Chateau de Vergil (parce qu'il le vaut bien)

Dante avait cédé comme toujours. Il finissait toujours par céder, alors pourquoi continuer à se débattre ainsi ? A se mentir à soit même ? Enfin Vergil ne cherchait pas à comprendre l'illogisme de son frère. Cela l'arrangeait en soit. Qu'il cède comme le fait qu'il résiste toujours. Il aimait les deux. Il aimait qu'il y ai un minimum de résistance afin qu'il puisse utiliser de son pouvoir, de son intelligence et montrer qu'il dominait; mais avec son frère, si celui-ci ne cédait pas, il n'était pas dit du tout que ce soit lui qui domine. Ils étaient à égalité. Mais Dante cédait, alors il continuait à dominer et tout allait bien.

"Bien sur qu'il y a de l'alccol."

Vergil savait qu'il n'avait pas besoin de répondre mais l'avait quand même fait. Il était de bonne humeur après tout, il ramenait son fère chez lui. Vergil conduit donc évidemment un peu plus vite que la vitesse autorisé et le un peu était un euphémisme. Mais que voulez vous on ne se refaisait pas. Il avait une grosse et puissante voiture, fallait bien qu'il l'utilise avec ses capacités ou alors ca ne servait à rien d'en acheter une comme ca. Il traversa ainsi la ville et un peu à l'exterieur arrivèrent devant une immense maison. C'était celle de Vergil. Le seme gara donc sa voiture dans la grande allée qui menait à sa maison puis sortit de celle-ci.

"Suis moi."

Ils marchèrent donc jusqu'à la porte d'entrée. Une fois à l'interieur, se trouvait à leur coté le vestiaire.

"Tu ferais mieux d'aller te sécher et te changer. Pour indication la salle de bain est en haut, deuxième porte à droite et mes vêtements t'iront sans aucun doute. Ma chambre se trouve en haut, dernière porte au fond. Tu veux boire ou manger quelque chose en particulier ?"

Vergil apprécia la remarque. Petit chez soi, oui c'était exactement la bonne définiton pour l'immense baraque qui trônait devant eux. Ils entrèrent à l'interieur et Vergil donna machinalement toute les instructions à son frère. Que voulez vous déformation professionel. Enfin non il avait toujours été ordonné lui. Contrairement à Dante qui était en plus d'être totalement désordoné, était un fainéant de première catégorie. Bref le contraire de son jumeau sur ce point-ci.

Vergil le laissa donc partir puis il enleva à son tour ses bottes et sa veste qu'il accrocha sur le porte manteau. Il se rendit automatiquement dans la cuisine et quelques instants après l'uke qui lui servait de bonne à tout faire l'y rejoignit. Il donna des instructions nettes et précises. Faire à manger car lui avait faim, mais il lui demanda de préparer un repas pour deux. Dante mangerait sûrement en voyant un repas prêt. Puis il lui demanda de leur servir un apéritif. Une bière pour son frère et un verre de cognac pour lui, comme toujours. Il y devait aussi s'occuper de ses vêtements et de ceux de son frère. Les instructions données, il entendit son frère l'appellé. Il apparut donc au détour d'une porte.

"Je suis là Dante."

Il adorait que son fèrre le cherche et l'appelle ainsi. Cela prouvait bien que mal grès tout ses dires, Dante était attaché à son double. Il apprécia à sa juste valeur la nouvelle tenue de son fèrre qui laissait ainsi son torse parfaitment exposé aux regards du seme. Il conduisit donc son frère dans le salon.

"Je vais me changer et j'arrive."

Parce que lui aussi était trempé. Et sans un mot de plus il tourna les talons.

Pendant ce temps Nagasaki avait repérer un très grand château, puis il eut un déclic, il se dit que c’était ici qu’il allait faire sa prochaine opération de vol, voir su ces bourgs pouvaient l’arrêter. Et le défit de rencontrer un seme et de le repousser et de le semer en cour de route rien que cette penser lui fit chaud au cœur. De plus il avait entendu parler, qu’en ces lieux se trouvait un objet de très grande valeur. Et il allait mettre ses talent de voleur à profit pour lui, bien sur. Il eût vent des habitude de certaine personnes. Puis vin le soir. Il se décida d’y aller. Il pu rentrer discrètement à l’intérieur et s’était accrocher au plafond et avancer tranquillement sans que personne ne doute de sa présence Il arriva enfin dans un lieu si beau, qu’il descendit de son perchoir. Il y pénétra sans bruit avec toute la finesse d’un chat. Discrètement il entrouvrit une porte et vit un personne sue un canapé avec les yeux fermés, il s’en approcha doucement et vit le sujet de sa visite et fit le moindre bruit pour capturer l’objet, il passa devant la personne endormis et arriva à destination, mais il fut repéré. Il nu pas le temps de faire demi tour que quelque un c’était jeter sur lui pour l’empêcher de repartir avec le butin. Qui lui appartenait et non à ce voleur.

