une rencontre des plus étrange ( ayoros )

Invité

Ashoura , toujours inconscient ne se douta pas une seule seconde de se qui pouvait se passer , jamais il aurait pu imaginer qu'a présent , il était seul , que tout ceux qu'il connaissait n'existaient plus , que son père était décédé , c'était impossible pour lui .

L'homme qui l'avait enlevé avait contacté les dieux , pour signalé ce qu'il avait fait , les dieux dans un premier lieu , leur avait répondu qu'il n'avait pas besoin de cadeau , qu'il n'avait qu'a garder le prisonnier pour eux , mais pour ces hommes il en était hors de question , il était contaminé d'une certaine façon , même si il était innocent , il avait vécu avec ces traîtres .

Mais les "justiciers" insistaient tellement que finalement , un dieu pour avoir la paix , était descendu des cieux , afin de venir récupérer le jeune uke . Du a l'inconscience du jeune homme , il du le porter , ce dieu qui était fainéant de nature , pestait , râlait sur le fait qu'il devait travailler et en plus de le porter .

Arrivé au parc , le dieu soupirait encore et encore , a qui allait t-il donner ce uke , si il avait déjà pas tant de chose a s'occuper peut être s'en aurait il occupé personnellement mais la il devait trouver un sème pour lui .

Le dieu decida de jouer avec le destin , il decida que le premier sème qu'il voyait , il lui donnerait ashoura . Après quelques mètres parcouru et surtout un temps certain qui s'était écoulé , le dieu fatigué de tout cette histoire mais surtout énormément pressé par le temps , aperçut enfin quelqu'un .

" he toi .... voila ton uke ...fait en ce que tu veux , moi j'ai pas le temps d'attendre "

Et sans dire rien de plus , sans attendre une réponse du sème , le dieu s'éclipsa rapidement , laissant un ashoura toujours inconscient sur un banc du parc .

Invité

« Enfin fini ! Je suis libre !! »

C’est sur cette phrase dite à haute voix dans ma maison, vide d’autre présence que la mienne, que je lève les yeux de mon ordinateur.

Je suis un peu perdu, comme chaque fois que je fini un jeu, j’ai l’impression que mon cerveau est parti dans le disque dur de mon ordi.

En bref, je suis vidé, je n’ais que l’instinct je me mettre au lit où je m’endort pour presque 20 heures d’affilées.

Je m’étire, je suis enfin reposé et surtout de retour au pays de vivant. Mon estomac se rappelle à mon souvenir, aussi après une douche des plus vivifiante, je me dirige vers ma cuisine où je déjeune encore une fois seul.

Le retour à la réalité n’est pas fait pour me plaire, je suis seul et je me demande pour centième fois depuis le début de l’année si les dieux ne m’ont pas oublié.

C’est vrai quoi, j’ai une bonne situation, je suis bien fait de ma personne, j’arrive dans l’âge de la maturité et là j’ai l’impression que je suis maudit par les dieux qui ne m’ont toujours pas trouvé de compagnon.

Apres avoir remâché pour rien mon envie de compagnie, je finis de déjeuner, je range la cuisine et sur un coup de tête me décide pour une promenade à pied, après tout l’air frais dissiperas peut être mes idées noires.

La tête dans les nuages, ce qui est plutôt courrant chez moi, je laisse mes pieds décider de ma destination. Et me voilà au parc.

Je suis surpris de me retrouvé là, ce n’est pas un coin que je fréquente souvent, trop de bruit et de mouvement, pas moyen de ce concentrer pour réfléchir.

Comme je passe la grille un gars apparaît devant moi.

« Bonjour ! »

Et j’esquisse un pas de coté pour l’éviter, il ne m’a même pas répondu, du coin de l’œil je vois bien qu’il me détaille, du coup je fronce les sourcils.

« Non ! Mais ça va pas la tête ! »

Il m’a attrapé par le poignet et me tire, enfin me tire je dirais plutôt me fait voler jusqu'à un banc.

