Turbulences dans un vieu tacot

===> galleries

le brun avait vraiment finit par le mettre en colère. Non mais c'était quoi ce cirque ? on embarquait pas le sgens comme ca ! se cramponannt comme il pouvait, il regarda d'un oeil noir le conducteur-chaffard du véhicule avant de gigoter dans tout les sens. frappant sur la vitre, il continua à crier contre cte fou, ne se mefiant pas des menaces. au bout d'un temps pourtant quelque chose s'abattu contre sa nuque et après ce choc, sa vue se troubla...

et lui perdit pied. il lui avait fait quoi ? cefut sa derniere pensées avant de s'évanouir. retombant evanoui contre le brun, marc fu repoussé contre le siege.y restant inerte, la "poupée" obéit gentiement et se pencha en avant sans savoir qu'elle bougeait. l'absence de lumiere le ft plisser des yeux etmarc se reveilla alors que le vieu tacot déambulait dans les galeries... mouai.... il était dansquelle bagnolle là ? se réveillant completement, il sursauta et regarda d'un air furieu cet espece de couillon qui avait osé l'assomé.

- Non mais ca va pas !? laisses moi sort...

marc : enclancha la poignée qui ne s'ouvrit hélas pas. se remémorant donc tout, il s'enfonca dans le dossier et soupira, attendant que la voiture s'arrete... ou meme un seul signe pour pouvoir s'echapper... observant par le retroviseur la banquette arriere, il s'apercu que la portiere arriere derriere lui semblait avoir été forcée... d'ailleurs, il n'y avait plus de loquet. right. c'était bien tout ca, mais pour l'atteindre... s'evertuant donc à observe à travers la fenetre, il commenca 5min plus tard à chercher à taton le loquet de son siege....

souriant une fois qu'il 'eut en maint, il le tira d'un coup sec et son dossier s'allongea d'un coup sur la banquette arriere. glissant à toute vitesse de sa ceinture, il ouvrit la porte forcée, remercia celui qui en avait forcé la serruere et sauta de cette maudite bagnolle alros qu'elle roulait : et dire que l'autre c'était fait berné ! bon, de toute maniere les galleries n'étaient pas assez larges pour qu'il face demi-tour de toute maniere.

courant dans les galleries, il les conaissait assez pour bien vite rejoindre la ville de fortune créée dans les sous-terrains. Il était plus que furieu et rejoignit alors à grand pas la maison mère. alors ca il alait voir cte **** ! entrant dedans sans frapper, laissant la porte claquer contre un mur alors qu'il était essouflé, il déambula dans les couloirs et chercha la piece qui, entre celles- servant à la rebllion servait de bureau aux yakusas des sous-sol. attrapant un petit par la main (bah tient, akira ^^), il le regarda furieusement et lacha d'unton sec

- Kagero. Il est où ?

Comment ca "pas là" ? non mais il se foutait de qui lui ? enfin cela servit à lme calmer et se apssant une main dans les cheveux, s'excusa d'une maniere bien plus douce au jeune homme, et rouvrit la porte, décidé à rentrervivement chez lui. sauf que la porte ouverte menaità...plutot au... eh voui, au crti qui l'avait cloitré dans sa bagnolle. énervé, il lanca d'un air désabusé :

-Encore toi ? mais tu me poursuis c'ets pas possible ? il est pas là ton ...***** biiiip ! de chef! alorsmaintenant tu me fous la paix et tu gertes ! è____é

bon oui, avec quelques centimetres de plus, il aurait peut être été plus crédible. m'enfin le caractere ne dependait pas de l'allure d'un homme, deja qe pas mal doutait qu'il soit seme... bref.

- bon tu te pousses oui ?

[galleries]

Onizuka avait rouler un petit moment avant d'oser prendre la direction des sous-terrains. Oh non 'autre boulet à ses cotés se rêveillait dpeu à peu. Il s'agitait comme un asticot qu'on venait d'arracher à sa pomme. Et bruyant en plus! Rien à foutre qu'il puisse lui tirer une balle entre les deux yeux et plus de marc, plus de soucis (si je pouvais faire la même chose ....). Oni se concentra sur la route, il avait la ferme intention de ramener se vermiceau au QG pour ne pas à avoir à le chercher par la suite. Sans rien comprendre, Marc changea tout à coup d'attittude. Peut être avait il comprit qu'il n'avait d'autre choix que de se résigner.

Nan c'est pas son genre à l'abruti! C'est trop louche pour que se soit ça! Juste le temps de jetter un coup d'oeil dans le rétroviseur intérieur et de le regarder pour comprendre ses intention. EH MERDE! Alors que le rouge bascula son siège pour s'enfuire, le brun braqua de à toute vitesse à droite, mais trop tard. Le rouge s'enfuit et lui se retrouva avec... des pneus crevés... Putain il savait qu'il avait des pneus sous-gonflés, mais de là à les crever les quatre en même temps avec une main-oeuvre aussi "petite".... C'est pas son jour aujourd'hui. Perdre sa cible... crever ses pneus... Allé voir "papa" pour entendre dire qu'il préférait son "fils" avant....

Bon tan pis il roulerait sur ses jantes. Il reprit le volant en beuglant contre se connard qui lui avait fait faux-bond. Si kagero l'apprenait, ça chaufferai dans ses oreilles pour un échec aussi cuisant à deux reprises. Il se lamenta un dernier coup et reprit la route. Ah et puis tient, il passerait chez lui avant pour prendre une douche. Il s'arrêta sur le jardin privé du propriétaire, écrasant ses foutu fleurs en se marrant. Il monta chez lui et se mit tout de suite sous la douche. Lorsque l'eau coula enfin, il jetta ses vêtement devenu inutil. L'eau l'aidait un peu à faire passer sa journée merdique. Il prit un serviette et sorta. Rapidement, il enfila un calçon et un pontalong de sprt et se renda denouveau dans la voiture.

Bon il fallait encor qu'il passe voir "papa" et peut être faire son compte rendu se soir... Il était à quelque pas de l'entré alors que son portable vibra. Le brun, un peu rétissant en voyant le nom d'akira s'afficher sur son mobil, hésita à répondre. Il releva la tête en entendant un cri strident. Nan pas ça! Pas lui! ...

"Ta gueule! C'est chez nous ici! Et je t'ai pas prit pour t'amener voir Kage!"

Il décrocha le téléphone en surveillant le lombriquet qui gesticulait pour qu'on le laisse passer. Il demanda à Akira de lui apporter du mouchoir imbibetr de produit soporifique. Oni se frotta le torse et regarda le gringalet de tout son long. Il attrapa son poignet violament et le plaqua contre lui enattendant que le jeune homme arrive avec se qu'il avait demandé.