*Merde pourquoi ai-je été tenté par le diable me voila dans une bien belle situattion à présent.*

Nagasaki fût tellement surpris qu’il poussa un petit cris de surprise avant de tomber a terre sous cet homme.


« Aï, aï, vous faite mal, lâcher moi. »

Vergil s'en alla donc à l'étage pour se changer à son tour. Il prit un pantalon en cuir qui mettrait parfaitement son corps en valeur et un T-shirt assorti bien entendu. Il devait toujours avoir l'air impeccable. Ses vêtements ainsi choisit il se rendit à la salle de bain pour se sêcher. Lui n'oublia pas les cheveux, il n'était pas tête en l'air comme son fère. Puis cela fait il s'habilla et se recoiffa afin d'avoir l'air vraiment impeccable.

Vergil descendit lentement les escaliers lorsqu'il entendit du bruit qu'il n'aurait pas du entendre et une voix qu'il ne reconnaissait pas. Aussitôt il prit un katana qui était accroché au mur à ses côtés, c'était quand même pratique d'avoir en collection des armes blanches et des armes à feu. Continuant à descendre les escaliers précipitamment mais sans faire de bruit pour ne pas se faire repérer. Il prit un automatique encore sur son passage qu'il coinca dans son pantalon et entra dans le salon où était son frère en théorie et où il avait entendu les bruits insolites. Et sous son frère se trouvait un inconnu. Il fondit sur eux et mis sa lame au niveau du coup du pauvre uke et un pied sur son épaule pour qu'il reste à terre.

"Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu quelqu'un entreprendre une action aussi stupide."

Un petit sourire sadique se dessinait sur les lèvres du seme. Voilà qui lui promettait des heures d'amusement et un peu de répis pour sa bonne à tout faire. Enfin c'était juste que l'homme n'aurait plus à donner de sa personne. Il faudrait par contre qu'il nettoie les taches de sang qui ne manquerait pas de couler.

"Lâchez moi, vous me faîtes mal, et qu'entendez-vous par premier arrivé, premier servie d'abord? De plus vous êtes a deux contre moi, ce n'est pas loyale."

Se plaignit Nagasaki, qui essaya de se débattre de toutes ces forces sans succès.

Nagasaki sentait les fourmis de douleur lui parcourir les bras. Il fît une grimace montrant sa douleur.

« Lâchez-moi.»

Avait-il répété mais plus agressivement cette fois-ci, presque comme un ordre. Il avait vus dans le regard fou, de celui qui était sur lui, et en trembla de tous ses membres.

il repartis dans ses pensées et ayant un moment d’absence, ce qui sauta aux yeux des deux hommes.

*C’est bien ma veine, comment me sortir de ce pétrin, et dans quoi me sui-je fourré ?*

Nagasaki réussi a avoir très peu de liberté, a force de se déchaîner a se tortiller pour échapper à ses bourreaux, il réussi tout de même à mètre un bon coût de pied, à un endroit sensible de celui qui était sur lu,i mais fût encore stopper par l’autre.

Quand l’autre se releva il était dans une colère noir, et Nagasaki sentit que ça allait chauffer, alors il se prépara au pire.

Son frère semblait très fier de lui. Il n'avait fait qu'attrapper un uke. Enfin peut être que lui aussi pensait à des choses pas très catholique diront nous. Non pas peut être il pensait.

"Oui elle me plait pas mal celle-là."

