l’air tout triste. Il ne voulait pas que le maître soit fâché contre lui. Kio revint au bout d’un certain temps et l’appela un peu froidement. Si Taïra avait été ans sa forme de loup il aurait baissé les oreilles et mit sa queue entre les jambes. Kio n’était pas content apparemment. Taïra le suivit fébrilement et en essayant de se faire oublier. Il regarda le maître s’affairer sans la cuisine une odeur arriva à ses narines et Taïra renifla. Il connaissait cette odeur. Son ancien maître aussi buvait du café, même s’il ignorait que cela s’appelait comme ça.

Taïra silencieusement et en essayant de se faire oublié observa son nouveau mettre boire son café. Lui il était toujours nu mais habitué il ne le remarqua même pas. Quand Kio demanda ce qu’il voulait manger, Taïra baissa la tête. Il n’avait pas été gentil il n’avait sans doute pas droit à sa ration de lait. Quand il avait été méchant il n’avait droit qu’à de l’eau au petit déjeuner. Et Taïra friand de lait en était tout attristé. Mais Taïra savait quand il avait été méchant et tout dans l’attitude de Kio disait qu’il était mécontent de lui. Taïra alors secoua doucement la tête de droite à gauche, voulant dire qu’il ne voulait rien

Ça pour être tout penaud, Taïra était tout penaud. L’attitude qu’avait Kio ce matin, n’avait rien à voir avec l’attitude d’hier. Alors Taïra comprenait pas trop ce qui se passait mais pour lui une chose était sûr. Il avait fait une bêtise. Un grosse bêtise. Il en était persuadé jusqu’à ce que Kio vienne vers lui et pose ses mains sur l’oreiller que Taïra avait depuis peu arrêté de serrer contre lui.

Avec une voix calme et plus amicale, c’est à dire en redevenant le Kio que Taïra connaissait, l’humain expliqua en gros qu’il n’avait pas fait de bêtises. Taïra secoua la tête de bas en haut même s’il ne comprenait pas trop ce que disait Kio. Il ne comprenait pas qu’une douche et un café . . . C’était quoi un café ? Pouvait faire changer une personne. Taïra essuya même un peu ses yeux avec son bras. Oh il n’avait pas pleuré, il s‘était retenu mais ses yeux étaient humides. Mais son ancien maître, le Dieu n’aimait pas quand il pleurait. Il le frappait plus fort en disant que il taperait tant qu’il pleurait. Alors Taïra avait apprit à retenir ses larmes.

« Je veux bien un peu de lait. » murmura presque d’une voix imperceptible Taïra. Il ne voulait pas à nouveau fâcher Kio. Mais en demandant Taïra réfléchit un peu. Il y avait tellement de choses différentes chez les humains put-être que cela existait pas le lait. « Sinon juste une gamelle d’eau. » Pas grave, il était habitué parce qu’il était souvent privé du petit déjeuner quand il vivait dans les cieux.