"Ecoute, tu es obéissant et tout se passe bien, ou tu ne l'ai pas et ça va se finir dans le cimtière pour toi!"

Onizuka qui avait à nouveau réussit à ressaisir sa proie, l'avant plaqué contre lui. Il continua de le menacer pour le faire tomber toute résistance, mais non, ça ne fonctionne pas. Il sentit une main s'abattre sur son entre-jambe. A le fils de ¤]@^ il lui broie les parties. Le brun avait le souffle coupé devant la douleur, même si sur le coup ça ne lui déplaisait pas. Mais c'est tout de même très douloureux. Quel enfoiré... ll lui ferait payer cher, et même très cher! En un rien de temps il fut propulser loin dujeune con qui prennait déjà la fuit.

Il se redressa comme il pu et appela rapidement Akira, lui expliquant groso modo ce qui venais de ce passer, en tournantles chose de façon à se que Marc sois vu comme un danger pour eux mais surtout Kagero. Oui, même s'il ne s'appréciaient pas vraiment mutuellement, il pouvait tout de même jouer sur Kagero pour trouver un terrain d'entente. Après avoir passé son coup de fil et d'avoir bien reçu une réponse positive, il se releva,massant un peu son entre-jambe encore douloureux et alla récupérer le paquet.

"Je vais prendre une salle à l'intérieur, qu'on ne me dérange sous aucun prétexte..."

Quand il disai ça, ça signifiait qu'on allait entendre hurler pendant un moment. Ses collégue eurent sans doute un petit frisson à ca moment là. Onizuka prit le boulet humain sur son épaule et rentra dans la maison principal, se dirigeait sans hésiter vers sa salle privé dans le sous sol du batiment. Une fois à l'intérieur il attacha marc avec des chaines qui pebdait du plafond et d'autre accroché au sol de façon à lui faire écarté les jambes et pas les bras. Une fois bien ferré, il alla allumé un feu dans la cheminé où il plaça plusieur ustencils. Et revient se placer devant lui jusqu'à se qu'il se reveille.

"...... Alors on veut jouer au plus fin avec moi..."

Il se leva et alla retourner les fers qui commençaient à rougir dans le feux et revint vers lui. Le bun n'aimait pas du tout comment il lui parlait, mais pas du tout. Onizuka l'attrapa pas les cheveux violament, projetant sa tête en arrière alors qu'il le regardait encore plus mauvais que d'habitude.

"Et pourquoi je devrais t'écouté, connard? Tu m'écoutes moi? Je vais t'apprendre tu vas voir...."

Il déchira sa chemise et son pontalong puis alla chercher un seau deau gelé qu'il lui lança dessus. Onizuka se réjouit de le voir en calçon, trempé, et frissonant. Ca le remettait à sa place. Ilse positionna derrière lui, ilpinça entre ses point l'un des tétons durcit par le changement de température alors que Oni lui mordait la nuque pour y déposé une marque. Petit à petit, son petit jeu du 'tu vas le payer' l'exitait. Tout en continuant de le malmener, il prit d'une main le fer qui représentait sa marque, deux épées formant une croix avec ses initales.

"Alors tu ne veux toujours pas m'écouter? .... A partir de mantenant tu n'auras pus le choix, tu m'appartiens!"

Le fer chauffé à blanc s'abatta sur la hanche droite du jeune homme, alors que le brun, s'écartait un peu de son dos, pour ne pas être brulé par le métal. Les qu'il poussait, reveillait sa virilité... quand il aura finit, il lui montrerait comme il était reveillé.

Il lacha le fer en le lançant plus loin et regarda le résultat.... la chair rouge brulé, rendait bien sur lui. Il pris à nouveau de l'eau elle la laissa couler sur sa hanche pour refroidir plus vite. Onizuka se colla à nouveau contre lui en descend son calçon et retirant ses propre vêtements.

"Je sais pas si tu as remarqué... mais tu es tout mouillé là... (entre un doigt) détent toi sinon ça va faire encore plus mal.... (commece à le bouger en lui) .... tu vas voir, c'est agréable.... enfin, pas quand c'est brutal (ajoute un deuxième doigt et continue) pour ta première fois... tu devrais me remercier... (retire ses doigts et se position)... je t'ai préparer un minimum (le pénétre) .... hmmm..... j'aurais pu ne rien faire...."

Onizuka prenait un malin plaisir à prendre son temps. Il colla son corp chaud de désir contre son corp brulant par la marque qu'il lui faisait. Malgré son envie de violance, il savait ue c'état sa première fois en tan que Uke, alors pas si vache que ça, il irait doucement. Enfin au début, après on vera bien. Il commenca par de petit coup de reins alors que ses petits bruits l'exitaient de plus ne plus. Ses mains glissèrent le long de son corp pour échouer sur sn ventre plat, retraçant quelques muscles avant de terminer sur le sxe qui réagissant tout de même à ses caresses.

"Ca ne te déplais tan que ça.... Que ton minable maître te la mette..."

Toujours gardant ce rapport de force, il donna un coup de bassin plus fort, pour montrer qui dominait. Il passa un de ses doigts le long son menbre jusqu'à arrivé au sommet. Làil pinça doucement l'extrémité entre ses doigts. Son autre main monta à sa gorge, l'obligeant à lever la tête. Le brun se mit à lécher avidement son cou, mordillant la peau alors qu'il acelérer ses andulations. Il allait regretter de l'avoir connu, de s'être enfuis à deux reprises et de vouloir lui tenir tête. Il sentait le paisir se répendre en lui à chaque fois qu'il bougeait en lui. Onizuka relacha son cou pour attraper une boite remplit de petites mais longues aiguilles.

"Tu connais le principe de l'acuponcture? C'est une médecine douce sencé aider l'organisme... mais on peut paralyser partiellement ou temporairement si on plante l'aiguille aux bons endroits..."

Il prit une aigulle entre ses doigts et passant la tête sur le coté pour regarder où ils pouvait bien la mettre. Pour le "taquiner" un peu il frappa plus fort tout en lapant au niveau de ses cotes. Menacant de planter l'aiguille sur l'un de ses tétons, il descendait lentement. Sur le ventre peut être? Lui il savait où, mais marc lui... Dans le nombril? Il avança l'aiguille comme si il allait la déposer là, mais non, il la laissa tracer son chemin jusqu'aux bourses, griffant un peu lorsqu'elle passa dessus, elle remonta le long de son pénis pour se planter sur l'objet de désir.

"On peut aussi faire augmenter le désir, empêcher de jouir (en repend une pour la piquer une peu plus lion sur son sexe) ou tout simplement faire mal...."