Il avait répondu tout cela très calmement. C'est alors que le petit voleur se mit à protester. Loyal. Il parlait de loyauté à Vergil Sparda. Le sourire du seme s'aggrandit pour le coup. Mais c'était toujours un sourire sadique, cruel. La loyauté... Non mais franchement. il y avait de quoi se tordre de rire. Et encore plus venant de la part d'un voleur. Si Vergil n'avait pas été Vergil il aurait sans doute été écroulé de rire. Mais la situation exigait un minimum de concentration donc il l'était. Le petit continua à se débattre. Il ordonna même qu'on le lache. Il n'y avait pas à dire il ne manquait vraiment pas d'humour. Et enfin il réussi à mettre son frère un instant hors jeu, mais Sparda veillait au grain et l'arrêta avec son katana. Il fit reculer le pauvre petit uke qui avait vraiment eu l'une des plus mauvaise idée de sa vie jusqu'au mur. Là il laissa pointer son katana sur sa gorge.

"Tu bouges je t'égorge sans autre forme de procès."

Et comme pour appuyer ses dires il fit perler une goutte de sang. Son visage avait perdu son ton souriant. Pas qu'il n'appréciait pas la situation. Mais Vergil n'était pas le genre d'homme a sourire à tour de bras.

"Alors on va commencer par le commencement. Es tu juste complètement stupide ou quelqu'un t'a-t-il envoyé ici ?"

Nagasaki vit l'un des deux seme le détailler de haut en bas, pas lui mais la perle de sang qui coulait, et qui redessinait une partie de son corps qu'elle occupait. Quand il s’en aperçût Nagasaki rougit et effaça cette goûte d’un geste de la main ce qui agaça l’autre.

« Personne ne m’envoie, je suis mon propre chef. J’ai seulement voulu tester mes compétences de voleur chez vous, mais je suis mal tombé, deux mercenaires et deux semes en plus de ça. C’est la cerise sur le gâteau. De plus, pour moi, c’était un défi intéressant à relever. »

Avait-il dit en regardant alternativement l’un et l’autre des deux semes. Il porta son intention sur l’home au katana, puis au même moment il avait repérer une petite fenêtre par laquelle il espérait s’échapper et en même temps l’objet qu’il était venu cherché proche de celle-ci, mais ne s’attarda pas. Il planta son regard dans celui de Vergil, et saisie avec l’une de ses main la lame du sabre qui le menaçait, malgré le fait qu’elle commençait a saignait par sa lame tranchante. Il réussi a arracher le sabre de son propriétaire et le balança au fond de la pièce. Ce qui surpris les deux hommes, et baissèrent leurs attentions.

Nagasaki en profita pour se précipiter vers la fenêtre convoitée, pointa une main qui possédait un étrange gant devant la fenêtre et les bouts de doigts de celui-ci s’étirèrent pour prendre la forme de cinq fils différents se précipiter vers la fenêtre. Ils brisèrent celle-ci et s’entrecroisaient pour ne former qu’un seul et unique fil très solide (du style spider-man). Il s s’accrochèrent au loin ? Nagasaki en profita pour resserrer sa poigne sur ce fil, et fût tirer vers l’extérieur grâce à lui.

Il fît le signe de salutation au commandant avec sa main en sang et dît d’une voix ironique

« Au déplaisir de vous revoir, et merci pour ça » dit-il en agitant l’objet de sa visite chez les mercenaires.

Ce qui énerva les deux hommes. Epoustouflé de son évasion « réussite ».


Seulement Nagasaki ne se doutait pas un seul instant, qu à l’intérieur de ce poignard, ce trouvait en réalité un traceur, qui permettait de retrouver sa trace


(direction les appartements)

Il était en effet d'accord avec son fère. Il devait sans aucun doute être stupide. Quand à l'ironie clairement présente dans les paroles de son frère, il aurait pu s'étonner que celui-ci sache ce que c'est et en plus sache l'utiliser mais c'eut été ne pas connaitre son frère or il le connaissait plus que bien, son autre moitié. Mais il ne releva pas la remarque. Ce n'était pas des sarcasmes qui allaient destabiliser et atteindre de "Grand Vergil" et surtout pas celles de Dante. L'uke confirmait lui même, il était stupide. Un défi, bah pour un défi ça en était un et il l'avait perdu haut la main, ça c'était sur. Enfin le combat était déjà joué d'avance mais qu'importe cela laisserait le plaisir à Vergil de s'amuser. Il n'allait pas dire non, non plus.