« C’est ton uke ! fais en ce que tu veux , moi j'ai pas le temps d'attendre. Au fait c’est moi le dieu qui t’a fait autant attendre ! »

Et il disparaît comme il était apparut. Si il n’avait pas fait son tour de passe-passe je ne sais pas si je l’aurais cru !

D’ailleurs est ce que je le croyais ? Après réflexion oui je le crois, donc le gars couché là est mon compagnon.

Je prend ma respiration et le cœur battant je le regarde enfin. Il dort comme un bienheureux et il ne semble pas s’être rendu compte de quoi que se soit. Donc se seras à moi de me présenter quand il ouvrira les yeux.

Je m’assois à coté de lui et le détaille un peu, le peu que j’en vois est mignon, je me demande d’où il vient il porte de drôle de vêtement, il faudra peut être lui refaire une garde robe il n’y pas de valise ou malle à proximité de lui.

Le temps passe mais je ne le vois pas, je suis perdu dans mes pensées et la contemplation de mon uke, j’en reviens pas qu’il soit enfin là.

* Tiens il bouge un peu, attention mon tout beau de ne pas tomber, oh, oh j’ai l’impression que le réveil n’est pas loin.*

Comme il ouvre les yeux, je le met face à moi pour avoir le plaisir de voir son visage quand je lui dirais.

La brume d’un long sommeil se dissipe de son regard que je capte enfin. Son attention est sur moi.

« Bonjour jeune homme, comment tu t’appelles ? Je me présente Ayoros De Jamir, et je suis ton sémé ! »

Invité

“mhummmm”

Doucement Ashoura revenait dans le monde de la réalité , lorsqu'il ouvrit les yeux , ce qu'il voyait le déconcerta un peu , il n'était pas chez lui , ce qu'il voyait autour de lui n'avait rien a voir avec son environnement habituel , ou était son village , ou était ses proches .

Sa tête encore un peu dans le brouillard n'arrivait pas a analyser ce qui l'entourait a un tel point qu'il n'avait pas fait attention a l'homme assis a coté de lui , jusqu'à ce que celui ci le déplace pour qu'il puisse lui faire face , ashoura le regarda sans vraiment le voir , s'habituant tout doucement a ce qu'il l'entoure .

Il n'en revenait pas de ce que lui disait cet homme , comme ça d'un coup , qu'il était son sème , mais cela voulait dire quoi , d'où il venait , ce terme ne voulait rien dire , il n'entrait pas en ligne de compte , son père lui avait appris , enfin quand il daignait s'occuper de lui , qu'il y avait une personne importante et les autres ne faisait que lui obéir , un point c'est tout , pour ça que son père avait autant de concubin .

Penchant la tête sur le coté , encore sous le choc de cet échange mais aussi déstabilisé du fait qu'il était en terrain inconnu , il regarda l'homme qui était en face de lui avec un sourire , car malgré son état , sa nature revenait au galop , il ne pouvait pas s'empêcher d'être agréable avec les autres et cela en n'importe quels circonstances .

“bonjour monsieur De Jamir , je me présente , je suis Ashoura Kabhir , je suis ravie de vous rencontrer mais je voudrais savoir pourquoi vous dites que vous êtes mon sème , ça ne ce fait plus ça , et puis je suis désolé mais je dois retourner chez moi mon père doit s'inquiéter de plus me voir .”

Enfin ça c'est ce qu'il disait mais il en était pas sure du fait que son père l'ignorais la plus part du temps si pas tout le temps .

Ashoura se permit de détailler Ayoros , qu'il trouvait très bien de sa personne , il fallait être honnête c'était un bel homme , et de plus il avait l'air très gentil ce qui ne gâcha rien même si il ne le connaissait pas , c'était plaisant a constater .

