et voici la suite
Auteur : Diri-chan
Base : Escaflowne
Genre : Dilandau X Van... classifié par l'auteur dans 'truc bizzare ^^'
A noter : la suite est disponible sur
http://yaoipower.site.voila.fr/ ( non, non, je ne fais pas de pub mdr )
Une petite boulle de poils
Dilandau était mal... Si mal. Des mois était passés depuis que Van lui avait offert la peluche. Aujourd'hui encore, il était dans ce lit d'hopital. Dans cette chambre blanche et sans personnalité. La peluche toujours ancré contre lui.
Pourtant ... il était attaché. Des sangles le maintenait au lit. L'empêchant de se tourner et de prendre l'ourson dans ses bras. L'empêchant d'appréciait ce contact doux et chaud. Il en aurait eut pourtant bien besoin...
Ce retrouver dans cette position le ramener à ses souvenirs douloureux.
Personne n'avait voulu l'acceuillir à part Allen. Qui n'en avait pas le droit. Van avait gagné la guerre. Et lui .. lui ... il était fixait à ce lit. Soudain sans que personne ne puisse s'y attendre il se mit à crier ... crier ... crier. Il voulait qu'on le détache !
Un infermier arriva, et d'un produit l'endormit. Alors que les affres de se sommeil douloureux le capturait il continuaut sa lituanie. "juste qu'on me détache ... juste qu'on me détache ..."
Inconsciemment dans son sommeil, il s'affaissa contre la peluche. En recherche de réconfort.
Lorsque Van avait offert la peluche à Dilandau ... Allen avait réellement espéré que le prince s'occupe de sa soeur, de Dilandau. Mais Van avait été très occuper ... par sa victoire. Les foyers était à reconstruirent. La nourriture à distribuer. Il fallait s'occuper de tout les orphelins. Et ce n'était pas ce qui manquait.... Ou alors il fallait retrouver leur famille. Le royaume entier était ainsi à rebatir. Re-faire les routes de comerces. Passer les accords nessécaires avec les uns et les autres, pour que cela ce mette rapidement en place... "Oui, le jeune homme était déborder ,pensa Allen avec amertume. Mais il aurait pu ne pas oublier Dilandau. Ne pas lui refusait la "garde" de sa soeur. Allen l'avait cherché durant si longtemps, que s'en était sadique de le séparer de lui.... pourtant Van l'avait fait.
Et par stricte mesure de sécurité, les infermiers avait trouvé préférables d'attacher Dilandau au lit. Pour qu'il ne puisse pas les blesser... et aussi par vengeance. Car le guymelef rouge avait fait de nombreuses victimes dans leurs rangs.
Allen était fou de rage en voyant cela. En voyant l'état de Dilandau. C'est dans cet état d'esprit qu'il partit chercher Van. Le trouvant occuper à distribuer de la nourriture aux femmes et aux enfants. Et qu'il lui saisit le bras, s'en s'occuper des cris de protestations du prince, pour le trainer jusqu'à l'hopital. Jusqu'à la chambre de sa soeur. Lui hurlant, et le suppliant consécutivement de s'en occuper ... un petit peu.
Oui, les orphelins, les femmes, les enfants ... les blessés ... le peuple avait besoin de lui... mais Dilandau aussi.
Van ne s'attendait pas au spectacle qu'il eut devant lui. Le jeune homme semblait si vulnérable ... si maigre ... Il avait pourtant donné des ordres pour que son ennemi soit bien traité.
Sans attendre il defit les sangles, et pris le jeune homme contre lui. Dilandau se débattit un instant, le temps de récupérer la peluche avant de se laisser aller contre le torse chaud et protecteur de Van.
"s'il te plait ... ne me laisse pas ici ... je veux partir ... s'il te plait..."
Face aux suppliques du jeune homme, Van le confia à Allen. Ses ordres étaient simples. Chaque nuit, Dilandau devrait dormir au palais. Dans une chambre fermait à clef. La journée par contre il serrais libre... enfin il serrais libre d'aller avec Allen, ou de rester enfermer...
Lorsque la reconstruction de la capital n'aurait plus besoin de lui, ce serais à Van de s'en occuper... car Dilandau semblait l'adorer.
C'est ainsi que Dilandau aurait du passer sa première nuit hors de l'hopital. Dans une petite chambre au couleur chaleureuse, avec un lit simple, une table de chevet. La chambre n'avait pas de bougie, pas d'éclairage ... trop dangereux suivant les gardes. La seul lumière dont disposerait Dilandau était celle du couloir.
Aurait du, parce qu'il n'y rentra jamais. La pièce était exigue, chaleureuse, mais exigue .. et Diandau semblait en avoir une peur phobique. Impossible de le faire rentrer de sa propre volonté. Allen essaya tant bien que mal. Et il se voyait mal utilisait la force pour contraindre sa soeur à quoique ce soit le jours de sa libération.
Les gardes en eurent, eux, vite assez du manège de Dilandau. Ils auraient bien aimé l'empoigner et le jeter dans sa jolie cellule. Mais les ordres de leur prince était formel. Ils n'avaient pas le droit de toucher à leur ennemi. Alors l'un d'eux alla chercher celui qui avait donné ces ordres contraignant : Van.