Mais c'est alors que le petit se mit à être encore plus interessant en saisissant lui même le sabre et en le prenant des mains du seme. Lorsque Vergil s'en rendit compte il se saisit évidement de son automatique et visa sa proie. Pas pour le tuer, non, de toute manière il savait qu'il ne lui échaperait pas. Un voleur était un voleur il repartait toujours avec son butin et celui-ci ne fit pas exception. Mais évidement hors de question de montré à Dante qu'il maitrisait aussi bien la situation. Il tira donc plusieurs coup qui malheureusmeent n'atteignirent pas leur cible. Il n'aurait pas été contre l'arrêter de suite ce fuyard.

C'est donc la mine mécontente, le visage dur, et le regard clairement courroucé qu'il se tourna vers son frère.

"Je crois que nous allons devoir écourter notre soirée. J'ai une recherche à faire. Je te raccompagne ?"

Vergil vit son frère monter à l'étage, apparement résigné, enfin de toute manière il n'avait pas le choix. C'était ainsi et pas autrement avec Vergil. Mais son jumeau le savait et il avait l'intelligence de ne pas protester à chaque fois. Le seme alla prévenir sa bonne à tout faire que le repas ne serait que pour un finalement puis il revint là où il avait laissé son frère et l'attendit.

Lui prêter une bécane ? Il n'était pas sur que ce soit une excellente idée. Dante disait qu'il la lui rendrait mais sachant son amour des bolides et connaissaint ses propres engins, il doutait que Dante se contente de simplement la lui emprunter. Ce n'était pas le genre de son double d'obéir sagement. Enfin cela lui ferait une bonne excuse pour aller le voir chez lui. Pour le revoir tout court.

"Suis moi."

Il le mena donc à son garage qui était plus qu'impressionant. Et oui monsieur n'allait pas se contenter d'une seule voiture. Il aimait changer. Il alla donc prendre une clé sur le panneau et amena Dante devant la moto qu'il acceptait de lui prêter.

"Elle s'appelle revient."

Il donna les clés à son frère et alla enclencher le système automatique et la porte s'ouvrit.

Dante suivit docilement son frère. Ils arrivèrent dans un immense garage, et il se figea sur place pendant quelques secondes. L'avantage d'une grande maison, c'est grand garage. Peut-être y avait-il des bons points à vivre dans un endroit pareil en fin de compte... Il y avait plusieurs voitures, et notamment, plusieurs motos. Toutes aussi belles les unes que les autres. On ne pouvait pas dire que son frère n'avait pas de goût.

Sa contemplation fut arrêtée quand Vergil lui donne une clé. Il acceptait de la lui prêter? Quelle générosité aujourd'hui... Enfin, il n'allait pas cracher dans la soupe non plus, et lui fit un de ses grands sourires de gamin. Arrivé devant l'engin sur lequel il allait monter, il caressa le siège en cuir, laissant ses doigts parcourir le guidon, émerveillé comme un enfant de quatre ans devant son cadeau de Noël. Aux paroles de son frère, il releva la tête, les sourcils légèrement froncés. Revient? Message secret? Ou bien elle s'appelait vraiment comme ça? Non c'était stupide de donner un nom pareil... Et puis revenir quand?

"Si tu le dis..."

Il attrapa un casque au passage, avant de monter sur la bécane, insérant la clé pour faire ronronner le moteur. Dante commença à se diriger vers la sortie, mais s'arrêta à quelques mètres de son frère, et relevant la visière, il attrapa le col de son tee-shirt pour déposer rapidement ses lèvres sur les siennes, lui faisant un sourire sincère.

"A dans cinq ans.. 'grand frère'."

Lui faisant un clin d'oeil, il fit retomber la visière et redémarra en trombe, se dirigeant vers l'infini... et l'au-delà.

>> Rues

[Appartement de Nagasaki] =>

Une fois l'uke assomé, il lui lia les mains avec ce qui lui tomba sous la main. Enfin ce n'était qu'une précaution de plus, il ne doutait pas que son fardeau ne se réveillerait pas avant un moment. Le balançant sans ménagement sur son épaule tel un sac à patate, il prit les affaires qu'il avait laissé et quitta l'appartement. Placant le petit à l'arrière de la voiture, il vérouilla toutes les portes et roula en direction de sa demeure.