“je suis désolé de vous posez une telle question , mais où se trouve t-on , je ne connais pas cet endroit”

Invité

Je le regarde prendre pied dans la réalité, il est mignon mon uke.

*Mais qu’est qu’il dit ? Pas son sémé ? Parce que les sémé n’existe plus ? Oh ! Là il va falloir revoir tout ça jeune homme. *

Je l’écoute encore un moment. J’aime bien sa voix elle est douce et mélodieuse, mais il a vraiment un drôle d’accent.

Je lui souris pour essayer de le rassurer, puis je jète un coup d’œil aux alentours, comme la conversation qui va avoir lieu est assez intime, je n’ai pas envie d’avoir des oreilles indiscrètes.

« Bonjour Ashoura, en premier j’aimerais que tu m’appelles par mon prénom Ayoros, parce que même si je ne sais pas d’où tu viens, ici les ukes et les sémés existe toujours, et je te soutiens que je suis ton sémé. Est-ce que tu sais comment fonctionne la rencontre entre les deux parties ? Est-ce que chez toi on t’a appris qui décidait des unions ? »

Il a vraiment l’air perdu, il ne bouge pas et ouvre de grands yeux à chacune de mes questions.

Je me sens un peu bête comme ça, je suis avec mon compagnon et lui non pas d’être prêt à me suivre me demande où est son père.

« Je suis désolé mais je ne sais pas où est ton père et s’il s’inquiète de te voir rentrer ou pas. Par contre, je peux te dire que nous sommes dans une des plus grandes villes du pays, Oanka.
Et aussi te confirmer qu’un Dieu t’a bien donné à moi en me disant que tu étais mon compagnon. »

Il papillonne des yeux.

Je ne sais pas si c’est pour chasser ses larmes ou pour faire partir les restes de sommeil. Je l’observe. Depuis le début il est assez calme, j’espère que ça dureras, chacun de ses gestes est fait avec grâce, je suis entrain de tomber sous son charme.

Devant son silence je reprends :

« Je ne sais rien de toi ou de ta famille, il semblerait que le Dieu en charge de nous en avait assez et il m’a posé sur ce banc avec toi et a disparu. Le seul conseil qu’il dit et ce n’est même pas un conseil c’est : « fais en ce tu en veux ! Ça ne me regarde plus. ». Donc tu es à moi. »

Il ne bronche pas vraiment, il me regarde avec de la colère, de la peur et pour finir de la tristesse.

De le voir comme ça me chagrine, j’aimerais bien voir un sourire sur ses lèvres tendres. Aussi même si je ne suis pas vraiment sur de moi je lui propose.

« Tu sais, on pourrait peut être essayer de savoir ce qu’il est arrivé à ta famille. Tu connais bien le nom de ta ville ou de ton village ? Mais pour le moment je te propose de rester avec moi, on pourrait peut être voir pour des vêtements plus courrant chez nous ? Et après rentrer à la maison ou tu veux peut être manger au restaurant ?

Je ne bouge pas, je ne fais pas un geste, j’attends qu’il parle. Qu’il me donne ses envies et ses idées.

Invité

Il a vraiment quelque chose , son sourire est rassurant , il a quelque chose , le petit truc qui fait qu'on a l'impression de le connaître depuis des années si pas des siècles , c'est vraiment étrange comme impression , pas désagréable mais pas agréable , comme si on connaissait quelqu'un mais pas moyen de se souvenir d'où on le connaît .

Ashoura ne le quitta pas une seule seconde pendant qu'il lui parlait , même si ce qui l'entourait l'attirait énormément par la nouveauté , mais il trouvait que la moindre des politesse etait de prêter attention a son interlocuteur .

Le jeune homme ne comprenait rien de ce qu'il racontait , il ouvrait de grand yeux étonné a chaque mot qu'il disait .