Le prince était dehors entrain de construire un baraquement un peu spéciale. Beaucoups d'anciens animaux domestiques qui avait réchappé on ne sait comment à la guerre trainaient dans les rues. Et ils devenaient dangereux maintenant qu'ils étaient affamé, surtout que des maladies tels que la rage risqué de pointé le bout de leur museau bientôt ... très bientôt ... S'ils ne faisaient rien.
Mais Merle y avait penser. Et avec quelques volontaires elle avait proposé que l'on construire la première "SPA" de la capitale. On y nourrirai les animaux, les empêcheraient de divaguer dans les rues sans collier ... Cela limiteraient les maladies et les risques. Et puis si des gens avaient perdu leurs chiens ou leurs chats durant la guerre ils auraient peut-être une chance de les retrouvaint. En même temps ils pourraient logeait une voir deux familles dans le baraquement des gardiens du chenil.
L'idée plut à Van. Et ces pour ça qu'ils étaient attellé à la construction de cet enclos depuis qu'il était revenu de l'hôpital.
Les enfants les aidaient à transporté les briques, une par une, tout en riant aux éclats. Ils s'amusaient bien.
Un de ses soldats arriva, au pas, tranquillement. Van reconnut immédiatement le soldat : l'un des deux qu'il avait laissé exprès devant la porte de la cellule de son ennemi, de Dilandau. Il allait vers lui, furieux qu'il ai quitté son poste quand une petite fille surgit devant lui les larmes au yeux.
Des ses mains un petit chiot mort.
" Dit monsieur, ils sont pô tous mort ! Heins ? Ze veux pô moi qu'ils soient tous morts !"
Van, resta sur place. Il prit le cadavre du petit chiot, désireux de ne pas le laisser plus longtemps dans les bras de la filette. Et lui demanda où était les autres... faisant fit u soldat qui avait commencait à parler. Il détourna les talons et dans un trou, entre trois décombre, il vu une magnifique chiene. Enfin ce qui avait été une magnique chienne... Elle était morte. Il déposa le petit cadavre à ses côtés. Murmurant qu'il ne fallait pas les séparé. Puis un par un, vérifia que tout les chiots étaient bien mort.
Au dernier chiot, le plus petit et le plus chetif, il ferma les yex et eut un soupir. Il était tous mort ... et celui-là ? Il devait véifier ... mais il ne voulait pas. Non, il ne voulait pas découvrir sa mort. Il le voulait vivant, en signe d'espoir... Il allait ouvrir les yeux, ayant fini sa prière muette lorsqu'il sentit un léger pincement au bout de son poigt.
Les yeux grands écarquillé Van, comprit que le chiot était affamé. Il cherchait despérément à téter le bout de son doigt... Le prince eut un petit rire. Et murmura à l'adresse de la fillette " non, il ne sont pas tous morts. Celui-ci est vivant" tout en lui faisant un grand sourrire.
Puis il alla donnait l'emplacement des corps aux hommes un peu plus loin. Il ne falalit pas les laissaient comme ça. Trop de risque de mladie .. et puis rien que par respect.. Enfin, il leur demanda de les enterrer ensemble.
Ce n'est qu'après tout cela qu'il laissa le soldat lui parlait.
" Le prisonnier que vous nous avez confiez refuse de rentrer dans sa cellule, on voulait savoir si on ne pouvait vraiment pas utilisez des moyens plus efficaces .. monsieur.
- Alors, et d'une ... c'est pas une cellule mais une chambre ! C'est pour ça que je l'ai faites aménagés spécialement il me semble. Et de deux c'est pas un prisonnier ! Mais Dilandau ! Et de trois ! Il me semble que mes ordres avait été formel ! Pas de moyens violent employé avec lui."
Sans laissé le temps au soldat de bredouillé quelques excuses discrettes, il partit en direction du palais. Le vrai palais était plus loin. Ils l'avaient reconstruit en priorité, s'appuiyant sur les murs encore valide pour construire les maisons. Van appelais son palais, une petite ferme, pas complètement détruite, avec des sous-sol impressionnant. Trois familles y logeait encore, mais petit à petit, elles partaient, leurs vrais logements reconstruits.
La chambre aménagé pour Dilandau étaient à l'étage, entouré de cellule. Le prince ne pouvait permettre à tous ces ennemis de s'enfuir ou decausé la panique dans la capitale ... alors son palais était devenu une petite prison en plus d'acceuillirent des familles... A l'étage, les cellules, au rez-de-chaussé, la cuisine, la salle de bain, et trois chambres, au sous-sol... d'autres chambres... encore. Mais une vrai prison était prévu. Van n'aimait pas acceuillirent les prisonniers sous son toits, de plus qu'ils étaient plutôt entassé ...
Mais il était loin, très loin de ces considérations lorsqu'il monta vers la chambre de Dilandau. Il s'arrêta dans le couloir. Devant lui, Allen faisait des pieds et des mains pour calmer Dilandau et le persuadé de rentrer dans la pièce. Le jeune homme lui semblait terrorisé, les gardes lui barait le chemin des deux côtés, l'empêchant de s'enfuir.