Arrivé là bas, il se gara dans l'allée et sortit son fardeau vivant. Le reste restait pour l'instant dans la voiture. Il s'en occuperait plus tard. Descendant sa nouvelle bonniche à la cave, dans une salle conçut spécialement pour retenir prisonnier ceux qu'il voulait à sa porté, il l'attacha sur une table, inclinée, ce qui faisait que l'uke était presque en position debout mais pas totalement. Comme il l'avait prévu, l'uke était resté inconscient tout le long du trajet. Bien la suite serait pour demain.

Vergil laissa don le nouvel uke de la maison, seul, attaché dans sa pièce sombre et fermée. En remontant, il rencontra son autre bonniche et sourit. Il y avait une autre personne à punir pour avoir laissé un intrus le voler.

>>Les rues, pub

Dante avait fini par quitter Nero, le laissant vaquer à ses occupations. Il ne savait pas s'il allait le revoir un jour ou pas, et puis, il était plus l'ami de Yuki que le sien réellement. Rentré chez lui, il eut la surprise de découvrir un joyeux message concernant la mort d'un de ses proches. Proches? Il n'en avait pas, alors qui cela pouvait-il être? Evidemment, son frère ne comptait pas dans le lot. Comment pourrait-il mourir franchement? En allant chez ce voleur? Ce serait totalement dérisoire. Se changeant, avec un taux d'alcool bien trop supérieur à la moyenne, il prit sa propre moto pour aller à la morgue. Franchement, ils avaient vraiment besoin de quelqu'un pour vérifier l'identité d'une personne x? Mais arrivé là-bas, il eut la surprise de voir que c'était Yuki. Ca lui était sortit de la tête, mais il était vrai qu'il n'était pas rentré. Il avait été enlevé, puis tué, et laissé quelque part. Les psychopathes étaient réellement parmi nous. Quoi qu'il en soit, le mercenaire trouvait cela de très mauvais goût, et était donc parti se saouler, seul, dans un bar quelconque.

Et puis, l'idée lui vint. Si cela pouvait s'appeler une bonne idée, il n'en savait trop rien, mais il remonta sur sa bécane pour aller chez son très cher frère. D'où cette envie l'avait pris? L'alcool, sûrement. Il en avait juste envie. Aller l'embêter, le charrier... Ce qu'il n'avait plus fait depuis des années. Et puis, bien qu'il ne voulait pas l'admettre, la mort de l'uke le troublait. Et il n'avait certainement pas envie de rester seul à ressasser tout cela, et ne connaissant personne d'autre que Vergil, ou presque, il parut logique d'aller squatter chez lui. De toute manière, ce n'était pas son jumeau qui allait se plaindre d'une petite visite, non? En plus, c'était parfait car sa moto était toujours chez lui, et il n'aurait pas à lui rendre!

Satisfait de son petit plan, bien que non préparé, il se gara devant le portail électrique. La maison n'avait pas rétrécit, et ne s'était pas agrandit. Normal. Pourquoi avait-il des pensées si stupides? Il avait dû prendre un verre de trop... Prenant une grande inspiration, il descendit et s'approcha du portail fermé. Bon, et quoi maintenant? Il n'avait absolument pas envie de sonner maintenant. Que faire... Aux grands maux les grands remèdes! Il entra par effraction, grimpant le portail, et se fichant bien des caméras de surveillance. Pas ça qui allait arrêter le grand Dante Sparda tout de même!

Sautant de l'autre côté, il s'épousseta et regarda les alentours. Une longue allée. Punaise, était-ce réellement si grand que ça la dernière fois qu'il était venu? Mais cela remontait à quelques heures, donc rien ne pouvait avoir changé en si peu de temps. Marchant d'un bon entrain, il s'approcha de la demeure et vit une fenêtre ouverte. Parfait, parfait. Souriant de toutes ses dents, il entra à l'intérieur par la fenêtre, pour se retrouver de nouveau dans le salon. Et quoi maintenant? Se dirigeant vers le canapé, Dante s'affala dedans. Très confortable tout ça.