Il le morda sur le l'épaule plutôt que de lui planter une aiguille à un endroit sensible et sensoriellement douloureux.Il laissa une trace bien visible, et un arrière gout de sang dans sa bouche. Le brun repéta l'opération jusqu'à recouvrir le sexe de Marc, laissant tout de même des espaces d'un centimètre et demi entre chaqu'unes. Onizuka revint lui faire pouser des cri de jouissance en s'adonnant à ses pulsions. Il bougeantvite et violament en lui. C'est à lui qu'il aurait du empêcher de se liberer et à augmenter le sensations. Il avait été trop généreux avec le révolté. Il se pencha vers son oreil alors qu'il atteignait son paroxysme.

"Tu veux peut être ... échanger les rôles..."

Il pouvait toujours rêver! Même s'il en avait envi, oni ne lui libérerait ni les mains ni les chevilles! Pour ce qui est de le laisser jouir.... c'est encore à voir.... s'il est sage, peut être...

Onizuka se laissait aller en lui, bourinant sans relâche contre sa prostate. Les vierges c'est toujours meilleur comme ça, quand c'est étroit et brûlant à l'intérieur. Et pour le gêner encore de sa présence en lui, il va jusqu'à venir gémir dans son oreille avec rictus ignoble aux bords des lèvres. C'est ça dans quoi il avait été bercer toutes ses années et qu'il aimait. Marc n'était plus qu'un pantin inanimé ne sachant que gémir à ses coups de reins. Ça devenait désolant à la fin. Onizuka voulait le sentir résisté mais il avait abandonner le combat sans doute bien avant qu'il ne commence à aller plus fortement en lui. Bien sur il lui disait d'arrêter, il l'insultait, mais concrètement, il ne faisait rien. Il en avait connu d'autre qui se débattait plus que ça. Portant il n'avait jamais autant aimer ça.

Il écouta ça demande entre de spasme. Il allait le rendre dingue à gémir comme ça. Nan pire il allait s'attacher à lui. Dans quel sens? Nan il en était pas sûre alors il ne préfère pas y penser. Sa bouche près de l'oreille il le lui mordille doucement, le seul moment de douceur dans se monde de luxure brutal. Il lévra avidemet le lobe de son oreille en gémissant avant de murmurer.

"J'ai envie que tu me suce... laisse moi te libérer en échange je veux profiter entièrement de toi avant que tout finisse "

Une pointe d'amertume dans le coeur en pensant que ça allait devoir se finir à un moment. Il commença à retirer une à une les aiguille planter sur son sexe, en humant ses cheveux, essayant de garder en mémoire son odeur. Il caressa de son autre main, la peau tendu du ventre de Marc. Tout en l'empalant sur son membre il se frotta contre lui, ralentissant ses coups pour qu'il jouisse maintenant, ce qui arriva rapidement alors qu'il gémissait dans un râle de plaisir près de son oreille en ajoutant un petit "humm délicieux". Il se retira et s'agenouilla pour récolter sa propre semence et nettoyer son intimité alors qu'il ne restait plus qu'une aiguille et que le sexe de son amant suinter, désirant qu'on le libère.

"Attend juste encore un peu..."

Il entra il laissa la dernière aiguille alors qu'il entrais deux doigt pour le nettoyer en profondeur, infiltrant sa langue à l'intérieur la tournant délicatement alors qu'il se fait encore envie de le prendre. Une fois assuré qu'il ne reste plus rien, il passe et s'agenoue. D'un doigt fin il caresse sa verge de long en large, puis il le posa sur l'extrémité et fait une petit vibration dessus. Il se rapproche encore un peu et lorsqu'il enlève l'épingle, il prend son pénis en bouche, le suçant , mordillant l'extrémité jusqu à se qu'il se libère dans sa bouche. Il remonte le regarder et l'embrasse, lui transmettant la moitié de sa semence et avale le reste.

"Avale et je te retire les chaînes pour continuer"

Marc gémissait à chaque coup de reins maintenant, de plaisir et de douleur mêlée : ne pas pouvoir jouir restait le pire des upplices, et les aiguilleslui faisaient un aml de chien. Haletant, se tortillant toujorus à cause de la brûlure, il serra les dents: il fallait qu'il se reprenne, malgré la fatigue il ne voulait pas lui montrer trop de points faibles non plus. Mais voilà que le brun en plus allait carrément ruminer à son oreille de manière grisante... d'un autre angle c'était des gémissements dans un organe sensoriel plus que récessif... Marc en finit par se teindre de rouge.

finissant par gémir quand il lui mordilla l'oreille, il grogna un coup... : pas question de se laisser aller plus, même si son corps faisait déjà tout ce que voulait le brun. Mais il ouvrit grand les yeux quand celui-ci demanda... quooaaa? mais il était malade ? Marc écouta la requête du brun en gémissant : il avait beau dire, l'idée était loin de le laisser de marbre... les aiguilles s'en allèrent une à une sans que marc aie eu le temps de refuser, le faisant crier tant son membre était maintenant gonflé de plaisir. Se laissant faire comme jamais, gémissant de plus en plus à chaque coup dereins, il se demanda quand même pourquoi il lui caressaitle torse : s'il avait vraiment voulu être violent ce genre de choses auraient quand même été oubliées.... non ?

N'arrivantpas à s'empêcher de gémir il émit quand même un cri de surprise en sentant le yakuza se déverser en lui... reprenant son souffle devenant un peu plus "poupée" quand il souffla à son oreille de smots qu'il n'essaiya pas de comprendre, il se mordit la lèvre jusqu'au sang... il avait osé jouir en lui.

- ... attends, tu fais quoi là ? ar... arrêtes ça !

gesticulant des hanches pour l'empecher de le "nettoyer", il finti parcouiner et s'arrêter : son bassin lui faisait mal à cause de ce qu'illui avait fait précédement. continuant alors à se mordre la lèvre pour ne pas hurler de rage, notement que lui avait toujoruos "une" aiguille qui le titillait, le faisait hurler de douleur intérieurement tandis qu'il haletait dans la réalité. observant ce que le brun lui avait encore préparé, il émit un cri et essaya malgré la douleur de le retirer de là en sentant une langue en lui mais lesmains d'onizuka le tenait et lui n'avait pratiquement plus de force... il l'observa ensuitelui faire une fellation qui malgré lui marcha, mais quand celui-ci remonta pour lui faire prendre de force cette substence immonde qui pourtant provenait de lui, marc eu d'abord un mouvement de recul : l'embrasser ? et puis quoi encore !? finalement il le fu de force et senti le liquide se déverser entre ses lèvre... l'avaler... certainement pas...

