Prénom : Kaitaru
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rang occupé : Dieu
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Famille : Un pére (mort) et .... une mére (décédée) Niark!
Passé :
-Laisse moi tu le raconter comment tu es né... Elle s'appelé Hélèna.... Elle vivait à l'antiqué, en grèce.... Une femme fatale, on tua de nombreux hommes pour elle... Je la désirai si fort. Je l'observais tout le temps. Elle avait des yeux sombres, qui auraient pu tuer un homme.... Elle se voulait offerte à un héro.... un être exeptionnel ... les refusant tous....
Un soir, je suis déscendu ..... et je suis allé la voir me faisant passé pour Zeus ..... lui montrant une parti de mes pouvoir pour qu'elle me croit.... Cet nuit nous t'avons conçu......Tu es n'est pas rester avec elle, je t'ai pris avec moi dès ta naissance...... Il fallait t'éduquer comme un dieu, pas comme un enfant humain..... même si tu n'étais qu'un demi-dieux....
-Et tu ma tout appris. L'amour, la haine, la colère, la luxure, la jaloisie, l'envie, le combat, la guerre, la paranoïa, la schizophrènie, le meurte, le suicide..... Que d'objets d'études! Tous très intéréssant.
-Te souviens tu du jour où tu es devenu un dieu?
-Oui. J'avais sept ans ou peut être huit.
-Non tu avais six ans.... J'étais tellement fier de toi! A six ans, tuer de sang froid sa propre mére. Rappele moi comment, avant de partir.....
-J'aivais donc six ans. Je l'ai observer pendant deux ans. C'était mon premier objet d'étude, la paranoïa. Et j'avais réussi. Et ensuite tu m'as demandé d'étudier le meurtre. J'ai étudier touts les tueurs, les guerriers, les suicides. Un jour j'ai recommencé à la suivre partout. Pendant un moins j'ai joué avec elle à ce jeu et puis un après-midi je l'ai attendu à un croisement. Je criais "Maman" et j'ai regardé en arrière, un fantôme qui me servait de pretxte pour m'enfuir. Et cette idiote m'a suivie. Alors que je lui tournait le dos, elle est venue vers et m'enlaça. Son cou était sur mon épaule. Lentement je léve le couteau dans ma main droite et je lui plante dans la geoge. Je me retourne vite pour plaquer ma main droite sur la bouche et de l'autre je reprend mon couteau pour recommençé dans l'abdomen. Je lui ouvre de gauche à droite. Ses entrailles sortent de son ventre comme on vomit. Et moi je suis un dieux. Je la laisse sous le soleil qui se couche.
-Je suis fièr de toi.... Mais pourquoi m'avoir éventré? Je pensait que tu m'aimais bien....
-Tu es partisans de la conservation, et moi non, j'aimes les hommes avec les hommes. C'est Pour nos projets. Tu n'es qu'un sacrifices parmis tant d'autres.
-Je t'aime!
-Ce termes est impropre! Tu m'apprécie au revoir!
Kaitaru arracha le coeur de son père pour mettre fin à ses jours.
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Apparence : Kaitaru à l'aparence d'un homme de 25-26 ans. Il est plus grand que la moyenne humainne, mais sa carrure longiligne et finement ciselé impressionne plus. Ils prend extrèment soin de ses long cheveux bouclés, noir jais. Ses doigts sont très agiles, tout comme le reste de son corp, si bien que dès fois il se surprend à rattrapé des objets sans importance dans leur chute. Il ses cache les yeux derrière des lunette noir casiment oppaque, pour que les hommes ne découvre pas la couleur rouge flamboyante qu'il s'y cache. Sa garde de robe ne connait que deux couleur, le noir et le rouge.
Caractère : Ce dieu est une entité coléreuse et belliqueuse. Il a un certain goût prononcé pour le sadisme. Un peu psychopathe par moment, il sait tout de même se contenir, et ressembler à une "personne normal". Il se montre capricieux envers les hommes, et s'emporte facilement avec les uke. Tête de mule par moment, il reste impassif et de sang froid face au situation critique. Malgré tout ce coté noir, les deus seules touches blanches qu'on lui connait est son... attention et romantisme. Mais ça, les dieu ne l'ont pas vu souvent, avec un humain dont il était éperdument amoureux et les êtres de constitution risqué.
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Pouvoirs : Kaitaru à la capacité d'augementer le taux d'hormonnes chez les hommes, les aidants à s'aimer, se haïr, procréer, se battre ...
Autre : Ce dieu démoniaque adore s'en prendre aux créture faibles et sans défences. "Ils ne méritent pas de vivre, je les endurecis". Toutefois, devant la fragilité de certain, il devient presque tendre, les laissant tranquil.
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