* mais de quoi parles t il ....*

Il se posait énormément de question , mais elle fut mise de coté un instant , il répétait inlassablement le prénom de son vis a vis dans sa tete , Ayoros , c'etait comme un rêve , le nom d'un prince charmant , une idée qui lui amena un sourire au lèvre .

Ce fut toujours avec une certaine douceur et innocence qu'il s'adressa a lui .

“ mais .. je comprends pas ; comment vous pouvez dire cela , mon père m'a dit que cela n'existait plus et que c'est lui qui décidait des unions , mais de tout façon en règle générale , il les prenait comme concubin comme le voulait la tradition , il n'y avait pas de rencontre possible si lui de le décidais pas “

Ce qu'il lui disait etait reellement étrange pour le jeune uke , c'etait de chinois , a ce demander si il venait bien de la même planète , il jeta finalement un regard au alentour et constata quand même une différence flagrante , de la verdure au lieu du sable , même si il aimait son sable son coin désertique , il aimait ce qu'il voyait .

“mais ..je ne suis a personne , et puis les dieu n'existe plus , ils ont été détruit il y a longtemps “

Mais yeux sont grand ouverts d'étonnement , ou allait il chercher des idées pareil , il devait etre fou , il etait persuader que c'était lui qui allait etre pris pour un fou quand il raconterait tout ca au autre .

Ce qui se passe plaisait de moins en moins a ashoura , c'etait trop étranges , il voulait rentrer chez lui, retrouver sa famille , elle lui manquait énormément , d'un geste gracieux , il baissa la tete et ferma les yeux , il voulait se sortir de cet impasse , de se libérer de tout se qu'il entendait .

Il avait été sur le point de se lever pour partir , ou , il l'ignorait mais il voulait mettre de la distance entre cet endroit qu'il ne connaissait pas et lui , même si pour ca il aurait du quitter Ayoros , ashoura ne comprenait pas non plus pourquoi cet éventualité la lui faisait mal au coeur , il ne le connaissait pas , il y a a peine une heure il ne savait même pas qu'il existait , alors pourquoi , etait il dans cet état la .

Il sursauta de surprise , releva la tete d'un coup et ne put s'empêcher de sourire , le regardant avec des yeux légèrement humides , il n'en revenait pas , cet hommes devait etre un anges .

“c'est vrai , vous voulez bien m'aider , vous êtes si gentil , je ferais ce que vous voulez , je suis tellement content “

Ashoura se jeta littéralement dans ses bras , laissant sa joie se manifester par quelque larmes et quelque rire , mais ne sachant pourquoi , il arrêta doucement cette manifestation enfantine , elle fut remplacé par du chagrin , une tristesse l'envahissait a l'idée de la quitter et comme si c'était tour le garder encore un peu , le jeune uke raffermissait la prise de ses bras autour du cou de son inconnu qui ne l'est plus .

“merci ..ayoros ...”

Doucement avec un tendresse naturelle et une certaine sensualité dans le geste , le jeune homme déposa un doux baiser sur la joue d'ayoros puis se relève laissant ayoros seul face au geste , ashoura regardais partout absolument pas conscient de se qu'il avait pu faire , pour lui c'etait naturel , comme un enfant émerveiller , le jeune uke revint près d'ayoros n'arrêtant pas de rire et de bouger dans tout les sens .

“vous venez ayoros , on y va ?”

Invité

[h-j : désolé pour l'attente et en plus pour la brèveté de ma réponse. cheers

]

« Oui, oui, on y va. »

Complètement déstabilisé par mon uke, je me lève du banc et lui prend la main. Et on commence à marcher tranquillement dans le parc.

C’est le regard des autres promeneurs qui me sort de mon état de choc. Cet ange me fait faire n’importe quoi.

« Ashoura, je crois qu’on attirerait moins l’attention si on commençait par t’acheter de nouveau vêtement. »

Il n’a pas l’air de m’entendre, il me tire par-là puis par là-bas. En fait, il change de direction dès que son attention est attirée par autre chose.