Baissant la tête, Marc finit tout de même par obéir, mais n'osa plus le regarder en face... se laissant libérer sans rien faire, il retomba sur le sol sans même pouvoir se lever, mais un rictus aux lèvre. ni une ni deux il agrippa les jambes du brun et le fit tomber à terre avant de lui grimper dessus et de lui enfiler beigne sur beigne.

- Alors tu aimes profiter des gens hein ? Enfoiré va !

arrêtant, il referma les menottes des chevilles sur celle du yakuza et pensa partir en rempant pour essayer au moins de trouver une issue, mais... une odeur finit par li prendre le reste de ses forces et il tomba la tete contre le torse du brun, tout en haletant. un aphrodisiaque... ? peut être... maisce qu'on venait de lui faire l'avait laissé encore sensible et il ne fallu pas longtemps pour que ses hanches bougent malgré lui, sans pourtant avoir été touchées. perdant petit à petit conscience de ce qu'il faisait, il essaya tant bienque mal de se redresser. Finalement retombant, il regardale regard embrumé, le torse du brun...

Un magnifique torse, si cet abruti n'avait pas été aussi... "seme", marc l'aurait même toruvé à son gout. mais voilà là il n'arrivait pas à faire la différence et commença même à délirer en croyant voir kaoru... susurant son nom dans son oreille (kaoru, pas oni, mdr),marc vint se mettre au dessus de lui, lui bloqua les poignets doucement, et finissant de perdre sa fierté par l'espece de droguequ'il avait respiré, alla carrément embrasser onizuka à la place de son uke adoré. Il l'aimait... il l'aimait pourtant tant ce kaoru, alors pourquoi avait-il l'impression qu'il souriait plus en parlant de ce Kagero que de lui... ? Finalement, parcement son "kaoru" de baisers, il vint pendre son membre en bouche etne se rappelant même plusque c'est axactement ce que le brun lui avait demandé, commença une lente mais agréable fellation sur ce baton de chair, tout en se disant que pour un uke il avait quand même un sexe plutot "enorme".... (mdr)

Comme promit, il détacha ses poignets et ses chevilles. Le brun s'attendait à ce qu'il ne puisse pas tenir seul sur ses jambes, mais il ne chercha pas non plus à le soutenir. Oni qui avait attrapé une ampoule d'aphrodisiaque volatil, voulait s'amuser encore un peu. Sauf qu'il n'avait pas prévu que Marc l'attrape par les jambes et le fasse tomber. La petite fiole tomba par terre avant lui et se brisa sur le sol. Lui, vint s'écraser sur les bouts de verres qu'il restait. Bien sur il sentit une petite douleur mais il était trop occupé à retenir sa respiration au loin de se préoccupé de ça ou des coups que Marc lui donnait.

Il ne l'écouta pas vraiment, référent se concentré sur son apnée. Marc allait avoir la tête lourde avec ça... se prendre tout ça dans les narines... il allait littéralement avoir le feu au cul. Mais qu'est ce qu'il fait?! Pourquoi il lui attachait les chevilles?! Ne pouvant plus retenir sa respiration, il avala une grande bouffé d'air. L'odeur de l'aphrodisiaque se dissipait, mais il était trop tard pour Marc qui en avait déjà avaler une grande quantité. L'effet ne tarda pas à agir. Le voir comme ça.... Il commençait à durcir au grand galop. Ses yeux limite implorant d'avoir plus de sexe... Il pouvait pas le laisser comme ça, surtout que maintenant il lui appartient et pis il avait ce petit truc qui faisait qu'il voulait le laisser partir. Marc avec ses yeux brumeux vint lui murmurer le nom de l'amant de son patron. Le bâtard!

"Si tu veux jouer à ça, moi aussi!"

Alors que Marc se colla à lui, lui bloquant les poignets. Il commença à se débatte mais quand les lèvres se posèrent sur sa bouche il cessa immédiatement. Il avait eu ce qu'il voulait non? Et là il descendait vers son membre. Il pensait vraiment pas qu'il le ferait, il l'aspirait tout entier dans sa bouche. Il sentait sa langue bouger autour de son sexe, lui produisant beaucoup de bien, au point qu'il en vint à gémir son prénom. A oui c'est vrai que lui il voyait Kaoru. Histoire de lui casser un peu sa rêverie il appela Kagero alors qu'il le suçait doucement. Au final ça l'amusait, il avait Marc en traint de lui faire une fellation et le verre dans le dos qui se plantait un peu plus loin dans son dos.

"Kage.... prends moi...."

Ses mains libres, il les descendit le long de son corps en se caressant pour arrivé sur la tête de Marc. Il lui leva la tête pour qu'il arrête et regarde. Il souleva ses hanches , n'ayant pour seul appuie , ses pieds et ses épaules. Lentement il se masturba en se titillant l'entré de son intimité. Et pour aguicher un peu plus ses sens, quelques gémissement made in Uke, effet assuré.

Le brun savait quand faisant ça, il allait exciter Marc au point qu'il le prenne tout de suite. Par contre il ne s'attendait pas à ce qu'il soit si... comment... doux. Même la fois où il l'avait fait avec Kagero n'avait pas été si douce. Le rouge était si prévenant avec lui. Mais entendre le nom de l'amant de Kage toutes les cinq minutes l'agaçait un peu. D'accord il avait des hallucinations mais quand même! Tout ça, tous ses baisers, toutes ses caresse apaisantes, tou cet amour... Il en était presque jaloux. C'est peut être ça que Kage et Kaoru partageaient, c'est peut être ça qui rendait Kage heureux. Et aujourd'hui c'est à lui de goût à ce petit bonheur éphémère qui ne lui était même pas destiné. Le monde est pourri. Onizuka voulait blessé au plus profond se marc pour qu'il revienne à la réalité et qu'il voit lui aussi que le monde est pourri.

"Marc si kaoru veut pas de toi c'est peut être tout simplement parce qu'il ..."

Sans rien comprendre il se retrouva assis contre lui. Son coeur se serra rien qu'avec se contact. Mais il lui arrive qui là?! Il lui retira les bout de verre incrustés dans sa peau. Même si ça le touchait vraiment, ça restait toujours pour Kaoru. Bon il pouvait bien prendre plaisir du moment présent, après tout sera finit et de tout façon Marc se souviendrait même pas de ce qui c'est passé à se moment là. Il se laissa faire, essayant d'imiter au mieux l'uke qu'il n'avait jamais trop connu. Une fois reposé le plaisir de le sentir en lui revint vite même s'il n'avait jamais trop eu l'occasion d'être en dessous. Essayant d'oublier un bref instant tout les kaoru qui sortait de sa bouche, il se laissa aller, jusqu'à même l'appeler par son nom. Si seulement se n'était pas pour le Kaoru...

