appartement de nagasaki

Cela faisait plus de quatre heures que Nagasaki avait soit disant semer ses poursuivants. Il avait réussi a s’enfuir de cette maison de fou, chose qu’i avait eu du mal a faire. Nagasaki c’était enfui par le chemin des toi et sautait et courait désormais de toit en toi, de maison en maisons. Il en profita de remercier le ciel d’avoir inventer cet instrument génial qui l’avait tiré du pétrin dans lequel il c’était mis.

Il arriva enfin chez lui épuisé, c’était un petit appartement en hauteur, qui respirait la propreté, et la tranquillité. Il y avait une ambiance de plénitude et de zen, chaque pièce correspondait à un thème et une couleur différente. C’était un appartement pour une personne et il y avait le nécessaire, on pouvait voir les instruments de musique qui en faisait la décoration. Les meubles étaient choisis avec soin est respectait l’ambiance générale. Nagasaki posa ses clef dans le cendrier prévu a cet effet (et oui il fume pas). Puis se dirigea dans sa douche.

Il se relaxa et se détendra sous l’eau chose du robinet. Puis en même temps qu’il se lava il se mit à chanter d’une voix douce et tendre, mais les paroles inspirait la tristesse (musique de fushigi yuugi , tasuki: mitsu gagami) :

"meguriawase hitotsu machigaeba
itoshisa sae toge ni natte shimau
mune no soko ni shizumeta itami ga
himei wo age iki wo fukikaeshita
ano toki wa naze? to jibun wo semete mitari
demo doushite? to aite ni toikaketari...
nagarete-yuku mizu ni utsuru
omoide no danpen
anna omoi kurikaesanai
sou kokoro ni chikau
nagarete-yuku mizu ni utsuru
kanashimi ga aru kara
kono chikara de kono inochi de [2]
omae wo mamoritai etc".

Quand il fini sa chanson, il souffla un moment, et pris ses affaires a côté de lui mais, lorsqu’il se retourna, il vit l'un deux mercenaires qu’il avait cambriolé adossé sur le pas de sa porte de salle de bain, et ce fut le choc. De surprise il laissa tomber ses affaires qu’ils tenaient encore quelque seconde en main sauf sa serviette qui cachait sa nudité de leurs yeux. Il vit sur le mercenaire un sourire sadique qui lui fît peur.

« Quand ?, comment ?, pourquoi ?"

Bégaya t-il de bonne surprise pas si bonne que ça en effet.

il tremblait de peur et de honte d'être vu ainsi face à lui, normal ils étaient chez lui et l’observait en ce moment même sans retenu.

"qu'est ce que voous faîtes ici?"

[Chateau de Vergil Sparda] =>

Après que Dante soit parti, faisant clairement comprendre à son frère qu'il ne comptait pas le revoir dans les prochains jour et surtout qu'il ne comptait lui rendre sa moto, le seme ferma son garage. Mais Vergil ne se facha pas. Si Dante ne venait pas à lui, lui irait à lui comme il l'avait fait aujourd'hui. Et la moto serait justement un excellent prétexte même s'il n'en n'avait pas besoin. Et puis il y avait eu le baiser qui était il fallait l'avouer inatendu et donc encore plus appréciable que tous ceux qu'il avait déjà échangé avec son frère.

C'est donc dans cet état d'esprit qu'il alla prendre son diner qui était enfin prêt. Puis il se rendit dans son bureau où il regarda où était son petit fuyard. En attendant que l'homme cesse de bouger il travailla. Puis enfin le point de stabilisa. Il regarda attentivement où se trouvait la planque du voleur puis prit un peu de matériel pour son expédition punitive et sortit de chez lui au volant de sa voiture.

Il crocheta évidement la serrure de l'appartement, il ne tenait pas à se faire remarquer et referma la porte à clé qu'il trouva facilement. Il chercha de suite l'objet qu'on lui avait volé et le réccupérant, le cacha à l'entrée de l'appartement. Puis il s'avança vers le bruit et se retrouva au pas de la salle de bain, contemplant l'uke. Lorsque celui-ci l'aperçut sa réaction plu au seme qui eu un sourire sadique.

"Je viens recupérer mon bien."

Il s'avança dans la pièce et ferma la porte derrirère lui puis il fit passer la clé sous la porte afin qu'elle soit inaccessible pour l'un comme pour l'autre.

"Et puis nous avons une discussion à terminé."

Et Vergil s'avança lentement vers sa victime.