Nagasaki se réveilla doucement et se retrouva attaché reconnaissant tout aussi bien le style qui décorait la maison, il ouvrit petit à petit les yeux histoire de s’habituer à l’éclairage de la pièce et les ouvra complètement, il se demanda ou il était encore tombé et retrouva sur la fameuse table incliné. Il senti encore des douleur a la tête

« Il a frapper fort le con »

Il repris petit a petit ses esprits, il vit qu’il était attacher par une corde et soupira en voyant ça. Il vit qu’il portait toujours son bracelet, il arriva avec peine a appuyer sur un minuscule petit bouton qui fit sortir une petite lame assez résistante pour couper ce genre de liens. Il coupa donc ce qui lui permis de vitre retrouver la liberté enfin façon de parler, il chercha rapidement un moyen de sortir et n’en trouva pas, la seul solution était de passer par la porte qui était verrouillée pour le moment. Il scruta la pièce l’analysant tous en se massant les poigné.

*Mon petit Naga, nos compétence de voleur vont nous sortir d’ici, sauf si on se retrouve pas coincé après mais bon*

Il continua d’observer un long moment la pièce, puis tous a coup une idée lui vient faire tilt. Il grimpa sur le mur se callant contre le plafond pour retomber face a la porte quand quelqu’un arrivera, il tomberai juste derrière lui discrètement comme il avait l’habitude de le faire et se ferai la malle, mai il faudrait qu’il n’y es personne derrière lui et c’est ce qu’il redoutait la dernière foi il y avait son frère et il n’était pas commode non plus lui, tan pis faudra qu’il tente sa chance dès que la porte s’ouvrirait. Il attendrai le temps qu’il faudra, mais il n’obéirai pas a ce seme, il ferai tout pour. Il trouverai bien des endroit ou il ne le verrai caché pendant plusieurs jour croyant que celui-ci c’était échapper et l’oublier, il pourrai partir ensuite tranquillement.Maintenant il n’avait plus qu’à attendre que quelqu’un ce décide a ouvrir cette foutue porte. Il sera déjà en état d’alerte voyant que son prisonnier n’était plus sur la table comme il espérait le retrouver il en profiterai alors pur tenter de s’échapper.

« bon quand est-ce qu’il se décide a ouvrir cette foutue porte ? »

Alors qu'il venait de faire comprendre à sa bonniche que celle-ci allait devoir se plier à ses volontés, il ne lui avait pas encore expliquer qu'il allait être maltraité en guise de punition, d'ailleurs il ne lui avait pas encore dit qu'il allait être punit, il entendit un bruit. Cela ne pouvait pas être le fardeau qu'il avait ramené chez lui, la salle d'en bas était parfaitement isolé. Il ne tenait pas à ce que l'on entende les cris de douleur de ses victimes même si sa bonniche pour y être passé savait parfaitement ce qui pouvait se passer en bas. Et vu comme la pièce était fermée hermétiquement, il n'y avait qu'une porte, pas de fenetre, le voleur n'avait aucune chance de s'en sortir. Alors qui ? Se tournant vers sa bonniche, il la fixa d'un air mécontent.

"- J'ai un autre visiteur ?
- Non."

L'homme ne semblait guère rassuré de la tournure que prenait les évènements et il avait parfaitement raison. Si tout le monde pouvait entrer chez Vergil comme dans un moulin, il y avait une personne qui allait en pâtir. Le seme se dirigea vers le salon pour apercevoir son frère confortablement installé dans son canapé. Ca c'était une surprise et de taille.

"Et bien je ne pensais pas te revoir de si tôt. Quel bon vent te ramènes ici ?"

Vergil s'assit à côté de son frère et fit signe à sa bonne de rester au pas de la porte bien visible.

Vergil s'amusait toujours à faire sursauter son frère cette fois-ci encore n'avait pas manqué. Sans parler du regard désemparé qu'il lui lançait. Puis enfin il eut droit à une réponse même si ça n'en n'était pas une. Ce qui était sur c'était qu'il s'était passé quelque chose depuis tout à l'heure et bien entendu Vergil allait tout faire pour savoir quoi. Mais le fait que son frère soit revenu de lui même était une excellente chose. Cependant il semblait comme vouloir le fuir. Vraiment, son frère était toujours aussi illogique. Mais c'était Dante et c'était ce qui faisait son charme si tenter que Vergil puisse penser consciemment une telle chose. En attendant donc que son très cher frère revienne, Vergil reporta son regard sur la boniche. Le punir ou pas le punir, telle était la question. Et bien tout dépendrait de Dante. S'il le satisfaisiat ou non.