Onizuka qui entrevoyait un monde de luxure qu'il ne connaissait pas, gémissa de plus belle en sentant sa semence se répandre en lui. Le rouge continua ses mouvement jusqu'à ce qu'il salisse leur deux corps. C'était bon, vraiment bon de se sentir aimé l'espace d'un instant, même si tout n'était que mensonge. Marc tomba de fatigue sur lui, toujours dans son rôle de l'uke parfait il le serra dans ses bras. Demain, il aurait mal au crâne et ne se souviendrais de rien. Au pire, il aurait l'impression d'un rêve. Une fois endormit contre lui, Onizuka ne pouvait pas se redresser pour raison pratique. Marc était toujours en lui. Malin ça, il pouvait plus bouger. Il ne pouvait même pas atteindre son entre-jambes avec la main! S'il soulevait les hanches pour passer sa main derrière son dos et retirer se qu'il a entre les fesses... Non marc allait glisser et s'enfoncer un peu plus en lui... A s'il se mettait de coté! La c'est sur il peut l'enlever! Comme pour se le prouver, il essaya de se mettre de coté mais... Ra putain de chaîne aux chevilles!

"Marc! Lèves toi! Retires toi!"

Rien à faire il dormait profondément sur lui. Il lui fallait une clope maintenant. Il regarda de tout les coté en espérant trouver un truc pour se libérer mais avec marc sur lui... Il resta là comme ça, en manque de nicotine, impossible de fermer l'oeil. Il voyait des nains sortir des murs avec des clés, des clopes et même du chichène...

Onizuka réussit à faire comprendre à cette grosse larve qu'il fallait qu'il sorte de lui, ce qu'il fit. Mais bizarrement il le laissa dormir sur lui. Sans doute le manque de nicotine dans le sang. Il en avait besoin... Il avait les yeux d'un défoncé lorsque Marc se réveilla. Mais lui il était ailleurs, ça tournait partout, un dans trou dans lequel on se sent aspirer et rie pour le faire sortir. Enfin, en sentant le rouge bouger, il sortit tout de même de cette drôle d'impression dans la quel qu'il était depuis un moment. Il ne pouvait pas se relever pour le moment mais dès qu'il le pourrait il le ferait.

Il posa ses yeux sur le jeune qui était de plus en plus perturbé. C'était marrant, même encore plus lorsqu'il commença à gémir de douleur. Onizuka se passa une main énergique sur les yeux pour faire partir les effet négatif du au manque de nicotine ... ou d'autre chose. Il pouvait bien lui prendre ses fringue il en avait fichtrement rien à foutre de ça. Il pouvait se balader nu s'il le fallait. Il se releva chancelant un peu du aux vertiges provoqué par son manque ne nicotine. Il chercha son paquet de clopes, qui par chance était à porté de main avec un briquet coincé entre le paquet et son emballage. Il sent sorti une, l'alluma et tira une grande bouffe comme si toute sa vie en dépendait, seulement après il se retourna vers son "invité".

"Tu peux taper tout ce que tu veux, tu sortira pas si ce n'est pas le bon code... Frappe aussi, personne ne viendra... Tu peux aussi pleurer, t'ouvrir les veines il y a pas de caméra ni de micro, et je suis attaché donc... Meurs bien"

Ok il était un peu froid mais c'est de sa faute. Il réagissait comme si ... non il réagissait pas comme il le voulait alors il continuerai à jouer les bourreau. Il fumait tranquillement sa cigarette tan désiré depuis des heures même. A si seulement il comprenait lui-même ce qui lui arrivait... Il irait voir "papa" pour se faire soigner. Mais au lieux de ça, il est bloqué ici à regarder un objet de désire devant lui. Sans rien dire il le regarda s'asseoir sur la chaise, ne bougeant que les yeux, ne répondant pas à sa demande.

"..... C'est un secret pour tout le monde sauf moi et... l'amant de kaoru... Kagero!"

Il adora le voir dans cet état de haine. Pour une fois c'était pas vraiment diriger vers lui, mais c'est toujours amusant de voir ça. Il se dandina d'un pied à l'autre Réfléchissant à quelques chose d'encor plus ignoble à faire, mais qui pourrait être délicieux pour tout les deux... Il avait peut être une solution... Il se pencha en avant le plus possible pour attraper son fer, l'observa un peu avant de le frapper avec force contre le sol et faire céder la parti qui comptenanait sa marque, ne restant que le manche et une grande tige. Il le plaça dans le trou de la serrure de ses chaînes. Sa cheville essaya de s'éloigner de la serrure alors qu'il donna a nouveau un grand coup pour briser sa chaîne. Il fit la même chose, mais se rata un peu, s'ouvrant juste au dessus de la cheville. Il en lâcha même sa cigarette pour le coup et roula hors de vue.

"A putain! C'est pas vrai! C'était ma dernière!"

Il s'accroupit, sans faire attention à la vue qu'il offrait, ni même a sa blessure. Le brun chercha sa clope mais ne la trouvait nul part. Il pesta avant de se relever et alla cherchait un pantalon caleçon et pantalon dans l'armoire au objets de torture. A croire qu'il y avait conçu un vrai petit nid douillet pour lui.

"Je te fais sortir d'ici mais... tu oublie kaoru et tu sorts avec moi..."

Onizuka fut étonné de voir le roux lui demander sa cheville pour la panser. Il ne lui donc pas peur?! Ou bien n'était il pas en train de succomber à son charme légendaire? Mais un charmeur assez étranger toutefois. Il n'était pas vraiment ce qu'il y a de plus romantique, d'attentionné, de doux et gentil... Il n'y a pas à dire, les hommes, ukes ou semes, ça aiment les hommes dangereux. Par réflexe il lui donna sa cheville, enfin Marc la prit sans qu'il ne résiste. Il l'aimait bien se petit finalement.. Peut être même pas comme tous les autres... Oni se secoua la tête vivement rien qu'en y pensant. Ce n'était pas bon du tout! S'il s'attachait à lui, alors rien de bon en sortirai, il avait toujours des tas de problèmes que ça soit professionnel ou non. Pourtant une pat de lui, un pas si petite tout de même, qui voulait vraiment que Marc accepte sa proposition, pour qu'il se pose enfin. OK il est encore jeune et il peut se trouver quelqu'un dans quelque temps, ou personne.... mais il avait se petit truc qui faisait qu'il résistait pas. Piqué à vif et vexé qu'il s'emporte comme ça pour une demande qu'il avait lancer comme ça, il était pas près de le lâcher comme ça, du coup! (lol)

"Toi! TOI! Dans ton intérêt! Comme le mien! J'ai pas vraiment envie de passé ma vie dans cette pièce! Acceptes!"