Oh il lui interdisait de s'approcher. C'était vraiment trop drôle. Comme si lui pouvait donner un ordre à Vergil Sparda. Comme si quelqu'un d'une manière général pouvait donner un ordre à Vergil. Mais le petit était paniqué ce qui était compréhensible à vrai dire et donc il disait n'importe quoi pour essayer de se soustraire à l'emprise du seme, mais évidement ça ne marchait pas. Fallait pas rêver non plus. Il avait à présent collé l'uke contre un mur, son corps le maintenant dans cette position.

"C'est moi qui pose les questions ici."

C'était lui qui maitrisait la situation et il était temps que l'autre s'en rende compte.

"Nous n'avons pas besoin de ça."

D'un geste rapide et sec, il prit la serviette que l'uke tenait et la balança derrirère lui. Il colla son corps à celui du uke et d'un geste précis pris ses bourses en main et commença à jouer avec elles.

"Alors je disais donc. Pourquoi t'es tu attaqué à ma maison comme défi ? Et comment as tu appris l'existence de l'objet que tu m'as dérobé en ma demeure ?"

D'un geste rapide et sec, il prit la serviette que l'uke tenait et la balança derrière lui. Il colla son corps à celui du uke et d'un geste précis pris ses bourses en main et commença à jouer avec elles.


Nagasaki, avait sursauté face à ce geste déplacé auquel il ne s’attendait pas, il voulu protester mais ne pouvait pas bouger. Puis des larmes commençait a coulées, il savait qu’il allait se faire violer, tous montrait que c’était pour bientôt. Il ne voulait pas subir ça, pas avec une personne qu’il n’aimait pas. Sil devait le faire, il aurait préféré le faire avec la personne aimée.


*Quelle honte, pourquoi cela doit-il m’arriver?*

"Alors je disais donc. Pourquoi t'es tu attaqué à ma maison comme défi ? Et comment as tu appris l'existence de l'objet que tu m'as dérobé en ma demeure ?"


« Hic, qu’est ce que vous faite arrêtez. hmf, non, pas là. »

Les gestes du seme se faisaient plus ardant,ce qui fit réagir Nagasaki au touché, mais pas à l’envi.

« Ce, ce n’était que par hasard, je l’es choisie sans réfléchir, mais j’aurai du, j’ai observer au loin vos agissement, et j’ai choisi le moment opportun pour agir, qui ne l’était. Je rapporte toujours ce que j’ai voler après la déclaration de vol, je ne garde jamais rien. »

« Noooooooo, arrêter, je ai dis toute la vérité, laisser moi sil vous plait. Je ferai ce que vous voudrez, mais arrêtez je vous en supplies »

Disait-il en larme.

Vergil poursuivit son petit manège mal grès les protestations et finit par avoir des réponses. Il avait vraiment affaire à un crétin de première. Choisir comme ça. Voyons tout se préparait, il n'avait vraiment aucune jugeote Enfin cela faisait l'affaire du seme donc tant mieux pour Vergil et tant pis pour l'autre. Ca lui apprendra à ne pas plus réfléchir que ça. Quoi que il n'aurait peut être plus vraiment l'occasion de réfléchir à ce genre de chose.

"Et bien pour avoir tenter de me voler je t'aurais cru plus courageux et surtout plus résistant."

Dire que déjà il le suppliait. Vraiment pitoyable comme uke. Mais qu'importe il ferait une excellente seconde bonne. On n'en n'avait jamais assez. La main du seme abandonna les bourses pour commenrcer un mouvement de va et viens sur la verge de garçon. Il approcha sa bouche d'une de ses oreilles.

"Et si ce que je voulais était ce que je faisais maintenant."

Vergil le contempla, un sourire sadique aux lèvres.

"Mais puisque tu as dit que tu ferais ce que je voulais, alors commence à me déshabiller, il fait plutôt chaud dans cette pièce."

Oh déjà il abandonnait et cédait. Vraiment pas drôle comme garçon. Vergil l'aurait cru plus combatif. Et bien tant pis à défaut de s'amuser en le dressant, il s'amuserait en le battant. Comme quoi rien n'était perdu, il l'aurait quand même son utilité le petit.

Il s'arrêtait déjà, alors qu'il était en si bon chemin. Il lui avait demandé de le déshabiller, pas de lui enlever sa veste.

"Ca ne me plait pas. Et puis tu es loin d'avoir fait ce que je te demandais. Tu n'en n'es qu'au préliminaire là."