Enfin il stoppe devant l’étang, j’ai le réflexe de lui passer mes bras autour de sa taille et de l’attirer contre moi.

Il est son dos contre mon torse et j’ai le visage dans son cou. Pendant un instant je me noie dans sa douceur et son odeur de soleil et de sable.

« Tu ne connais pas les étangs ? Tu sais ce n’est que de l’eau pour les canards et les cygnes. Tiens en parlant de cygne regarde le couple qui arrive, c’est les deux grands oiseaux blancs. Tu sais qu’ils s’unissent pour la vie ? »

Finalement il a gagné et je le laisse parcourir le parc à sa fantaisie.

Dans notre déambulation on arrive devant une des portes de parc, elle donne sur l’avenue principale de la ville et il y a une certaine agitation vu que la matinée est bien entamée. Il s’arrête et regarde la cité avec étonnement.

Du coup je fais comme au bord de l’étang et l’enlace tendrement, et je savoure encore une fois la douceur de son cou quand je lui murmure à l’oreille :

« Tu as l’air perdu mon ange, tu ne vivais pas dans une ville ? Tu sais qu’il va falloir la prendre cette avenue d’abord pour t’habiller et ensuite pour rentrer à la maison. »

Je le laisse ce faire à cette idée ; puis je le prends gentiment par la main et commence à nous diriger vers la cohue du trottoir.

Invité

Conscient de rien , innocent jusqu'au bout des ongles , Ashoura etait plus occupé a regarder tout ces arbres , cette verdure que de regarder les passants qui les dévisageait , il etait tout simplement heureux , de quoi il l'ignorait mais il l'etait , tenant legerement la main de son compagnon comme si il avait été une plume , il s'arrêta net a la phrase d'Ayoros et se regarda lui même , prenant un pan de son vêtement et le souleva vers son compagnon .

“ oh ..pourquoi , c'est pas bien ca , pourtant ...”

Comme si ce n'était pas important car il venait de voir des drôles d'animaux , a sa suite il entraîna Ayoros , souriant par moment a la beauté de l'endroit ou riant comme un jeune fou dans certaine situation , il aimait bien ce qu'il voyait , c'etait beaucoup plus coloré d'où il habitait , c'etait a ce demander pourquoi son père n'a jamais voulu venir dans un endroit comme celui ci .

Lui qui avait vecu dans une sorte de désert tomba en fascination devant l'étang , il regardait les canards flotter sur l'eau , les poissons qui remontaient de temps a autres , il savait ce que c'etait pour l'avoir vu dans un livre licencieux que son père avait interdit mais il avait mit ca sur le compte de l'irréel comme son père le lui avait dit , il etait tellement envoûté par ce qu'il voyait qu'il ne pris pas peur n'y ne pensait a repousser Ayoros , de toute facon en avait il envie .
“ c'est ...magnifique ... pour la vie , comme tout le monde alors “

Le reste de la promenade fut tout aussi paradisiaque mais tout bonne chose a sa fin , et cette fin fut assez déroutante voir brutal dans un sens , ce qu'il voyait lui faisait peur , c'etait quoi tout ca et contrairement a la dernière fois , il fut soulagé de sentir Ayoros dans son dos , de ressentir ses bras autour de lui , instinctivement il posa ses mains sur ses avant bras , il avait besoin de son soutien , il ne comprenait pas pourquoi il y avait autant de mouvements , si rapide .

“ il n'y avait pas tout cela ... je ... ils vont ou tout ces gens ...”

La main qu'il avait en main etait comme une encre pour un bateau , si il le lâchait il allait dériver et ca il ne le voulait pas , il avançait lentement , tendu de ne pas savoir , regardant partout , inquiet du monde , ce demandant quand il allait sortir de tout ca .

“ a..yoros ...je n'aime pas ...je veux rentrer chez moi ....”

Invité

==> "les rues"

pour la suite.

» Ayoros De Jamir