Auteur : Diri-chan
Base : FMA
genre : ... ^^
genre 2 : drabble
Déclaration
Roy Mustang, dit l'Alchimiste de feu, tremblant de peur a moitié nu dans un coin d'une cellule, un lourd collier de fer ornant son cou ... Voilà, une description qui ne devrait jamais pouvoir être faites. Et pourtant ... il en était bel et bien ainsi.
Durant deux longs mois des chimères l'avaient torturé pour qu'il révèle les plans de différentes bases. Mais il ne l'avait pas fait. Pourquoi l'aurait-il fait ? Il savait très clairement qu'ils ne le laisseraient pas tranquille pour autant, que les tortures continueraient encore et encore durant de longues heures pour leurs bons plaisir.
Les hommes du colonel ne chomèrent pas pour le retrouver, ils demandèrent toutes l'aides qu'ils pouvaient espéré trouvé de partout. Mais ils furent tout de même bien trops longs... Deux mois .... Si peu de temps dans une vie, mais en même temps énormément. On pouvait mourrir un nombre incalculable de fois en deux mois ! Tout comme on pouvais laisser le temps filait comme un long fleuve tranquille.
Lorsqu'il retrouvèrent Roy personne ne voulut admettre la vérité. Tous ce voilant la face à leurs façons.... Mais Roy ne serait plus jamais le même. Il avait beau se tenir droit, faire comme si de rien n'était ... Il ne pouvait pas. Le moindre contact ... Le moindre haussement le désarsonné de facon exemplaire. Il fut donc retirer de ses fonctions et on lui offra une petite maison, dans la base où il serait en sureté.
Fier, il aurait aimé refusé. Ne pas se laisser abattre. Mais il était réaliste... et savait qu'il ne pourrais jamais se battre correctement en combat réel... Il obéit donc à ses supérieurs pour le bien de son équipe. Même si c'est dernier ne veulent pas le voir partir.
~~~ le temps passa ~~~
Trois coup à sa porte. Voilà un moment qu'il n'avait pas eut de visite... L'ex colonel se leva et ouvirt la porte. Devant lui, essouflé comme jamais : Ed. Le bras en sang, le visage égratigné... Il allait parlé lorsque le blond le coupa : "Ben alors ! Qu'es-ce que tu fous !! Tes hommes sont entrain de se faire rétamer ! On a besoin de toi !"
Il avait été radié ... Et il ne pouvait pas ... désobéir. Il essaya d'argumenté... mais lui même refusé cette vérité. Alors lorsque Ed le chopa par le bras et le tira à l'extérieur il le laissa faire. En quelques mois Ed avait vraiment beaucoup grandi. Il le dépassé ... à peine ... mais il le dépassé. Le blond le tira à sa sute en courant jusqu'au lieu de l'affrontement.
Roy fut choqué comme jamais. L'ennemi avait réussi à gagner du terrain jusqu'au porte de la base et il n'avait même pas été prévenu ! Éparpiaient un peu de partout au sol, ses hommes. SES HOMMES ! Pas ceux d'un autre poltron qui avait du fuir à la première goutte de sang ! Non ! Ses hommes ! Ceux qui lui faisaient confiance ! Qui lui avait demandé de ne pas l'abandonner ! Ses hommes ! Les sien ! A lui ! Pas à un autre ! Enrager ! Roy se déchaina au côté d'Ed et des survivants. Dans leurs yeux une lueurs d'espoirs ... leur chef était revenu.
Malheureusement ils étaient en sous nombre. Ils furent battu. Mais il avait repoussé l'adversaire, tant et si bien que pas un prisonnier ne fut pris. Ils choisirent de plier retraite, préparant une nouvelle attaque dans les heures qui allait suivre. Roy donna des ordres clairs et concis. Que les blesser soit ammenné à l'interieur... Que des équipes médicales se forme pour sauver le maximum de vie. Que les femmes de la base se réunissent avec leurs enfants dans le gymnases ... et qu'elles soient armés. Prêtent à défendre leurs vies et celles de leurs rejetons. Qu'elles ne voyent pas les blesser les plus ... affreux. Mais que les blesser minime, ou déjà soigner, ne portant pas de trace de sang visible ayent les rejoindre et les aider à se protéger. Que les soldats en état de marche face un inventaire complet de leurs minutions et qu'un groupe de 6 personnes se forment pour aller à l'armurerie ... prendre tout ce qu'il pouvait. Que les hommes civils aident à réparer les murailles le plus vites possible avant d'être armé et de rejoindre les femmes et les enfants. Que les soldats se réunnissent au plus vite. Des rondes allaient être organisaient de manière à se que dès une attaque déclenchée elle soit dite.
Tout ses ordres consécutifs il les donna à la suite. Le plus rapidement possible. Comme s'il n'avait jamais été mis sur le banc de touche. Les soldats le retrouvant ne perdirent pas espoirs et se mirent immédiatement à éxécution. Ed, loin de lui obéir l'attrappa de nouveau par le bras et l'entraina un peu à part. Roy ne supporter toujours pas les contacts ... mais il se controla et le suivit sans rien dire. Il savait que s'il faisait mine de se débattre la peur prendrai le dessus sur son courage et sa fierté et qu'il serait incapable de continuer à commander.
Ed marcha quelques minutes, s'isolant des autres avant de le lacher. Il se retourna et eut un sourire curieux. C'était le moment ou jamais pour lui parlé. Car toute à l'heure ... peut-être mouraient ils ? Alors ... autant se jetté à l'eau le plus vite possible avant une nouvelle attaque. Avec toute la délicatesse possible il carressa la joue du colonel et lui murmura à l'oreille "il faut vraiment que je te le dise. Alors écoute bien ! Je le réèterai pas deux fois... j'ai des sentiments pour toi."
Puis, sans se départir de son sourire il choisit de tourner les talons. Il ne voulait pas un refus. Pas juste avant de risquer sa vie. Il allait partit lorsque deux bras l'empoignèrent doucement. A son oreille il fut murmuré quelques mots, alors qu'ils se séparaient.
Ils ne se revirent pas durant tout les préparatifs d'un commun accord. Puis ... l'alerte fut donné.
Le combat fit rage durant de longue ... très longue minutes. Certains de leurs ennemis arrivèrent à pénétrer dans la base. Mais leurs corps furent retrouver plus tard morts devant le gymnase. Les femmes n'avaient pas hésité à faire feu. Protégant leurs enfants d'une rage que seul une mère peut connaitre.
L'attaque fut donc contenue et repoussée... Au milieu des morts alliés, deux corps tendrement enlacé furent retrouvés. Leurs coeur battaient bien trop doucement... Il fut impossible au docteur de les séparer bien longtemps. A peine remis sur pied... Roy sauta sur Ed, se lovant contre lui il lui murmura des centaines de "je t'aime" alors que le bras protécteur du blond l'entourait amoureusement.
Voilà comment commenca cette histoire d'amour et de passion.
[ suite possible... à mon bon vouloir ^^ ]
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