Le visage de vergil était redevenu grave. Quand on dresse un chien on ne sourit pas même si c'est ce qu'on préfère comme activité avec ces bêtes là.

"Comprendre ne suffit pas. Il faut payer aussi."

Vergil defit la ceinture de son pantalon et la fit claquer une fois sur le dos de l'uke. Ce n'était pas forcément très fort mais cela faisait quand même un peu mal. Mais le but était surtout de secouer l'uke et de le prévenir que s'il n'obéissait pas, cela allait empirer.

"Maintenant poursuit ta tache."

Vergil gardait fermement la ceinture en main, prêt à riposter si l'uke tentait quelque chose de travers.

Vergil defit la ceinture de son pantalon et la fit claquer une fois sur le dos de l'uke. Ce n'était pas forcément très fort mais cela faisait quand même un peu mal. Mais le but était surtout de secouer l'uke et de le prévenir que s'il n'obéissait pas, cela allait empirer.

Nagasaki venait de sentir le coup de la ceinture sur son dos qui lui fit atrocement ma., jamais il n’avait été toucher de cette manière se faire violenter par cet homme qu’il détestait désormais, il avait une si grande aine contre lui.

Il se releva le regard plein de haine, se rapprocha de nouveau de lui en pleurant avançant ses main ver son pantalon pour le déboutonner. Il lui baissa lentement le pantalon le faisant lui aussi glisser le long de ses jambes. Il pris une jambe puis l’autre l’une après l’autre pour enlever le pantalon et le pousser au loin

Il alla s’aventurer vers le boxeur, mais s’arrêta regardant cet homme qu’il haïssait par-dessous tout pour savoir sa réaction.

*Je vais me venger de cet affront, il me le paiera, personne ne m’avait touché ainsi et m’humilier de la sorte. Je le hait.*

Un petit coup? Juste un petit coup de ceinture et le voilà devenu un gentil petit toutou bien obéissant. Et en plus il pleurait. Vraiment que des chochottes ces ukes, quoi que celui-là pour l'audace dont il avait fait preuve il y a peu c'était quand même un comble. Vraiment ça ne faisait pas si mal que ça, un peu de dignité non ? Non il ne devait assurément pas connaitre ça. Tout le monde ne pouvait pas se vanter d'avoir un minimum d'orgeuil et de fierté. Ce genre d'uke, voir les ukes d'une manière général, ça fanfaronnait jusqu'au premier coup dur et la ça rampait aux pied du maitre pour avoir juste le droit d'être là. Vraiment pitoyable et pathétique. C'était pour ça que lui était en haut et dominait.

Vergil regarda d'un air satisfait l'uke s'excuter. Et son regard rempli de haine, comme c'était risible. Mais qu'il le haisse, cela ne serait que plus jouissif de le soumettre, de le dominer. D'ailleurs il avait eu assez à présent. Il était temps de passer à l'étape supérieur, celle de l'humiliation totale. Il sentait la ceinture dans sa main et ça le démangeait. Pour cette première fois, l'uke allait être servi, non seulement il serait violé mais aussi battu. Il aurait la totale quoi.

D'un geste vif, il palqua l'uke sur le ventre au sol et s'assit au niveau de ses jambes. Il enleva le haut qui lui restait ainsi que le boxer. Il prit le premier truc un peu long qu'il passa sous la main, ce qui s'avéra être une brosse à cheveux et écarta les fesses.

"Et bien nous allons élargir tout ça."

Et sans prévenir il enfonça le manche de l'ustensile dans l'anus de l'uke.

Le cri de Nagasaki n'eut comme seul effet sur Vergil que de l'exciter un peu plus et de faire naitre un sourire sadique sur ses lèvres. Qu'il crie qu'il prie, qu'il l'insulte, cela ne faisait que raviver son envie de lui faire mal, de le faire souffrir. Pourquoi ? Juste parce qu'il l'avait volé ? Non d'autres ukes avaient eut droit à des punitions plus légères. Il en avait juste envie. Peut être aussi parce qu'il n'avait pas eut son frère comme c'était prévu dans son plan. Oui, l'uke devait sans doute payer pour ça.

"Tu me hais ? Attend donc, ceci n'est que le début d'une longue nuit de souffrance."

Vergil s'éloigna sur ses jambes et se baissant vint lècher le sang qui coulait. Comme l'uke devait détester ça. Et comme ce goût acre et métallique lui plaisait. Oui ce soir il avait envie de sang.