Puis enfin Dante revint. Ca gaze ? Est que ça pouvait aller en sachant que deux personnes à quelques heures d'intervalles étaient entré chez lui par effraction ? Non ça ne pouvait pas aller dans ces conditions. Mais la présence de son frère et l'idée qu'il avait fait comprendre à l'autre intrus ce qu'il en coûtait de s'en prendreà lui ou ses possessions avait le don d'atténuer ce mécontentement.

"Tout est rentré en ordre."

Vergil restait volontairement flou. Puis prenant son frère par le menton, il l'embrassa sans crier gare, profitant de l'effet de surprise pour aller au delà des lèvres. Mais très vite il interrompu le baiser.

"Tu as bu et pas qu'un peu."

Ce qui devait expliquer ses réactions lentes et aussi sans doute, cela devait être une des raisons pour laquelle il était revenu. L'alcool avait quand même du bon. D'un geste, Vergil fit comprendre à sa bonniche que lui aussi voulait à boire et bientôt deux verres, une bouteille de whisky et un bac à glaçon apparurent sur la table basse. Vergil se servit et fit tourner ses glaçons dans le verre.

"Peut être souhaites tu poursuivre cette voie avec ton frère."

Vouloir saouler son frère pour prendre possession de son corps ? Il ne pouvait nier qu'il y avait penser et pas qu'un peu, même si vu l'état de Dante, le saouler plus n'était pas vraiment necessaire. Mais il voulait aussi le faire parler. C'était qu'il tenait à savoir ce qui s'était passé.

"Vu comme tu as répondu à mon baiser, je ne suis pas sûr qu'abuser soit le terme exact."

C'était que Dante avait vraiment l'air d'avoir apprécier le geste. Ce qui n'était guère étonnant, Vergil savait ce qu'il en était entre son fère et lui. Et ce n'était pas parce que Dante essayait de jouer son rebel comme toujours qu'il ne l'attirait pas. Enfin finalement Dante se servit tout de même. Il semblait qu'il ai toujours un si grand penchant pour l'alcool. Enfin c'était un gout que les deux frères partageaient même si Vergil était plus tourné vers les alcools fort et moins vers les alcools bas de gamme tel que la bière. Le seme avala plus lentement son verre, appréciant le gout sec du liquide.

"Ca ne me dérange pas."

Et bien au contraire, il avait escompté qu'il dorme ici. Il fallait qu'il le refasse sien. Cette idée que son frère puisse avoir un uke l'énervait au plus haut point. C'était son frère, il était à lui.

"Alors vas tu te décider à me dire la raison d'un retour si rapide ou dois je te faire parler ?"

"Si tu as le droit. C'est juste que tu concrétises cette envie qui parait quelque peu surprenant."

Parce que l'envie, Vergil savait qu'il l'avait. Tout comme lui Vergil avait envie de voir Dante et pas que pour le posséder. Pas que... Mais quand même. Enfin il n'allait pas se plaindre si son frère voulait le voir et l'acceptait enfin, non ? Ben si ou plutôt ça clochait. Dante était parti il y a quelques heures et il avait dit à cinq ans. Alors qu'il revienne le même soir chez lui, ça paraissait louche, très louche. Il avait du se passer quelque chose, forcément. Et Vergil était bien déterminé à savoir quoi. Mais il fut distrait de ses pensées par son frère qui vnin poser sa tête contre son épaule.

Notre sadique était... oui, non, peut être... satisfait ? Non c'était trop impersonel. Heureux ? Non ça avait une connotation trop gnangnante. Content ? Oui voilà il était content. Il se sentait... bref il était content. Et maintenant il répondait quoi ? En soit lui aussi était content de le revoir. Mais de là à l'avouer. Bah il pouvait bien, non, c'était son frère. Et puis ça ferait plaisir à Dante non ? Et puis il pourrait laisser tomber la raison de cette venue aussi. L'important c'était qu'il soit présent, non ? Ah ! Mon Dieu ! Il se mettait à penser comme ces ukes faibles. Vite il fallait qu'il se reprenne. Hors de question de devenir aussi faible qu'eux. Pas lui le grand Vergil Sparda, lui qui avait tellement de pouvoir. La faiblesse c'était pour les autres pas pour lui.

"Je n'aime pas qu'on me mente Dante. Et je sais quand tu me mens. Alors dis moi à quoi je dois ton retour si rapide. Quand on s'est quitté tout à l'heure tu ne semblais pas si pressé que ça de me revoir."