Il se remit à chercher sa clope qui avait disparut à la fleur de l'âge alors qu'elle lui apportait réconfort et délivrance.... Un disparition tragique et impossible de la retrouver. Et merde! Et merde! ET merde à la fin! Il en avait besoin quoi! Il se posait trop de question dans sa petite tête! Il se releva en regardant méchamment Marc, comme si le fait de sortir avec lui pouvait lui être une insulte. Malgré tout, parce qu'il l'aimait... bien et qu'il l'avait soigné, il alla chercher de quoi habiller le roux. Il sortit de l'armoire un pantalon noir à ficelle sur les cotés, et un T-shirt de la même façon, mais de couleur rouge avec un tag noir en forme de démon où était écrit "Perm to kill". Il lui lança avec dédain et referma l'armoire. Un sourire se dessina sur sa bouche lorsqu'il comprit qu'il avait trouver son point sensible.

Alors comme ça il aimait Kaoru à se point... Ça l'en dégoûtait un peu comme ça le rendait jaloux. Oni avait la fervente intention de lui voler ses sentiments pour qu'il puisse savoir lui aussi, ce qu'était être aimé et aimer. Il lui volerai son coeur et apprendrai à être amoureux mais pour le moment il allait le faire souffrir parce que cet amour qui n'était pas dirigé vers lui.

"Soit tu es mien et je ne dis rien à Kaoru, ni a Kage, soit ta vie va devenir un enfer pour toi, à cause de moi et Kage... Si tu deviens mon amant régulier, je te laisserai me prendre de temps en temps avec cette drogue qui t'as fait voir Kaoru...."

Ça lui semblait un bon plan sur le coup. Après tout il n'avait rien à perdre et tout à y gagner, alors pourquoi le roux n'accepterai-t-il pas?! Il était pas moche, même loin de là, il avait de l'avait de l'argent, c'est un bon garde du corps.... D'un coté c'est toujours aussi dangereux pour les autres de sortir avec une personne comme lui, un Yakuza, mais il en prendrai soin et veillerai sur lui....

Onizuka ne comprennait pas sa résistance. Il voulait sortir d'ici ou non? Pourquoi il acceptait pas? C'était vraiment profitable pour eux deux! A s'entêter comme ça, il allait tout perdre! L'amour rend con, l'amour rend stupide, l'amour c'est dangereux, lui ne tomberais jamais dedans. Même s'il l'enviait un peu de voir a quel point on peu faire des choses inimaginables par amour, il ne voulait pas se faire manipuler par les autres à cause de ça, à cause de son boulot. D'un coté ça lui permettrait peut être de ne plus être le cobay préféré de "papa". Mais à quoi il pense! L'amour c'est comme une cigarette, ça pue, sa part en fumé et il reste plus rien une fois qu'on l'a tiré! Mais il avait envie de voir ce que ça faisait d'être aimé. Pas comme les autres en amitéie, il voulait voir ce que ça faisait sur lui et aussi voir jusqu'où on peut aller par amour. Amour, amitié, indiférence, répulsion et ... haine?

"Tu me déteste à se point?"

Comme si ça changeait quelques chose! Enfiin si un peu, ça va être plus difficile pour lui de le faire l'aimer. Mais ne lui avait on pas dit que la haine et l'amour sont deux sentiment très proche et pourtant totalement opposé? C'était bonà savoir qu'il le haït... Peut être qu'avec le temps sa haine allait se transformer en amour. Le truc à faire c'était de l'empêcher de penser à autre chose qu'à lui... La marque qu'il lui avait faite allait ly aider un peut, mais il fallait qu'il ne pense plus qu'à lui alors autant le dégouter du Brun une bonne fois pour toute.

Il se rapprocha de lui furtivement pour le plaquer d'une main sur la tête contre la porte et de l'autre il tenait fermement ses poingnés dans son dos. Une vue superbe s'offrait à lui. Le corp de Marc légèrement penché , les jambe écarté sans faire négligé, dommâge qu'il est remit cette chemise et se pontalon. Il fallait le souiller le plus profondément du monde pour qu'il ne plus qu'à lui. Peut être devrait il le violer devant Kaoru pour qu'il le haine encore plus.... Pour le moment il devait lui torturer l'esprit le plus possible, le marquer à vie dans ses pensées il devait tout prendre de lui et ne rien laisser pour quelqu'un d'autre.

"Tu veux remettre ça alors... Je te laisse encore le choix. Accept et on sort de là ensemble ou refuse et on ne sortira pas avant que tu ne sois entièrement brisé... A mais non, je veux dire que je sortirai, toi tu restera ici..."

Et revoilà le grand méchant Oni! A croire qu'il cette personnalité ne partira jamais. Un sourire narquois sur les lèvres il relacha la pression sur sa tête pour se servir de sa main libre afin de retirer sa chemise. il passa sa chemise au derrière lui et l'utilisa comme un vulgaire lien pour attacher ses mains ensemble. Il prennait un malin plaisir à le voir grommeler alors qu'il continua à le déshabiller. Il était bien plus utile nu de toute façon. Suçant chaque parcelle de peau de son cou il lui sussurait qu'il lui appartenait et qu'il n'y avait pas d'autre échappatoir.

"Je vais marquer chaque coin de ton corp... Tout, pas un seule millimètre ne sera pas souillé... Alors acceptes et ça ne sera plus un viole mais la normalité..."

Le brun laissa ses mains glisser vers l'avant, touchant chaque coin, chaque recoin, même des endroits stupide... Enfin, la seule chose qu'il n'arriverait pas à avoir entièrement c'était son visage. Pourtant, petit à petit il s'enivrait de lui et désirait grandement l'embrasser. Mais il faut être assez con pour lui permettre de lui cracher dessus ou de le mordre. Il se rattrapa à sucer le lobe de son oreille, s'essayant aux mots doux.

"Embrasse moi...
... J'ai envie de toi...
... J'ai si chaud contre toi..."

Mais bon ça ne va pas avec son caractère, en plus il ne réagit pas, alors il perd patience et le pousse par terre pour se mettre sur lui. Le regard d'un fauve près à le dévoré, il regarda ses fines lèvres rosées... Il pense trop faut qu'il arrête. Peut être que papa à raison de le préféré la cervelle vide.

Si seulement il pouvait sortir… Les idées de cet homme ne lui plaisaient guère et le pire, c’est qu’il ne connaissait même pas son nom. Et puis c’était quoi cette histoire de sortir avec lui hein ? Soit il lui avait fait tout cela pour bien se foutre de lui, soit cet abruti avait un problème d’expression… Mais la dernière explication fut recalée pour promouvoir la première : ce type se foutait de lui ! Et à tous les coups il allait continuer d’une quelconque manière… Autant dire que Marc voulait plus que tout sortir de cette satanée pièce maintenant.
Cherchant le code,… non, il n’y avait même pas de code. Cherchant donc un moyen de partir, le rouge tentait tant bien que mal de se concentrer uniquement sur cette fichue porte, et non sur ce que ce Yakuza de malheur, un seme en prime, tentait de lui dire. Mais une question mit en alerte un de ses sens et il se retourna, furieux.