"Ton sang me plait, je vais pouvoir me repaître."

Et se levant il déroula la ceinture qu'il tenait toujours et l'abatit sur le dos de l'uke. Un coup, deux coup, encore et encore les coups pleuvaient jusqu'a que des minces filet de sang apparaissent. Il cessa alors, laissant tomber la ceinture à terre et s'installant aux côtés de l'uke, il caressa de ses doigts le dos ensenglanter, portant de temps en temps à ses lèvres le liquide vermeil qui en coulait.

Bien entendu l'uke cria, le supplia et se mit à pleurer. Vergil n'en n'attendait pas moins d'un être aussi faible que lui. Mais le pauvre n'avait pas l'air de comprendre que ce qui plaisait à Vergil dans le sang, c'était surtout la douleur que cela signifiait pour l'autre. Et plus Nagasaki expirmait cette douleur, cette souffrance, plus le sang avait pour le seme un goût exquis. Il aurait suffit que l'uke reste digne et souffre en silence pour que le sang n'ai plus de réel attrait. Enfin il n'aurait sans doute pas arrêter. Même si l'uke avait un peu de volonté et de fierté, Vergil n'était pas stupide. Un coup était un coup et que l'on montre ou non la douleur elle existait bel et bien.

"Je sais bien que tu as tout dit. Avec ce que tu viens de subir tu aurais parlé s'il y avait eu encore quelque chose à dire."

Car le pauvre insecte qu'il était ne savait pas retenir sa langue face à un peu de douleur. Vraiment, ce n'était qu'un faible qui méritait son sort.

"Je fais ça juste parce que ça m'excite et que j'en ai envie. Alors ne t'attends surtout pas à ce que j'arrête, bien au contraire."

Vergil délaissa le dos ensenglanté de l'uke et revint s'asseoir sur ses jambes. D'une main, il empoigna la brosse toujours à l'interieur de l'uke et se mit à la bouger afin d'élargir l'entrée. Puis lorsqu'il estima que c'était suffisant, il l'enleva d'un coup sec et se positionna, pressant son membre tendu à l'entrée de l'orifice, faisant bien comprendre à Nagasaki que le moment fatidique était arrivé. Ses deux mains se placèrent de part et autre du bassin et le soulevant, il pénétra d'un coup de rein brutal l'uke.

Puis enfin l'uke sembla avoir compris son sort et se tut. Sentant que cela devenait moins excitant ainsi, et que de toute manière il avait prit assez de plaisir, il accéléra de plus en plus l'allure jusqu'à finir par se libérer en Nagasaki.

Qu'il tombe enceinte ? Pas son problème. De toute manière ses bonnes à tout faire ne tenait en général jamais neuf mois. Et puis vut le traitement qu'il allait lui faire subir, s'il tombait enceinte, il risquait fort de perdre l'enfant. Et si mal grè tout il mettait quand même au monde l'enfant ? Et bien tant pis pour lui. Ce n'était pas Vergil qui s'en occuperait. Et si l'uke mourrait lui laissant le môme, il le tuerait sans aucune pitié. Les enfants et lui c'était loin d'être une histoire d'amour. Et puis il ne voulait pas s'encombrer les pattes avec un enfant.

Enfin, Vergil finit par se retirer et laissa le corps meurti du jeune homme retomber au sol. Lui se releva et alla prendre sa douche comme si de rien n'était. Puis sortant propre, il prit la serviette qui avait servit autrefois au jeune homme et s'essuya avec. Avant de s'habiller, il la lança sur l'autre.

"Tu ferais mieux d'en faire de même. Ce n'est pas garanti que je te laisse en reprendre une avant un certain moment."

C'était qu'il allait falloir le maté et cela pouvait prendre du temps. Enfin si l'autre ne voulait pas, ce n'était pas lui qui allait l'y forcer. Quoi que il pourrait l'y obliger non ? Ca pourrait être le début de l'obéissance.

"Finalement c'est un ordre. Prends en une."

Et si cela ne lui plaisait pas et bien tant pis. C'était ainsi et pas autrement.