Voyant Van, Dilandau eut un mouvement de recul ses anciennes habitudes reprennant le pas. Puis un garde lui cria qu'il en avait assez, il fallait qu'il rentre alors ... le prisonnier bondi contre Van. Ce blotissant contre lui... en larmes.
Dans sa tête les idées dansaient furieusement. Pourquoi !? pourquoi !!!? Voulez-t-on toujours lui faire du mal !? Il ne pouvait pas rentrez... Il ne pouvait pas ... Et il espérait vraiment que Van le comprendrait et l'emmèrait. Qu'il ne le forcerait pas à rentrer dans cette pièce. Diandau ne remarqua même pas le petit chiot entre lui et Van. Il se contentait de s'accrocher désespérement à Van, comme à une bouet de secours...
Contre toute attente Van referma un bras sur son ennemi, le maintenant contre lui tout en prennant garde au chiot. Il fit signe aux gardes et à Allen de se retirer. Ce dernier eut d'ailleur beaucoup de mal à abandonner sa soeur dans les bras de Van... mais il finit par partir.
Van fut le premier à prendre la parole...
" La chambre ne te plait pas ?
- si ... mais ...
- mais ?
- claustro ... claustrophobe....
- Tu es claustrophobe !? s'écria alors Van en l'éloignant de lui pour le regarder bien dans les yeux."
Dilandau reprit à se moment là du poil de la bête ! Hurlant un "oui et alors !!" à Van. Oui il était claustrophobe, oui il était faible ! ... et maintenant il avait peur... Les derniers qui avait découvers qu'il était claustro, était les médecins qui s'amusait à faire des expériences sur lui ... Et ils n'avaient pas étaient tendre du tout. Il l'avait enfermer, sans s'occuper de ses hurlements à fendre l'âme, prétendant qu'ils faisaient ça pour l'endurcir...
Ses souvenirs remontaient à la vue de Dilandau tel un flot innintérrompu... et ca lui faisait mal. Si mal... Van allait-il l'enfermer ? Le jeune homme en avait bien peur...
Van ne comprit pas la révolte de Dilandau. Par contre il comprit que la pièce était bien trop sombre et bien trop petite pour un claustrophobe aussi perturbé que son ennemi.
Il lui attrapat la main, provoquant un nouveau tremblement chez Dilandau, puis retournant la paume il y mit le chiot dedans.
"C'est pour toi. Maintenant suis-moi."
Avec toute la désinvolture qu'il pouvait faire preuve, Van entreprit de descendre les escaliers mennant au rez de chaussez sans ce retournez... Puis d'ouvrir sa propre chambre, la plus grande à Dilandau.
Le claustrophobe le suivit. Les yeux grands ouverts. Où été le piège... Es-ce que Van cherchait à avoir sa confiance pour mieux l'humilier ensuite ? ... Dilandau s'effondra au milieu du couloir. Il en avait assez... Assez ... Les medecins qu'ils avaient cotoiyer durant son enfance se regaler à se petit jeu là. Tu veux une chambre ? Oui. D'accord. Et il finissait dans un cachot humide avec 5 ou 6 adultes malodorant pour lui faire peur. Le déstabiliser.. Tout pour pouvoir le modelé à leur guise ensuite, lorsqu'il n'avait plus aucun repère.
Van se retourna. Il ne connaissait pas le passé de son ennemi. Mais ... Dilandau était attendrissant, recroquevillai sur lui-même le chiot au creux de sa main, la peluche glissait dans son coude...
D'un sourrire il le fit se relever avant de le coucher dans son lit.
" Allez. Maintenant tu dors. Sinon Allen va pas être content !" rigola-t-il tout en le bordant.
Il laissa la porte entrouverte, pour qu'il n'ai pas d'autres crises de claustrophobie et posta deux gardes devant la porte. Lui-même dormirait dans la chambre prévue pour Dilandau. Pas de problème.
Au petit matin... Un cri. Van se réveille en sursaut. Il se précipite a l'origine du cri.
Le long des mains de Dilandau. Du sang s'écoulant gouttes à gouttes. Lentement.
Au sol. Un des gardiens.
A côté l'autre gardien.
Dilandau semble tremblait de tout ces membres. Les yeux écarquillait sur sa main.
Il a tué le garde...
Van aussi tremble. Il désarme son ennemi. Et alors qu'il voudrait le rammenné dans sa chambre avant de tiré cette affaire au clair. Dilandau s'agrippe à lui, pleurant... murmurant "pardon... ", "pardon... "
Le prince le serre tout contre lui. Et regardant autour ... il comprends. Le chiot..
"Qu'es-ce qu'il c'est passé ? demande-t-il durement au garde toujours vivant.
- Le petit clebs est venue emmerdé Jean. Alors ben, il l'as poussé. Pour qu'le chiot retourne dans la piole du prisonnier. Et là, l'autre fou lui as sauté dessus, et lui as volé son arme avant de le tué."
Le mort, Jean semble-t-il, avait du faire un peu plus que poussé le chiot, vu que l'animal gisait inconscient un peu plus loin dans le couloir.