- Si je te hais ? Non mais tu t’es bien regardé ? Tu me séquestre, me violente … me viole et en plus tente de m’imposer ta présence plutôt insupportable, et tu ose poser une question pareille ? Alors oui je te déteste ! ! ! è_é

Ecoutez-le un peu… A croire qu’il s’était reconverti après l’aphrodisiaque, non mais je vous jure ! Pas assez net pour que Marc croit à ça en tout cas. Ni qu’il l’oublie d’ailleurs, il avait une marque à vie bordel ! Marmonnant dans sa barbe, il senti tout à coup une main lui coller la tête contre la porte, et ses poignets qui devaient le défendre, croisés dans son dos avec force. Grognant et essayant de lui envoyer des coups de pies comme il pouvait, il préféra ne même pas penser à ce qui pouvait se passer dans la tête de ce fou furieux. Et pourtant il eu vite la réponse malgré lui, ce qui le stoppa net.

- … Tu me dégoûte…. Et tu crois sincèrement que je vais t’obéir après tout ce que tu m’a fait ? Juste une chose pour te faire une leçon correcte : c’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre sale monstre ! è_é… Et lâche moi putin de bordel de ><…..

La suite, ce fut un peu vite pour lui mais il se retrouva avec une chemise lui menottant les poignets… SA chemise. Déjà qu’elle était trop grande pour lui… Ah il devait bien se marrer ce vieux pervers ! Se débattant, pestant comme un beau diable, ou plus poétiquement comme un étalon sauvage (ya une large différence quand même, j’avoue ><), il ravala de dégout sa salive et ferma les yeux en sentant sa langue, ses lèvres passer une nouvelle fois sur son corps… La voix au creux de son oreille, point sensible chez lui, vibrait jusque dans sa gorge par moment, mais ce que ces mots signifiaient ne le dégoutait pas moins pour autant, au contraire il rêvait du moment opportun où il pourrait lui flanquer un bon coup dans ce que le yakuza rêvait lui même de lui… rhiem ! >_> °toussote°

- … Arrête tu va me faire vomir v_v

Seule et unique réponse de sa part. « Une normalité » qu’il dit ! Non mais hoh elle est bien bonne celle-là, et pourquoi pas lui demander de jouer les putes aussi hein ? Le laissant agir à sa guise, aux aguets pour trouver une échappatoire, il endurait les mains et les baisers, le trouvant étrangement plus doux que la veille… Il s’imaginait quoi ? Que plus doucement ça fonctionnerait avec lui ? Malheureusement pour le rouge, il émit pourtant un couinement quand son lobe fut happé par ses lèvres,, qu’il renferma dans sa gorge ensuite, mais il ne pouvait rien y faire, c’était son corps et non sa tête qui réagissait de toute manière…

Tout, il encaissa tant de mal tout, sauf l’espèce de bosse contre ses fesses et la voix qui commença à lui susurrer des mots doux en plus du reste. Surpris, il se crispa bien plus et se demanda s’il n’avait en fiat pas avoir tout simplement à un fanatique. De la violence, des mots tendres, il y avait tout pour enfermer cet homme dans un asile ! Et pourtant… Eh bien cela l’étonna tellement qu’il en oublia de résister et se laissa tomber au sol, trop surpris pour protester d’une quelconque manière.
Le regardant quand il fut au sol droit dans les yeux, il en rougit légèrement et détourna la tête, à la fois honteux, en colère contre lui-même, dégouté par ce violeur, ce… bref, et pourtant, assez surpris pour en rougir. Qu’est ce qu’il devait avoir l’air con en ce moment…

- … C’est pas non plus avec de belles paroles que tu va m’amadouer maintenant, c’est trop tard… Et j’aime déjà quelqu’un alors c’est non, quoique tu veuilles me faire… Je ne céderais pas. C’est clair ? >_>

Et qu’il arrête avec ces yeux de fauves, comme si Marc avait pas comprit qu’il allait lui repasser dessus ! … Devenir son petit ami ? Certainement pas ! Il l’avait violenté et le pire du pire !!!.... il s’est toujours pas excusé v_v… D’ailleurs s’il s’excusait, le penserait-il ?... Pourquoi essayait-il de lui chercher une excuse ? Cet homme était violent, il le resterait… Mais bon, ses suppositions se barraient en couille après avoir entendu cet abruti sortir un truc aussi… Il s’en était rendu compte le brun ? Il l’avait surement fait exprès pour l’amadouer… Oui c’est ça, pour mieux le rabaisser, comme son père avec son petit frère…Les semes… tous des salauds !

Pourquoi?

Pourquoi lui n'avait il pas le droit à une vie normale? A une vie avec des vrai amis, avec de vrai personnes qui l'aiment, avec une vrai famille, et avec un petit ami qu'il aime du plus profond de son coeur sombre... C'est pas que la vie est injuste mais tout de même lui il n'avait rien demandé et n'avait presque jamais rien demander aux autres en fait. Mais là... là il le voulait vraiment, alors pourquoi? Pourquoi il refusait toujours de se donner à lui? Pourquoi est qu'il ne veux pas voir la réalité en face? Non en fait, pourquoi ce roux ne voulait pas comprendre!
D'accord il avait connu d'autres hommes lui, mais que des coup d'un soir! Maintenant qu'il veux essayer quelque chose de plus... sérieux... on lui dit non. Mais il en a rien à foutre lui! Celui qu'il veut , avec qui ça peut marcher c'est lui! Même s'il le déteste c'est déjà ça.... ça sera dur de transformer ça en amour, surtout que lui ne sachant pas ce que c'est , comment il allait il le faire l'aimer?

C'est pas qu'il est saoulant mais un peu. Il en a marre de se répéter, il lui fallait quoi? Des photos? Des films de cul montrant l'évidence? Des milliers d'hommes avec la même remarque. Kaoru n'était qu'à Kagero! Et après tout ce qu'il avait dû faire pour l'avoir, c'était vraiment bien. Et puis s'il avait fait surveiller Marc c'était pas parce qu'il avait pas confiance en Kaoru mas plutôt en Marc... Peut être que s'il mentait un peu et qu'il insistait il pourrait enfin admettre que...

"Mais tu comprends vraiment rien?! C'est trop tard! Kaoru a déjà trouver son seme! Et il ne changera pas! T'es arrivé trop tard! Kaoru porte l'enfant de Kage et que tu le veuille ou non, tu ne pourra rien faire!"