Parfait il obéissait. Vergil n'était pas stupide, il pensait bien que même s'il avait encore l'esprit assez rebel pour s'opposer à lui, il la prendrait sa douche. C'était une constante chez les victimes de viol de vouloir se laver à tout prix. Et il en connaissait un rayon lui en matière de viol. Quand à l'esprit rebel du garçon, rien n'était assuré. Sans doute souhaiterait il s'échapper de son emprise. Mais de là à s'en prendre à lui, il en doutait. Il était trop faible face à lui. Et puis il l'avait bien vu la dernière fois il n'avait pas cherché à se battre, il s'était juste enfuit comme un voleur. Ce n'était pas un combattant et il n'en n'avait ni l'allure, ni les capacités. Quand à le réduire en esclavage et le transformer en petit toutou bien obéissant, Vergil ne doutait pas qu'il y arriverait. Il y était toujours arrivé. Celui-ci ne ferait pas exception, surtout vu sa faible résistance. Après tout quelques coups de ceintures avaient suffit à le rendre docile.

Vergil se rhabilla alors que l'uke était en train de prendre sa douche puis il se mit à foncer sur la porte et en quelques coups finit par l'abattre. Se faisant il fouilla l'appartement et trouva vite fait la chambre de l'uke ainsi qu'un sac assez grand pour y fourrer tous les vêtements qui lui tombèrent sous la main. Cela fait, il revint dans la salle de bain, prit brosse à dent, dentifirce, brosse à cheveux, bref l'essentiel et fourra tout ça dans le sac sans ménagement. Il laissa un pantalon et un tee shirt sur le rebord d'un meuble ainsi qu'un slip.

"Mets ça quand tu auras finit de prendre ta douche. Je t'attends dans le salon. Et dépêche toi ou je viendrais te chercher. Et tu sais très bien que tu ne gagnes rien à me contrarier."

Un sourire sadique apparut à ces dernières paroles puis il sorti de la pièce, posa le sac par terre et visita le reste de l'appartement pour évaluer les biens de l'uke. Il en réccupererait une partie. Le reste serait vendu. Nagasaki ne possédait plus rien à présent, Vergil prendrait en charge sa vie, jusqu'à qu'un dieu le place ou qu'il meurt, au choix.

Vergil avait inspecté l'appartement. Il y avait un ou deux trucs qui avaient attiré son attention mais dans l'ensemble il n'y avait rien de grande valeur du moins aux yeux du seme. Soit il avait affaire à un voleur pathétique, ce qui n'était pas à exclure, soit celui-ci avait déjà tout revendu ou refourgué pour sa survie et s'acheter des choses. Mais il ne voyait pas les conséquences d'un revenu de bon voleur. Et Nagasaki n'avait pas du tout l'air de se droguer ou autre. Peut être jouait il à des jeux d'argent ou dépensait il son argent d'une manière non visible. Ou alors celui-ci avait une cachette. Cette hypothèse non plus n'était pas à négliger. Après tout un voleur connaissait très bien les risques. Quoi qu'il en soit il ferait venir une équipe de nettoyeur professionel ici et il serait vite fait fixer. Quoi que maintenant il s'en souvenait l'autre avait dit qu'il rapportait tout après la déclaration de vol, qu'il ne gardait rien. Moué c'était des foutaises tout ça. Il ferait comment pour survivre ? S'il n'avait que ce métier il était obligé de garder un minimum pour survivre. Et il avait cru que Vergil goberait une ânerie pareille ? Franchement sa stupidité dépassait l'entendement. Lorsque l'uke arriva, Vergil était assis sur le canapé.

"Et bien tu en as mis du temps."

Il se leva, la démarche sur, il était droit comme un militaire, ce qu'il était au fond.

"Bon comme tu as du le comprendre à partir de maintenant tu sera mon esclave même si je préfère le terme de bonniche."

L'un n'était guère moins humiliant que l'autre mais comme il aimait comparer ceux qui le servaient à des chiens, bonniche lui convenait mieux.

"Plus rien ne t'appartient et tu passeras tes journées à m'obéir au doigt et à l'oeil."

Programme guère réjouissant pour l'uke. Vergil s'était approché de celui-ci puis l'avait dépassé et marchait dans son dos. S'il parlait d'une voix calme et posée, comme s'il énnoncait à ses soldats les détails de la mission c'était pour tromper le petit. Il faisait comme si pour lui l'obéissance de Nagasaki était déjà toute acquise. Mais il n'était pas dupe, le petit essayerait sans doute de lui échapper et il ne lui obéirait peut être pas tout de suite. De toute manière il avait quelques petites chose à faire avant de le relacher dans sa maison. Aussi sans que rien puisse prévenir, Vergil assoma d'un coup à la tête l'uke.

=> [Chateau de Vergil]