Bien sûr mentir c'est mal, mais quand on est dans ce milieux mentir c'est presque "sa" vérité et en plus, par moment ce n'est juste pas tout à fait la vérité et à d'autre c'est juste bien pour soi et c'est l'essentiel. C'est comme s'il arrivait à se persuader de quelque chose. Enfin bref, il lui avait sorti le plus gros mensonge qui pourrait briser les rêves futiles du roux. D'accord c'était un peu gros mais c'est ce qu'il fallait. Et puis pour rajouter une petite touche final pour renforcer son mensonge, son visage qui était proche de la sauvagerie plutôt se transforma en une mine plus triste, plus compatissante, plus prise de pitié pour Marc.

"Je suis désolé de t'apprendre ça comme ça.... mais c'est trop tard pour toi... Il n'y a plus de place pour toi dans son coeur alors..."

Il jubilait intérieurement, si son plan marchait il allait devoir avoir une sérieuse discussion avec Kagero. Même si en lui disant qu'il fallait absolument qu'il fasse une petit pour rendre heureux Kaoru, il allait sans doute se prendre un poing dans la gueule mais Kagero serait assez déstabilisé pour y réfléchir à deux fois....
Il se releva et releva aussi le roux, détachant ses poignets et lui remit la chemise correctement. Quel dommage c'était sa chemise préféré... Il l'enlaça doucement par derrière, encore une petite touche pour son machiavélique plan.

"... tu peux m'aimer moi en échange... tu n'as juste qu'à transposer tes sentiments...."

C'est trop mielleux ça! C'est pas lui du tout, et lorsqu'il en prit conscience il se détacha de lui rapidement. .. ... Qu'est ce qu'il donnerai pas pour une clope, un verre de Scotch et de la musique forte dans les oreilles... Ro et puis merde c'était foutu pour lui faire changer d'avis aujourd'hui! Bon ba il recommencerai demain alors...
Il piannota sur la console pour déverrouiller la porte et l'ouvrit.

" Je m'avoue pas vaincu! Je t'aurais tôt ou tard! maintenant sort je te ramène!"

Ca faisait mal… Sa peau brûlée à vif la veille le tirait. Son viol, les coups, tout le poussait à ne pas pouvoir lui résister physiquement… Comment pouvait-on demander aussi volontairement à quelqu’un que l’on ne connaissait pas de l’aimer ? Il venait de le violer… Marc ne pouvait pas même s’il el voulait ressentir de l’affection pour lui. Et puis Kaoru… il l’aimait tant…assez pour s’effondrer à ses paroles. Il lui faisait mal là. Très mal. Marc détourna le regard perdu et attristé. Alors Kaoru était avec un autre ?… Il était enceint ? Oui, le rouge était facile à berner. Même avec Onizuka sur lui, il chercha à dissimuler une larme. Marc ne pouvait pas l’aimer juste en apprenant que la seule personne qu’il aimait était avec un autre, non… Là il avait juste mal. Mal d’avoir espéré aussi longtemps… Il avait attendu, espérer… il avait même essayé de sourire quand Kaoru lui parlait de Kagero, juste pour lui faire plaisir… Ca faisait mal… vraiment très mal. Et l’imaginer dans ses bras entrain de sourire au blond, le laisser le caresser… Il n’arriverait même pas à se défendre contre Onizuka après ça.

Et le brun se rapprocha de lui... Il ne voyait pas qu’il souffrait ? Il lui apprenait ça et maintenant, il arrivait avec sa tête compatissante… A croire qu’il le faisait exprès, mais le révolté n’était pas en mesure de le juger e de l’engueuler pour le moment… il ne le voyait pas non plus comme un allié, plutôt comme une morale qui s’abattait alors qu’il s’était battu en vain jusqu’à maintenant. Enfonce le couteau plus loin…ça le ferait peut être oublier Kaoru quelques secondes… « Alors »… alors quoi ? Se laissant redresser il observa étonné Onizuka être étrangement doux avec lui. Il le libérait, lui remettait sa chemise correctement… comme si son viol n’avait jamais existé, comme s’il avait affaire à un autre homme… Et il se laissa câliner... Trop assommé pour se défendre. Sa défense était au plus bas et sentir quelqu’un l’épauler même si c’était faux… ça l’aidait un peu. Jusqu’à ce qu’Onizuka rouvre la bouche.

"... tu peux m'aimer moi en échange... tu n'as juste qu'à transposer tes sentiments...."

Cette fois-ci ses mots le firent réaliser ce qu’il était entrain de faire et un frisson de dégoût le parcouru.

- T’aimer… ? Je ne peux pas t’aimer. Coucher avec toi… ? Tu dois avoir peu d’estime envers toi-même pour préférer être utilisé comme un objet. Une chose que tu n’a pas comprit : l’amour se résume pas à ça, et je ne suis pas du genre à traiter les gens comme des objets... Même toi, je suis désolé mais je ne peux pas.

Surtout pas après ça en plus… Ca serait si facile de se laisser faire, de fermer les yeux… Onizuka comme ayant été vexé se retira vite fais, laissant Marc dans le froid total. Il n’irait pas jusqu’à dire qu’il regrettait cette étreinte mais quand même !
Mais Oni (première utilisation de son surnom ^^) semblait s’être ressaisit plus vite que lui. Partir… ? Sérieux ?

- … attends, je peux pas me lever.

Bah quoi ? Il en pouvait plus marcher avec ce mal au c*l alors au moins qu’Onizuka assume et vienne l’aider… s’aidant de son épaule, il se laissa hisser dans sa voiture. Apprendre de cette manière que tout était impossible avec Kaoru l’avait plus que refroidit… Même son viol passait moindre maintenant. Il en l’avait pas pardonné, c’est juste que pour le moment c’était moindre… Qu’Onizuka en profite, ça ne durerait surement pas.
Arrivé chez lui il se dirigea comme il put vers le frigo et sorti toute les bières qu’il avait…s’effondrant sur le canapé, il se mit à boire. Il n’y avait que ça à faire... ; tout oublier… Tiens il se demandait comment il ferait pour le garage sans Kaoru. Bah oui s’il était enceint il faudrait le faire remplacer…

- Tiens toi, boit avec moi j’ai pas envie d’être seul...

Qu’il ne parte pas, Marc avait besoin de réconfort là. Non pas de sexe, juste de quelqu’un pour l’épauler. Remarque il se bourrait facilement… Au bout de la deuxième il se retrouvait déjà allongé la tête sur les genoux d’Oni à songer comment réorganiser sa vie… Bon sang mais à quoi il tournait maintenant ?


[Je te laisse créer un appart pour marc ^^]